Archives mensuelles : septembre 2014

OPERA DE TOULON – LES THÉÂTRALES
Josiane BALASKO vit un grand moment de solitude

MICHEL BLANC ET JOSIANE BALASKO

  • Un grand Moment de Solitude – Vendredi 17 octobre 2014 à 20h30
    Une pièce écrite et mise en scène par Josiane Balasko

Assistante à la mise en scène Franck Lee Joseph
Décors Stéphanie Jarre
Costumes Fabienne Katany
Lumières Gaëlle de Malglaive
Musique Batiste Debarbat & Hassan Gningue
Avec Josiane Balasko,  Kader Boukhanef, George Aguilar, Justine Le Pottier

 Simon Perez, célibataire, est psychothérapeute. Son gros problème est l’affection dont il souffre : il est agoraphobe.
Une autre psy vient régulièrement à son cabinet pour le traiter, Brigitte Gaillard, apparemment efficace et pleine de bon sens, mais qui a elle aussi un gros problème : elle est accumulatrice compulsive, et son appartement est devenu un tel bric-à-brac, qu’elle ne peut plus exercer chez elle faute de place.
Brigitte a un autre secret qui va bouleverser l’existence  de Simon.
Aussi lorsqu’une jeune fille sonne chez lui pour lui livrer un colis de la part de Brigitte, le colis en question est en effet Jimmy Bobcat, célèbre hacker et lanceur d’alerte, recherché par les polices du monde entier. Et époux de Brigitte.
Brigitte a trouvé la planque idéale, pour sauver l’homme qu’elle aime. L’appartement d’un homme dans l’impossibilité de sortir de chez lui.
Naturellement, Brigitte s’installe dans la chambre d’amis qui sert pour la première fois.
Ce qui pouvait devenir une situation traumatisante va apporter à Simon beaucoup plus qu’une expérience de vie. C’est finalement grâce à Brigitte et à son incroyable culot qu’il va trouver le bonheur.
Opéra 04 94 92 70 78 – www.operadetoulon.fr

OLYMPE : Un nouveau disque, une tournée !

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Une pochette somptueuse avec, en prime, trois photos souvenirs.
Évidemment, déjà on a envie d’aller plus loin. Sans compter que la voix et la personnalité d’Olympe nous intriguent et l’on attendait ce disque avec impatience car, si son premier disque était agréable à écouter, ce n’étaient que des reprises. Et voilà ce qu’on peut considérer comme son premier opus.
De belles mélodies, des rythmes très dansants, une voix bien posée, qui va du grave à l’aigu avec une aisance époustouflante, on pense à Freddy Mercury, à Jimmy Sommerville, à Polnareff, Mika. La voix est puissante et les chansons la mettent en valeur. Ecrites par de jeunes auteurs-compositeurs de talent comme Quentin Bachelet, Cécile de Laurentis, Davide Esposito, Emmanuel Moire, David Gategno, Olivier Schulteiss…..
C’est du sur mesure et c’est un vrai plaisir que de suivre la voix de cet original personnage qui a su s’imposer à ce télé-concours qui l’a placé second. Sa voix d’ange fait merveille et ce disque est un vrai plaisir à écouter, « C’est facile » est une de mes chansons préférées, très dansante, chanson qu’on retrouve en fin d’album sur un tempo lent et en acoustique. C’est inattendu et les deux versions sont aussi réussies que différentes. « Superstar » est aussi une sympathique chanson et une profession de foi; « Une saison en enfer » est fort émouvante et Olympe la chante avec beaucoup de sentiment.
On l’attendait bien sûr au tournant et le tournant est bien pris !
Par contre, que le N°2 de ce concours sorte un disque avant le N°1 (qui était Yoann Frégé), c’est une première !
Il rit lorsque je le souligne :

« C’est vrai mais d’abord, juste après la finale, Mercury m’a demandé si je voulais faire une sorte d’album souvenir de l’émission en reprenant quelques chansons phares que j’avais chantées. J’ai trouvé que c’était une belle idée et puis, ne nous le cachons pas, ça me permettait de rester tout de suite sur le terrain. Aujourd’hui les choses vont très vite, on est aussi vite oublié qu’on vous a plébiscité. Il faut donc rester lucide et profiter de la vague. Attendre un an pour sortir un disque, c’est long et on a le temps de vous oublier et de passer à autre chose.

Donc parlons de ce disque où là, il n’y a que de nouvelles chansons. Mais alors, pour les auteurs et compositeurs, quelle distribution ! Comment avez-vous fait ?
Il y a eu les rencontres, la chance…
Par exemple, Emmanuel Moire a suivi toutes les émissions et m’envoyait souvent des twiters pour me soutenir. Puis il est venu sur le plateau et en rigolant, je lui dis : « Et si on faisait une chanson ensemble ? » A mon grand étonnement il a dit oui tout de suite, il m’a emmené chez lui, m’a fait écouter des chansons et j’ai choisi « Depuis peu » qui m’a beaucoup ému.
Olivier Schultess était le chef d’orchestre sur « The Voice » et tout le temps il me disait : « Alors, on le fait quand ce disque ? ». il est donc venu tout naturellement.
Pour les autres, c’est Mercury qui les a approchés pour moi.

