La fête des voisins, toutes générations confondues

A

C’est la fête qu’aujourd’hui tout le monde attend pour se retrouver autour d’un verre, d’une pizza, d’un gâteau. Une fête devenue incontournable au fil des années et qui est devenue un moment d’amitié, de chaleur humaine à l’heure où toute communication se passe au travers d’Iphones, de mails, toutes ces machines, certes utiles et devenues -trop ? – indispensables mais qui ont tué les relations toutes simples d’un voisin à un autre.

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La dernière arrivante du lotissement : Prada, dans bras de Jean-Philippr Pastor.
Ah, les fameux cannelées de Mme Névain qu’on attend chaque année avec impatience !

Et l’on découvre aujourd’hui que cette fête favorise les rapprochements dont on a tellement besoin, les personnes seules retrouvant de la compagnie, les couples faisant connaissances avec d’autres couples, ce qui leur donne envie de faire des balades, des voyages, des repas ensemble, et même les gosses qui, au cours d’une soirée, font connaissance et au bout de cinq minutes jouent au ballon, aux patins, à la trottinette… Et ça fait chaud au cœur de retrouver tous ces gens qui, quelquefois, sont à quelques encablures l’une de l’autre, se voient peu et se retrouve autour de plein de bonnes choses concoctées par chacun

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Au lotissement le Verger, à Six-Fours, aujourd’hui tout le monde se connaît. La preuve, certains partent en voyage ensemble où se retrouvent pour un repas, on fait connaissance des nouveaux arrivés, d’un enfant, d’une compagne ou d’un compagnon et même cette année d’une chienne avec qui le conseiller municipal Jean-Philippe Pastor, venu rejoindre le clan a fait ami-ami…Venue également en voisine et amie, Gisèle Hamm-Creveau, conseillère municipale, qui elle aussi aujourd’hui partie du clan. Un clan très ouvert et très accueillant.
On prend des nouvelles de chacun, des absents pour diverses raison à qui on envoie des selfies. C’est la grande mode et, à quelque chose malheur est bon, la photo arrive à destination en quelques secondes !

B

Mais bien sûr rien ne vaut la présence humaine et ce genre de fêtes ne peut que rapprocher les gens et se rendre compte qu’avec pas grand chose, un sourire, une parole, un regard, un peu d’attention envers l’autre, le monde est bien plus joli.

Jacques Brachet