Archives mensuelles : décembre 2022

France 3 – inédit « Crime à Ramatuelle »
avec Florence Pernel et Lola Dewaere

samedi 7 janvier à 21h10

CRIME À RAMATUELLE

Élisabeth Richard, fraîchement nommée procureure, est de retour pour une nouvelle enquête dans la région de Ramatuelle. Elle sera, de nouveau, entourée par Caroline Martinez et Jérôme Leclerc.
Résumé de ce nouvel opus
À Ramatuelle, on retrouve, assassiné chez lui, Sébastien Lacassagne, un jeune patron qui dirigeait une plage et un domaine viticole. La procureure Élisabeth Richard accompagnée de la capitaine Caroline Martinez se retrouvent sur place pour résoudre cette enquête où la liste des suspects s’allonge à mesure de leurs avancées. Elles recroisent sur les lieux le journaliste Grégoire Spaletta. Ce dernier joue double jeu avec nos enquêtrices, qui vont rapidement relier le meurtre de Lacassagne à la disparition deux ans plus tôt d’une jeune Suédoise qui n’était autre que la petite amie du journaliste…

CRIME À RAMATUELLE CRIME À RAMATUELLE
Mathieu Burnel – Arièle Semenoff – Alexandre Labarthe

Avec Florence Pernel (Élisabeth Richard), Lola Dewaere (Caroline Martinez), Matthieu Burnel (Jérôme Leclerc), Florent Peyre (Grégoire Spaletta), Arièle Sémenoff (Christine Lacassagne), Chloé Chaudoye (Ambre Lacombe), Cécilia Cara (Louise Garnier), Pierre Hancisse (Jules Andreotti)…
90 min
Auteurs : Jean Falculète, Frédéric Faurt
Réalisation : Nicolas Picard-Dreyfuss

CRIME À RAMATUELLE CRIME À RAMATUELLE CRIME À RAMATUELLE
Lola Dewaere – Chloé Chaudoye – Florence Pernel

Vincent FERNANDEL
« Ma famille est mon ADN et mon héritage »

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Je me souviens d’un petit garçon de sept-huit ans qui m’avait rabroué parce que je ne lui avais pas demandé de me signer le livre de son père, « Fernandel de pères en fils ». Ce gamin était Vincent, fil de mon ami Franck Fernandel, que j’avais invité à Toulon pour signer son livre.
Le minot a aujourd’hui 40 ans (Eh oui !), son père nous a quittés depuis dix ans et quand je regarde Vincent, je vois son père, tant il lui ressemble.
Le troisième Fernandel a depuis, taillé sa route mais, un chien ne faisant pas un chat, il écrit des chansons, des pièces de théâtre, des livres, il a été journaliste et il rigole lorsque j’évoque notre première et seule rencontre ;

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« Oui, ça me fait rire car j’ai eu une éducation entre des parents très présents, un père qui avait une idée simple de ce métier. Il n’a jamais voulu être une star et avait beaucoup de recul face au show biz. Il relativisait le fait d’être le fils d’une vedette et artiste lui-même. Et il a toujours été vigilant face à mon éducation.
Il ne m’a jamais rien imposé, m’a toujours dit de faire ce que je voulais, à condition d’être sérieux dans mon travail, honnête et digne du nom que je portais.
Je ne me suis jamais senti investi de quoi que ce soit. Avec lui, on parlait de tout et rarement de son métier. Je suis heureux et fier du père que j’ai eu et ce que tu me racontes aujourd’hui me fait rire car c’est tellement loin de moi ! Mais petit, être fils et petit-fils de personnages comme eux n’est pas toujours évident, surtout vis-à-vis des gens qui imaginent mal que nous sommes des personnes comme les autres. Et je remercie mes parents de m’avoir donné ce sens des réalités.
Justement, comment se construit-on entre deux célébrités ?
Comme un garçon ordinaire. Au départ, j’ai eu envie de faire des études audiovisuelles. Je n’avais aucune velléité d’être chanteur ou comédien. Je préférais être dans l’ombre pour mettre les autres en valeur. Je pensais que ma place était derrière. Le hasard a fait qu le producteur de Frédéric Lopez m’a proposé d’être chroniqueur sur Match TV, qui n’existe plus d’ailleurs. J’ai été happé par les médias, puis je suis devenu animateur, journaliste spécialisé dans le cinéma sur M6.
Mais j’ai toujours gardé cette envie d’aider les gens.
J’aimais le théâtre, non pour être comédien mais pour aider des jeunes comédiens. J’ai donc pris des cours de théâtre et j’ai créé les Ateliers Vincent Fernandel.