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Aviez-vous le choix de beaucoup de chansons ?
Une cinquantaine ! Ca fait plaisir et en plus c’est flatteur. J’avais donc un gros choix et ça a quelquefois été très difficile car il y en avait de très belles. Par exemple il y en avait une dont la maquette était chantée par une femme et que j’aimais beaucoup. Mais chantée par moi les paroles n’avaient pas la même saveur. C’est à regret que j’en ai laissé quelques-unes de côté.

Alors, une chose originale, rarement faite sur un même disque : chanter de deux manières différents la même chanson : « C’est facile ». Justement… est-ce facile ?
C’est une de mes chansons préférées, c’est au départ un titre acoustique. Avec toute l’équipe, on l’a essayée en version rapide puis, plus lentement, en piano-voix. On s’est rendu compte qu’en plus d’être une bonne chanson, ça donnait une autre lecture au texte. Du coup j’ai trouvé que l’offrir en bonus était une bonne chose.

Quelle version chanterez-vous sur scène ?
Les deux ! C’est à dire que je fais un mix :  je la démarre en piano-voix et puis je fais la deuxième version dans la seconde moitié.

Vous jouez sur deux tableaux : le côté très « dance », dans l’énergie et le côté plus romantique, plus émotionnel…
Parce que ce sont mes deux facettes : j’aime le côté festif, je suis d’un tempérament heureux et ce côté énergique me ressemble tout comme le côté romantique. C’est vrai qu’on m’a vu plus souvent dans ce deuxième registre dans l’émission mais les deux… c’est moi !
Et puis, pour un spectacle, il faut qu’il y ait les deux pour ne pas lasser les gens, les endormir… ou les faire pleurer !

Racontez-moi ce qui vous a poussé à faire cette émission qu’est « The Voice »
Il faut que vous sachiez que j’ai toujours été refoulé partout où je me suis présenté : la star Ac’, la nouvelle star… Je n’ai jamais franchi les sélections. J’avoue que c’est très déstabilisant et que je me suis posé beaucoup de questions : suis-je si mauvais ? Qu’est-ce qui cloche ? Ne vais-je jamais aller au-delà des petits concerts que je faisais dans ma région ? Je rongeais mon frein en regardant « The voice » et puis j’ai mis quelques vidéos sur You Tube. Là, quelqu’un de l’équipe m’a vu et m’a proposé de me présenter à l’émission. Et ça a marché !

Jennifer était votre coach… Parlez-moi d’elle.
C’est une femme d’une grande gentillesse et d’une grande simplicité, malgré tout ce qu’on peut écrire sur elle. Elle est passionnée par ce métier, elle a été très impliquée, m’a donné beaucoup de conseils, m’a dirigé, a fait un choix de chansons pour moi, je lui en proposais, on en discutait et elle ne m’a jamais imposé quoi que ce soit. Ayant fait la Star Ac’, elle m’a été de très bon conseil pour vivre au mieux « l’après Voice » et elle me suit toujours de près. On continue à s’appeler, à se voir. Nous avons passé de très beaux moments ensemble. J’ai eu beaucoup d chance.

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Vous chantez en français, ce qui devient rare, même si sur l’émission tu as beaucoup chanté en anglais.
Je suis Français et je trouve évident de chanter en français. Même si j’adore aussi chanter en anglais, ce que je peux faire de temps en temps. Mais entre une langue et l’autre il y a une grande différence dans la façon de chanter. En France, les mots ont beaucoup d’importance, il y a une interprétation plus forte. En Anglais, c’est la mélodie et la performance vocale qui priment. Ca oblige à chanter différemment. Et c’est intéressant à faire.

Alors, la tournée ?
Eh bien, on y est bientôt puisqu’elle démarre le 1er octobre au Pasino d’Aix-en-Provence…
J’ai bien sûr un peu d’appréhension mais en même temps j’ai hâte d’y être ! »

Et nous aussi pour découvrir ce nouveau phénomène qu’est Olympe !

