Quatre expositions exceptionnelles dans quatre lieux emblématiques de l’art dans notre ville.
Ces expositions mobiliseront toutes les collections des musées de la ville,
avec de nombreux prêts nationaux et internationaux.
Après les événements « Nice 2013 – Un été pour Matisse » et « Nice 2015 – Promenade(s) des Anglais », la ville de Nice propose un nouvel événement estival pour le 70e anniversaire de « l’École de Nice » : NICE 2017 – ECOLE(S) DE NICE, une exposition exceptionnelle, qui se déroulera sur 4 lieux différents et emblématiques : le Musée Masséna, sur la totalité du dernier étage de la Villa, le MAMAC sur deux étages du bâtiment et dans son extension, la Galerie des Ponchettes, et le 109.
Elle se déroulera du 24 juin au 15 octobre 2017 sous le commissariat général de Jean-Jacques Aillagon, ancien Ministre de la Culture, et sera coordonnée par Olivier-Henri Sambucchi, conservateur en chef du Patrimoine, directeur général adjoint des services de la Ville de Nice pour la Culture et le Patrimoine.
Cette exposition rassemblera les œuvres des collections des musées et institutions municipales, des prêts exceptionnels consentis par une centaine de musées, d’institutions, parmi les plus prestigieux, de collectionneurs particuliers de France et d’Europe.
Exposition présentée au Musée Masséna : Nice à l’école de l’Histoire
du 23 juin au 15 octobre 2017
Commissariat : Jean-Jacques Aillagon, assisté d’Aymeric Jeudy – Scénographie & conception graphique : Kristof Everart & Marcel Bataillard
L’exposition propose une exploration de quelques millénaires de l’histoire de Nice et en souligne les articulations avec l’histoire générale, elle constitue l’esquisse d’un portrait de la cité où se rencontreront des chef-d’œuvres de toutes les époques.
Exposition présentée au Musée d’Art Moderne et d’Art Contemporain (MAMAC) :
A propos de Nice
Une exposition du 40e anniversaire du Centre Pompidou – Du 24 juin au 22 octobre 2017
Commissariat : Hélène Guenin avec le concours de Rébecca François – Commissariat associé : Florence Ostende et Géraldine Gourbe
Scénographie : PEAKS dans le cadre de la bourse de recherche curatoriale du CNAP
Dans le cadre de l’événement « Nice 2017 » : École(s) de Nice »
organisé par la Ville de Nice, sous le commissariat général de Jean-Jacques Aillagon et des célébrations du 40e anniversaire du Centre Pompidou, le MAMAC vous propose une traversée du phénomène d’émulation qui s’est manifesté à Nice sur près de trois décennies, à travers près de 400 œuvres et documents réparties en III Actes.
Exposition présentée à la Galerie des Ponchettes : Noël Dolla. Restructurations spatiales.
Du 24 juin au 22 octobre 2017
Commissariat : Hélène Guenin avec Élodie Antoine
Noël Dolla formule à partir de l’automne 1969 une série de propositions à l’échelle du paysage dans l’arrière-pays niçois. Alors actif dans le mouvement Supports/Surfaces, il invente des formes nouvelles dans la nature, assumant leur dimension éphémère et la rencontre intime, voire confidentielle, avec ses interventions dessinées à même la montagne. L’exposition revient sur ces interventions historiques mais aussi sur des projets récents au travers des documents et des photographies. À l’occasion de l’exposition, l’artiste propose également une intervention in situ qui métamorphose l’espace de la galerie des Ponchettes.
Exposition présentée au 109 : The surface of the East from Nice to New York
Du 23 juin au 15 octobre 2017
Commissariat : Marie Maertens
L’exposition « The Surface of the East Coast From Nice to New York », représentant le mouvement artistique né à la fin des années 60 ; Supports/Surfaces, se propose de faire dialoguer les générations et géographies différentes, en montrant comment elles peuvent se répondre, se nourrir et aborder, aujourd’hui, de nouvelles pistes de réflexion.
Claude Viallat, Louis Cane, Daniel Dezeuze, Noël Dolla, Marc Devade, Patrick Saytour et Bernard Pagès : allant à l’encontre des créations de leur époque, ces artistes en appellent à une absence de lyrisme et de profondeur expressive. Souhaitant revenir aux fondamentaux de l’œuvre, ils se concentrent sur la toile et le châssis, sans y apposer la moindre représentation.