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Et tu t’es pris au jeu ?
C’est grâce à Fanny Tempesti, fille de Gérard Tempesti, le producteur de mon père, qui a pris le relais de son père. Un jour, me voyant raconter des histoires à des enfants et voyant leurs yeux briller, elle me dit : «Pourquoi n’enregistrerais-tu pas des contes ? Si ça te dit, je m’occupe de toi»
C’est  ainsi que ça a commencé. J’ai enregistré les fables de la Fontaine puis, j’ai pensé à mon idole : Alphonse Daudet. Je pense que s’il n’avait pas existé, nous n’aurions pas eu Giono ou Pagnol. J’ai donc enregistré « Les lettres de mon moulin »,
(Sortie le 16 décembre sur toutes les plateformes.Le volume 2 sortira le 27 janvier et le volume 3 le 24 février)
C’est un nouveau tournant pour toi ?
Tu sais, je vais avoir 40 ans, j’ai toujours aimé dire les mots de Daudet et je pense que c’est arrivé en temps et en heure. Il me fallait du temps. J’ai toujours eu besoin de temps pour faire quoi que ce soit. Le temps est donc arrivé. Du coup, j’ai créé les productions Vincent Fernandel aidé par Fanny. Sans elle, je ne l’aurais pas fait car elle a toujours été auprès de moi comme elle l’était auprès de mon père. Je lui dois beaucoup.
Tu as écrit un livre sur ton grand-père mais pas sur ton père…
Tu sais que tu es le premier qui me pose cette question et ça me fait plaisir que ça vienne toi qui as été l’ami de Franck.
Lorsqu’on m’a proposé d’écrire ce livre sur Fernandel, j’ai plusieurs fois refusé. Ce qui m’a décidé c’est qu’alors il allait avoir cent ans et j’ai eu peur qu’a l’occasion, il sorte tout et n’importe quoi sur lui, comme ça a déjà été le cas. J’ai donc décidé de le faire car moi, je savais de quoi je parlais !

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Et Franck alors ?
Il y a dix ans qu’il a disparu, il a enregistré beaucoup de chansons et quelques succès. Je me suis dit qu’on ne les entendait plus et, plutôt que d’écrire un livre, pourquoi ne pas rééditer toutes ces chansons ? Et pourquoi ne pas devenir le producteur de mon père ?  Le problème était que je n’étais ni propriétaire ni producteur de ses chansons. J’ai décidé de le devenir. Ce qui a été un très long travail car je voulais qu’il soit fier de moi. Autre hasard : un jour le directeur artistique de Marianne Mélodie, Matthieu Moulin, m’appelle pour me dire qu’il voulait sortir une compilation de ses chansons, ce qui m’a fait énormément plaisir. Je me suis dit qu’il était temps de faire ce que je voulais faire. J’ai mis deux ans pour récupérer quelque vingt masters, dont le disque de « L’amour interdit » qui date de 83. Je compte sortir tout ça en 23.
Tu produis d’autres choses ?
Je suis en train de travailler avec un jeune chanteur, Florent Richard et son premier album devrait aussi sortir l’année prochaine. Là encore, j’ai pris le temps car je préfère faire une chose à fond plutôt que de faire n’importe quoi à la va vite. Une bonne daube ne se fait pas en deux heures !
J’ai toujours pris le temps de faire chaque chose et installer des échanges humains.
Dans tout ce que tu as fait, il est une chose qui est un peu originale : la sortie d’un livre intitulé « Au cœur de la fougère », un livre parlant… rugby !
(Il rit) Là encore le hasard car je ne connais strictement rien en rugby !
Un jour, un un producteur me convie à rencontrer le journaliste, Ian Borthowick, car il veut me rencontrer pour un documentaire qu’il veut faire sur les All Black. Curieux, je le rencontre et je lui dis que je ne suis pas l’homme de la situation. Au bout de six heures d’entretien, il me propose quand même de partir avec lui en Nouvelle Zélande.
Nous y avons passé 45 jours mais en revenant,le producteur a été lâché par un investisseur. Que faire de tout ce travail ? Heureusement, je prenais des notes jour après jour et lui faisait les photos. On a donc décidé d’en faire un livre… Voilà l’histoire. Ça n’a pas été un bestseller mais une belle expérience qui m’a appris beaucoup de choses.
En fait, tu es un artiste multiple et un homme heureux !
On peut dire ça. J’ai la chance, le luxe d’avoir une famille qui m’a donné de belles bases d’amour, de simplicité, de joie de vivre. En plus, lorsque je rencontre des gens qui me parlent avec toujours autant d’émotion et d’admiration de mon père et de mon grand-père, ça ne peut que me rendre heureux.
Ma famille est mon ADN et mon héritage.
J’en suis fier.