Jacques Brachet

Catherine Petitcueno-Truchi… Ma petite entreprise

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Depuis des années, Cathy Petitcueno-Truchi fait partie du paysage de la communication et du tourisme varois.
Cette Gassinoise (de Gassin !), munie d’un BTS tourisme, d’un DESS management de la qualité, a également suivi en Italie une formation spécifique d’organisateur d’événements, formation très pointue et très ciblée. Elle est également adhérente de l’association Wedding Planer de France (ASSOCEM) qui a valeur de reconnaissance du métier.
Avec tous ces bagages, elle œuvra, durant vingt ans à Var Tourisme où, entre autre, elle organisait des voyages découvertes du Var pour les métiers du tourisme et la presse. C’est d’ailleurs dans ce cadre que nous avons fait connaissance.
Mais l’amour étant passé par là, elle a tout quitté pour suivre son homme à Monaco où il travaille.
Mais pas question de se dorer la peau au soleil des grandes fortunes. Pas son genre. Alors, elle décide de monter, toute seule comme une grande, ce qu’elle appelle « sa petite entreprise », pour paraphraser Bashung.
Bien évidemment, elle se dirige vers la communication et l’événementiel, ce qu’elle pratique à merveille. Et elle n’a pas longtemps cherché le nom de son entreprise en la baptisant tout simplement « Catherine & Co », « Co » n’étant autre que… son mari !
Donc, avec la bénédiction de son « Mister Co », elle devient créatrice d’événements en tous genres puisque vous pouvez aussi bien l’appeler pour organiser de A à Z un mariage, comme cela se fait beaucoup en Amérique, un anniversaire, un quelconque événement comme un arbre de Noël, une cérémonie car elle part du principe que « un événement parfait vient de l’évidence que rien n’est laissé au hasard ».
Et hasard, elle ne connaît pas !

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Ainsi offre-t-elle des services personnalisés et adaptés à toutes occasions, pour toutes les bourses, pour les désirs les plus fous, les plus originaux, les plus saugrenus qui lui sont demandés.
La preuve ? une marque automobile lui a demandé de lancer son nouveau modèle avec… un tigre ! Des mariés ont voulu arriver au repas de noces en montgolfière. Elle a organisé un mariage Hindou tout comme une Bar Mitzvah, un anniversaire à la maison, un départ à la retraite….
Très imaginative, elle est toujours à l’affût d’une idée originale, d’un gadget nouveau, d’une prestation qui sort des sentiers battus… Bref elle passe son temps à chercher le truc qui fera mouche et elle peut vous trouver en un clin d’œil un photographe, un traiteur, un fleuriste, un décorateur, un DJ, un artiste…
Son leitmotiv est que rien n’est impossible à réaliser et plus c’est compliqué ou incongru, plus elle aime !
Elle aime aussi travailler dans la confiance, aussi bien avec ses clients qu’avec les prestataires triés sur le volet, ce qui est pour elle le B.A BA de la réussite.
Curieuse et passionnée, elle met un point d’honneur à ce que tout soit « parfaitement parfait » comme dirait la publicité et se met en quatre, en dix, en mille pour satisfaite les desiderata de ses clients qu’elle bichonne et qu’elle accompagne jusqu’au bout de l’événement.
Ce qu’elle aime dans ce métier, ce sont d’abord les échanges humains et aussi qu’il n’y a jamais de routine, de redite puisqu’elle doit s’adapter chaque fois à une aventure nouvelle et à la personnalité de ceux qui font appel à elle.
Demandez-lui un hélicoptère et vous l’aurez. Demandez-lui la lune… bon, n’exagérons pas tout de même… Quoique !

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Navigant entre Solliès-Pont où vit sa famille et Nice, Toulon, Monte Carlo, elle écume la côte avec son sourire, sa passion, sa force de persuasion et de proposition. Son maître-mot est « un service personnalisé pour un événement unique qui vous ressemble ».
Sa mission première : réaliser les souhaits des clients, satisfaire toutes leurs envies et faire de leur événement un moment rare et magique.
Au fait… Cathy ne serait-elle pas une fée ?

Jacques Brachet

www.cpetitcuenoandco.fr – cpetitcuenoandco@gmail.com – 06 13 19 20 84

La Rochelle :
Julie Boulanger & Ambroise Michel… CUT… La suite !

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« Cut » est une nouvelle série que l’on a découverte cette année sur France Ô.
Réalisée par Stéphane Meunier, Vincent Trisolini et François Bigrat d’après un scénario de Bertrand Cohen, elle nous emmène dans les décors magiques de la Réunion autour d’une sombre histoire de famille dont la belle Julie Boulanger est l’héroïne, jeune maman de 33 ans d’un fils (Sébastien Capgras) de 17 ans. Peu à peu on apprendra pourquoi cette parisienne doit revenir sur les lieux où elle tomba amoureuse et enceinte à 16 ans d’un garçon qui est décédé, forcée par le père de celui-ci (Antoine Stip) et qui est ce mystérieux personnage qui tourne autour de la famille (Ambroise Michel).
L’aventure continue et vous allez bientôt découvrir la suite de leurs aventure.
l’adorable couple de la série, Julie Boulanger et Ambroise Michel nous la racontent.

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Julie BOULANGER : jouer et chanter
Julie, lorsqu’on vous voit, difficile de vous imaginer mère d’un grand gaillard de 17 ans !
C’est peut-être vrai au départ mais des filles qui sont mère à 16 ans, hélas ça existe, c’est aussi déroutant dans la vraie vie et je pense que si, au départ, on a un peu de mal à l’imaginer, peu à peu l’histoire se complique et l’on oublie ça. En plus, j’ai l’âge du personnage et c’est la première fois que je joue le rôle d’une maman. Comme j’adore les enfants, que j’ai l’instinct maternel, ça n’a pas été difficile de devenir la maman de Sébastien, d’autant que c’était son premier rôle et que j’ai pu le materner et l’aider !
Vous avez, vous aussi, commencé très tôt et de plus, avec une « marraine » prestigieuse : Michèle Morgan !
C’est vrai et elle aussi m’a beaucoup maternée. Elle avait son beau regard bienveillant sur moi, elle était très attentive, très présente.
Comment êtes-vous venue à ce métier ?
Tout à fait par hasard. J’ai toujours aimé jouer et surtout chanter. La musique est pour moi essentielle. J’ai même un groupe, les Freckles, et je me produits sur scène avec eux !
J’ai toujours rêvé de faire des comédies musicales. Le hasard d’un casting m’a fait démarrer à 15 ans et je n’ai plus jamais arrêté, passant à la télé de « Sous le soleil » à « Léa Parker », au cinéma avec « Le cou de la girafe », « Cloclo »… Mais c’est la première fois qu’on me confie un premier rôle.
Avec en prime, six mois à la Réunion !
C’est vrai, ça a été un merveilleux tournage dans des lieux idylliques, même si c’était sur un rythme très soutenu. Nous avons quand même tourné  70 épisodes de 26 minutes en 5 mois, 95 jours de tournage pour 18 minutes par jour de gardés au montage. Mais les Réunionnais sont des gens très attachants et bienveillants.
Alors aujourd’hui, cinéma, télé ou chansons ?
Pourquoi devoir choisir puisque le métier vient à moi et que j’ai autant de plaisir à chanter ou jouer ? Je prends avec plaisir tout ce qui m’arrive, je me suis bien marrée à tourner dans le programme court « VDM » (Vie de merde) pour NT1, j’écris des chansons que j’espère enregistrer, j’ai un plaisir fou à être sur scène car la musique reste le moteur de toutes mes émotions, c’est ce qui me fait vibrer…
S’il fallait choisir ?
Difficile car mon métier c’est la comédie, mon plaisir c’est la musique et j’ai besoin des deux. Mon rêve : jouer dans une comédie musicale, même, après dix ans de danse, je reste une piètre danseuses !

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Ambroise MICHEL : « c’est le métier qui m’a choisi »
Tous les fans – et ils sont nombreux ! – de « Plus belle la vie le connaissent bien puisqu’il y resta huit ans et demi avant de qyuitter la série pour mieux y revenir chez les Ch’tis !
Mais comme Julie, il a commencé très tôt, à 9 ans exactement en montant des spectacles pour sa famille et que sa sœur, le trouvant doué et lui trouvant déjà une espèce d’exigence incroyable à cet âge, le mettait en scène et lui conseilla de continuer dans cette voie. Ce qu’il fit en faisant partie, dès 12 ans, d’une compagnie « Les Sales Gosses » puis allant suivre le cours Simon.
« C’est le métier qui m’a choisi » aime-t-il à dire, remerciant aussi ses parents qui l’on ouvert à la curiosité et à la culture. Et depuis cet âge, il n’a, lui non plus, jamais arrêté de travailler, se passionnant aussi pour l’écriture, la réalisation, tournant des pubs, des clips, des courts métrages.
Son premier téléfilm date de 1998 où il tourne « Fugue en ré » auprès de Guy Marchand et France Zobda qui deviendra sa marraine. Et ce fut « Plus belle la vie »…
« J’ai appris mon métier durant ces années, ça m’a beaucoup apporté à tous les niveaux mais j’ai toujours travaillé en parallèle sur d’autres projets afin de ne pas me scléroser sur un rôle car je sais qu’une telle série peut aussi fermer des portes. Mais ce qui est important, ce sont les rencontres et c’est vrai que le succès de « Plus belle la vie » m’a aussi permis de rencontrer des gens. De plus, je suis un bosseur et je pense que le métier s’en rend compte.
Tu continues à faire du théâtre ?
Oui, j’ai même écrit une pièce à deux personnages qui s’intitule « Bad Trip » et que j’ai jouée cet été au festival d’Avignon avec mon pote Régis Vallée.
Alors, ce personnage de « Cut » ?
C’est un type taiseux, discret, dur, mystérieux, sombre. Au départ il parle peu, apparaît dans la vie de Laura (Julie) épisodiquement. Peu à peu il est de plus en plus présent et jouera un rôle de plus en plus important dans l’histoire.
Il ne te ressemble guère !
C’est vrai et c’est ce qui m’a plus et j’ai d’ailleurs beaucoup travaillé mon look, me rasant les sourcils et le crâne, me faisant des tatouages. Mais c’est ça qui est passionnant dans ce métier et jouer un bad boy m’intéressait.
Le rythme était soutenu ?
Oui mais pas plus que durant des années sur « Plus belle la vie » et comme je te l’ai dit, le travail ne me fait pas peur… En plus, tourner à la Réunion… il y a pire situation !
Aujourd’hui, tes projets ?
La suite de la série, donc, puisque la fin était restée ouverte au cas où ça marcherait. Et puis, enfin, réaliser le film dont j’ai écrit le scénario. Il y a 20 ans que je fais ce métier et… 21 ans que j’ai envie d’être réalisateur ! Donc j’espère trouver un fou qui voudra bien produire mon film !

Propos recueillis par Jacques Brachet
Photos Christian Servandier

LA ROCHELLE : Demandez le programme !

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Le 10 septembre approche et sonneront les trois coups du Festival de la Rochelle 2014 avec en ouverture un beau duo de comédiens : Sandrinne Bonnaire et Bernard Le Coq, qui n’est autre que le président du jury de ce seizième festival. On les retrouvera dans un film signé Xavier Durringer : « Rouge sang ».
Gala d’ouverture en majeur avec la présentation de ces quatre jours dédiés à la fiction TV, présenté par deux belles personnalités : Issa Doumbia, qui entre chaque soir chez vous avec « Nos chers voisins » et l’humoriste Mathieu Mafénian.
Beaucoup de stars viendront soit promouvoir un film, soit voir les copains et visionner leurs films, soit en invités d’honneur. Toutes les équipes des mini-séries si populaires viendront faire un petit coucou, de « Scènes de ménage » à « Pep’s en passant par « Les mystères de l’amour » et « Plus belle la vie ».
Dans le désordre, l’on pourra entre autre rencontrer :
Photo 1 : Michèle Laroque qui joue dans le film d’Alain Berliner » « Un fils ».
Photo 2 : Line Renaud qui sera « La douce empoisonneuse » de Bernard Stora.
Photo 3 : Corinne Touzet, invitée d’honneur de la soirée de clôture.
Photo 4 : Samuel Labarthe qui revient avec ses « Petits meurtres d’Agatha Christie ».
Photo 5 : Bruno Wolkovitch, qui partagera la vedette avec Carole Bouquet des « Hommes de l’ombre » de Jean-Luc Brondol.
Photos 6 et 7 : Philippe Bas et Odile Vuillemin présenteront la nouvelle saison de « Profilage »
Photo 8 : Mylène Demongeot, dont on fêtera l’an prochain les 80 ans, présentera « Des roses en hiver » de Lorenzo Gabriele.
Photo 9 : Claire Borotra fera partie des « Disparus » de Thierry Bimitsi.
Photo 10 : Rufus sera l’un des invités d’honneur
Photos 11 et 12 : Clovis Cornillac et Robin Renucci seront les « Chefs » d’Arnaud Malherbe où l’on retrouvera Annie Cordy.
Bien d’autres artistes s’ajouteront à cette déjà superbe affiche…
A suivre donc…

Jacques Brachet
Photos Christian Servandier et Monique Scaletta

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EUROPACORP & France 3 présenteront :
DISPARUS
Réalisé par Thierry Binisti
Avec : Vincent Perez, Claire Borotra, Cyril Lecomte
Production : Ramona Productions (Jean-Pierre Alessandri et Olga Vincent)
Diffusion : France 3
Projection le vendredi 12 septembre au cinéma Le Dragon à 09h15 (première partie) et 11h15 (deuxième partie)
En présence de :
Thierry Binisti, Claire Borotra, Cyril Lecomte, Jean-Pierre Alessandri, Olga – Vincent et Véronique Lecharpy (scénaristes), Angélique et Jean-Claude Nachon (compositeurs).

OÙ ES-TU MAINTENANT ? (Collection Mary Higgins Clark)
Réalisé par Arnaud Sélignac
Avec : Patrick Chesnais, Louise Monot, Ludmila Mikaël, Marina Golovine, Michel
Delpech
Production : EuropaCorp Television – Diffusion : France 3
Projection le jeudi 11 septembre au cinéma Le Dragon à 15h30
En présence de :
Arnaud Sélignac, Louise Monot, Fabrice Aboulker (compositeur), Thomas Anargyros et Edouard De Vésinne (co-président et producteurs délégués Europacorp Television), Clara Laplace (Productrice EuropaCorp Television).

Rochelle pour journalistes Correction La Rochelle Europacorp

L’HÉRITIÈRE
Réalisé par Alain Tasma
Avec : Anne Marivin, Patrick Mille, Laurent Malet, Alice Isaaz
Production : EuropaCorp Television – Diffusion : France 3
Projection le jeudi 11 septembre au cinéma Le Dragon à 09h00
En présence de :
Alain Tasma, Anne Marivin, Patrick Mille, Murielle Magellan et Jean Chavot (scénaristes), Nicolas Errera (compositeur), Thomas Anargyros et Edouard De Vésinne (co-président et producteurs délégués Europacorp Television), Clara Laplace (Productrice EuropaCorp Television).

DANBÉ, LA TÊTE HAUTE
Réalisé par Bourlem Guerdjou
Avec : Tatiana Rojo, Annabelle Lengronne, Assa Sylla et Médina Diarra
Production : EuropaCorp Television – Diffusion : Arte France
Projection le samedi 13 septembre au cinéma Le Dragon à 10h30
En présence de :
Bourlem Guerdjou, Tatiana Rojo, Assa Sylla, Pierre Linhart (scénariste), Fowzi Guerdjou (compositeur), Thomas Anargyros et Edouard De Vésinne (co-président et producteurs délégués Europacorp Television), Clara Laplace (Productrice EuropaCorp Television).

Correction La Rochelle Europacorp Correction La Rochelle Europacorp

Pablo VILLAFRANCA, ouvert à toutes les aventures

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Pablo Villafranca, on le connaît surtout pour « Les 10 commandements » et l’un des succès de la comédie musicale : « La peine maximum ».
Mais il a déjà une belle carrière avec de belles expériences, de jolis chemins de traverse car il n’a pas la carrière rectiligne d’un chanteur qui fait tous les deux, trois ans, un album, une tournée… Il est toujours là où on ne l’attend pas !
Il a démarré dans des groupes avec du rock pur et dur et même du heavy métal. Puis on le retrouve dans… « les années twist » de Roger Louret, changement de musique !
Puis ce sera la rencontre avec Maurane avec qui il travaille avant de l’épouser et de lui faire un enfant. Il travaillera aussi avec Catherine Lara sur un projet fou : « L’arlésienne » de Bizet « dérangée » par la chanteuse-violoniste !
Un peu de Molière (L’avare), un peu de Shakespeare (La mégère apprivoisée), un spectacle d’humour avec Roger Baquet où ils revisitent Offenbach ou Scotto. Et puis… « Les dix commandements ».
Isabelle Boulay et Natasha St Pier le prendront en première partie de leur spectacle et le revoilà parti dans un projet fou avec la non moins folle et géniale Marianne James « Miss Carpenter » qu’elle a écrit avec Sébastien Marnier et dans lequel il joue l’un de ses trois hommes avec Romain Lemire et Bastien Jacquemart.
Vous pourrez découvrir cette pièce le samedi 14 Mars à 20h30 au Théâtre Galli de Sanary.
C’est à Bandol que nous l’avons rencontré en juillet dernier aux côtés de ses complices Jennie Line et Daniel Levy pour le concert des Chœurs du Sud auquel tous trois participaient pour revisiter avec les choristes les chansons des « 10 commandements.

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Alors Pablo, c’est quoi cette pièce ? un OVNI ?
C’est à peu près ça puisque ce n’est pas vraiment une pièce de théâtre. Il y a un texte, des chansons, de la danse où trois hommes tournent autour d’une femme un peu givrée, une ancienne actrice  qui court après sa gloire perdue et des castings qui échouent. Elle se raconte, revit sa période hollywoodienne à travers ces trois hommes qui tournent autour d’elle. Chanter, ce n’est donc pas ce qu’on fait le plus. Mais c’est un spectacle difficile à raconter.

Et à jouer ?
A jouer c’est très jouissif, d’abord parce que c’est drôle, que j’y aborde tout ce que j’aime faire : théâtre, chant, danse et que travailler avec Marianne James est un énorme plaisir. Elle est totalement déjantée à la ville comme à la scène, c’est un vrai dragon mais une montagne de gentillesse, d’excentricité et nous nous payons avec elle des tranches de rires incroyables hors scène.
Nous avons joué cette pièce en octobre-novembre 2013 au Théâtre Rive Gauche à Paris, nous faisons cette tournée cet hiver et j’espère qu’on la reprendra à Paris après. Je continue à m’inscrire dans l’aventure.

Comment as-tu eu ce rôle ?
Par casting. Et ce qui est drôle c’est que je me suis présenté le dernier jour à 11 heures. J’ai tout de suite été pris et à 14 heures on démarrait les répétitions. C’est un truc qui ne m’était jamais arrivé !

Tu as l’habitude de ce genre de spectacle ?
Oui en effet car en dehors du théâtre pur j’ai souvent joué des spectacles où tout se mélangeait. J’adore ça et je pense que théâtre et musique devraient toujours aller de pair. C’est le genre de spectacle vers lequel j’ai envie de tendre.

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Tu as participé aux trois spectacles des Chœurs du Sud à Toulon, Draguignan et Bandol… Belle expérience ?
Ca a été un régal ! D’abord de retrouver mes copains des « 10 commandements » et puis d’être porté par ces chœurs extraordinaires qui ont autant de talent que de passion, c’est une expérience formidable pour nous comme pour eux car souvent, ils montent un spectacle pour ne le jouer qu’une fois. C’est un énorme travail et c’était assez nouveau pour eux d’avoir des artistes à accompagner. Mais ils nous portent vraiment et, sans avoir élevé les cochons ensemble, il s’est passé entre nous quelque chose de très joyeux et de très tendre. Ca a été un très beau moment.

Les projets de Pablo, ça va être quoi ? Théâtre, scène, nouveau disque ?
Rien de tout cela en dehors de la tournée avec Marianne. Les dates sont en train de tomber et j’espère qu’il y en aura beaucoup. Mais après ça… rien. Il y a beaucoup d’envies, de projets mais on sait que le propre des projets est de ne pas se concrétiser, du moins dans l’immédiat. alors je laisse venir les choses, je ne m’en fait pas plus que ça car se miner est dérisoire.
Je suis en tout cas prêt pour de belles aventures.

Propos recueillis par Jacques Brachet

TOULON – FÊTE DU LIVRE DU VAR

Fête livre

26 au 28 septembre 2014 : L’esprit méditerranéen souffle sur la programmation culturelle de la Fête du Livre du Var 2014

La Fête du Livre du Var, c’est un programme littéraire riche, mais aussi une programmation culturelle s’annonçant généreuse et placée sous le signe de la Méditerranée.
Plus qu’un (vaste) territoire, la Méditerranée c’est une idée, des valeurs, un mode de vie. La preuve avec l’artiste portugaise de Fado Carla Pirès, qui donnera le coup d’envoi des spectacles autour de la Fête du Livre, vendredi 26 septembre à 12h30 : car si le Portugal n’a pas à proprement parler de rivage méditerranéen, il reste très imprégné par cette culture si singulière.
Un esprit résolument méditerranéen, donc, toujours en lien avec la lecture, la poésie, la beauté du texte. Et un esprit mis à l’honneur autour d’artistes talentueux, divers, et de performances qui s’achèveront dimanche à 17h avec le récital poétique “Trois poètes libertaires du XXe siècle”, mené par Jean-Louis Trintignant et Charles Berling.

Au programme : concerts, lectures, danses…
Tout au long de ces trois jours de festivités, de jeunes talents émergents (Carla Pirès, le Quator Jasser Haj Youssef, Sébastien Ly) côtoieront des valeurs sûres (Titi Robin et Michael Lonsdale, Rocío Márquez, Sandra Bessis et Rachid Brahim Djelloul), pour une série de concerts, de lectures et de spectacles de danses.

Dans des lieux emblématiques de la vie culturelle toulonnaise
A proximité immédiate de la place d’Armes, où se déroulera la Fête du Livre en elle-même, L’Hôtel des Arts, la Maison de la Photographie, le Musée d’Art de Toulon, le Théâtre Liberté et l’Opéra accueilleront les différentes manifestations.

berling trintignant

Au Théâtre Liberté : une lecture musicale et deux récitals poétiques :
Pluie de magnifiques comédiens pour trois rendez-vous littéraires :
« Trois poètes libertaires du XXème siècle : Vian, Prévert, Desnos » vendredi 26 septembre 20h30: avec Jean-Louis Trintignant, dimanche 28 septembre avec Charles Berling. Avec Daniel Mille, accordéon et Grégoire Korniluk, violoncelle.
« Gainsbourg, poète majeur », samedi 27 septembre 20h30 :  avec Jane Birkin, Michel Piccoli et Hervé Pierre, sociétaire de la Comédie Française, accompagnés par Fred Maggi.

CONCERT A l’OPERA DE TOULON

« GRANDS AIRS ET CHOEURS D’OPÉRA »
Par l’Orchestre Symphonique  de l’Opéra de Toulon , les choeurs de l’Opéra de Toulon et l’Opéra National de Montpellier-Languedoc-Roussillon dirigés par Jean-Christophe Spinosi
Avec Ekaterina Bakanova soprano
Vendredi 19 septembre – 20h30

Ekaterina Bakanova soprano
Ekaterina Bakanova effectue ses études musicales à l’Accadémie Russe de Musique Gnessin à Moscou avec Margharita Landa. Depuis 2008, elle étudie avec Gioacchino Gitto à Rome. De 2005 à 2009, elle est soliste au Novaya Opera de Moscou. En 2006, elle chante la Reine de la Nuit/Die Zauberflöte. En 2007, elle est Gilda/Rigoletto au Festival Luglio Musicale Trapanese en Italie. En 2008, elle reprend le rôle de Gilda dans la production d’Ascoli Piceno (Italie), participe à un concert de gala à l’Opéra National de Varsovie, et chante Rosina/Il Barbiere di Siviglia à l’Opera Novaya.
En 2009, elle est Sophie/Werther (Reggio Calabria), Gilda/Rigoletto au Festival Saint-Margarethen, et participe à plusieurs concerts à Bilbao.
En 2010, elle chante la Reine de la Nuit à Saint-Margarethen, Serpina/La Serva Padrona, Barce/Hubicka de Smetana au Wexford Festival Opera, ainsi que plusieurs concerts à Riga.
En 2012, elle est récompensée au Concours des « Jeunes chanteurs d’opéra » à Come, grâce à sa prestation dans le rôle-titre de Lucia di Lammermoor, elle est engagée sur cette même production par le Circuito Lirico Lombardo. L’Associazione Lirica Concertista italiana lui attribue le prestigieux Prix AsLiCo. Elle fait ses débuts au Châtelet avec Angelica/Orlando Paladino (direction Jean-Christophe Spinosi). Elle interprète à la Fenice Micaela/Carmen puis Lucia di Lammermoor en tournée en Italie. En 2013, elle est Gilda/Rigoletto à Leipzig, Musetta/La Bohème à Turin, puis à la Fenice, Zerlina/Don Giovanni à Montpellier, Susanna/Le Nozze di Figaro à Pékin et Micaela et Violetta à la Fenice.
En 2014, elle chante notamment Pamina/Die Zauberflöte, Micaela/Carmen à Rio, Lisa/Le Pays du Sourire à Trieste, Oscar/Un Ballo in Maschera à Vérone.
Parmi ses projets : Norina/Don Pasquale, Susanna/Le Nozze di Figaro, Violetta/La Traviata à la Fenice, Musetta/La Bohème au Covent Garden.
Ekaterina Bakanova est lauréate de nombreux concours : 1er Prix du concours russe « Bella Voce » (Moscou), Concours International de jeunes chanteurs d’opéra « Maria Caniglia » (Sulmona, Italie), 1er prix au Concours International de chant de Bilbao et 2e Prix au Concours International d’Opéra Riva del Garda (Italie).

EBakanova-®DorisKucera SPINOSI  Jean Christophe Photo-®Jean-Baptiste Millot

Jean-Christophe Spinosi direction musicale
Violoniste passionné par de nombreuses formes d’expression musicale, Jean-Christophe Spinosi étudie très jeune la direction d’orchestre. Egalement passionné de musique de chambre et de musique d’ensemble, il fonde en 1991 « le Quatuor Matheus » qui deviendra « l’Ensemble Matheus ». Les concerts sont organisés avec un mélange des genres souvent iconoclaste dans lequel Herbie Hancock côtoie Freddie Mercury, Telemann ou John Cage. En 2005, ses recherches sur les répertoires originaux le poussent à réaliser avec « l’Ensemble Matheus » une série d’enregistrements consacrés à Vivaldi. Plusieurs albums et quatre opéras seront produits. Différentes productions permettront à Jean-Christophe Spinosi de nouer des amitiés musicales privilégiées avec des artistes de premier plan. Citons parmi eux Cecilia Bartoli, Marie-Nicole Lemieux, Natalie Dessay et Philippe Jaroussky, avec lequel il enregistre l’album «Heroes» (double disque d’or).
Avec son orchestre, il dirige fréquemment de nouvelles productions au Théâtre du Châtelet.
Il travaille depuis plusieurs années avec des metteurs en scène comme Pierrick Sorin (La Pietra del Paragone de Rossini en 2007), Oleg Kulik (Les Vêpres de la Vierge de Monteverdi en 2009), Claus Guth (Le Messie de Haendel au Theater an der Wien en 2009)… Pour la production d’Orlando Paladino qu’il a dirigée en 2012 au Théâtre du Châtelet, il associe Kamel Ouali à ce projet.
Ses passages à l’Opéra de Paris et au Théâtre des Champs-Elysées ont reçu le même succès, comme l’a récemment prouvé sa direction de La Flûte Enchantée.
En 2011, il est invité avec « l’Ensemble Matheus » pour une série de concerts aux côtés de Cecilia Bartoli. Cette association fructueuse se prolonge par une tournée européenne dans les villes de Munich, Prague, Baden-Baden et au Château de Versailles. Il travaille régulièrement avec de nombreux orchestres : Wiener Staatsoper, Deutsches Symphonie Orchester de Berlin, Orchestre Philharmonique de Monte-Carlo, Radio Sinfonie-Orchester Frankfurt, Orchestre du Capitole de Toulouse, Scottish Chamber Orchestra, New Japan Philharmonic, Royal Stockholm Philharmonic Orchestra, Orquesta Nacional de España, City of Birmingham Symphony Orchestra, NDR Radiophiharmonie Hannover, Orchestre de Paris.
Jean-Christophe Spinosi poursuit sa collaboration avec Cecilia Bartoli au Theater an der Wien en 2013 pour Le Comte Ory.
Ces dernières saisons, Jean-Christophe Spinosi dirige Le Barbier de Séville à l’Opéra de Stockholm, puis au Wiener Staatsoper. Il est à la tête du Deutsches Symphonie Orchester de Berlin (Ravel, Debussy), du Rundfunk-Sinfonieorchester de Berlin, et de nouveau du Royal Stockholm Philharmonic Orchestra…