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Propos recueillis par Jacques Brachet
Photos Sophie di Malta

Notes de musiques

BAIJU BHATT & RED SUN. – PEOPLE OF TOMORROW (Neuklang NCD4269 – 15 titres)
Le violoniste Baiju Bhatt est né de père Indien (Rajasthan) et sitariste, et de mère Suisse. La vie s’ouvrait pour lui sur les mélanges. Ce qu’on retrouve dans sa musique qui repose sur un fond de musiques indiennes qui se mêlent à différents styles musicaux : musiques classiques, traditionnelles, rocks, orientales, vaguement jazz. C’est un arc en ciel de tours du monde, de tourbillons chatoyants, partagés par son groupe habituel : Valentin Conus (ss, ts), Mark Priore (p, clav), Blaise Hommag (eb), Paul Berne (dm), plus quelques invités de marque : Nguyên Lê (g), Raphëlle Brochet (voc) , Robinson Khoury (tb), Prabhu Edouard (tablas) et d’autres.
Baiju Bhatt  a étudié au Conservatoire de Lausanne et à l’École des hautes études de musique. Il découvre le jazz au piano, mais swingue au violon dans les bars. Il a également étudié avec Didier Lockwood et Jean-Luc Ponty ; le jeu de violon de celui-ci, et la sonorité de celui-là, sans parler, et surtout, des inflexions indiennes.
On a affaire ici avec une musique brillante, vibrante, reposant sur 15 nouvelles compositions du leader qui emportent aussi bien le groupe Red Sun en osmose totale qu’un joli nombre d’invités. A noter un morceau duo piano-violon pizzicato « Postlude » très réussi. Et encore le morceau titre, qui décale « The People of Tomorrow » dans lequel le violon marie l’indien au celtique.
Un disque pour amateur de mélanges savants. Mais à mélanger les cultures que restera-t-il à mélanger pour les prochaines générations ?

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LEHMANNS BROTHERS – THE YOUNGLING (vol 2
(Alhambra Studios Live session (10H36) – 5 titres)
Revoici le quintette de base des Lehmanns Brothers avec une kyrielle d’invités. Eux aussi sont des adeptes (air du temps oblige) du mélange des cultures musicales et des influences multiples. Ceci posé ils s’en sortent bien.
Un début à la Beatles. En 2012, cinq Lycéens d’Angoulême se réunissent dans un garage pour créer leur propre son en partant de  leur passion du funk et du hip-hop. Ce sont Clément Jourdan à la basse, Alvin Amaïzo à la guitare, Dorris Biayenda à la batterie, Jordan Soivin au trombone, Julien Anglade au chant et aux claviers.
Ils ont un son de groupe qui fait plaisir à entendre. Julien Anglade est à la charnière du funk, de la soul, du gospel et de Sting, dont il a hérité du timbre de velours et du charme, avec un excellent groove ; écouter par exemple « Rain ». Les Brothers ont su s’accaparer avec maestria des courants actuels, par exemple le Hip-Hop complètement renouvelé dans « Picture Perfect », ou le jazz avec « Far Into The Jungle’s Depth » où domine un beau solo de sax.
Les cuivres des invités, les chanteurs du chœur, tout ce beau monde se lance en background façon big band sur des tenues à l’unisson. Effets garantis, avec une rythmique défonce.
KIMYA ENSEMBLE – BETWEEN MIST AND SKY
(Urborigène Records 005 – Inouïe Distribution – 7 titres)
Amir Amiri (santour) et Olivier Marin (alto et viole d’amour) viennent de la scène montréalaise. A Paris ils fondent le groupe  Kimya en accueillant Roméo Monteiro (perçus indiennes) et Andrew Briggs (violoncelle). Ce quatuor de chambre mêle musiques classique et contemporaine européenne, du Moyen-Orient et de l’Inde. La pochette nous indique que Kimya signifie alchimie en Arabe. Reste à savoir si ces musiciens réussissent l’alliage des musiques pour obtenir de l’or ? Rien n’est moins sûr.  Entre « La brume et le ciel » je reste dans la brume.
Certes ce sont d’excellents musiciens, munis d’une technique sans failles et d’une culture musicale sans reproches. Mais je préfère l’original aux triturations Musiques du monde. Je ne suis pas compétent pour juger du rapport aux musiques indiennes, bien que je les aime beaucoup, ici ça manque de vie, c’est très, trop, appliqué. Seule l’interprétation de « Les folies d’Espagne » de Marin Marais, et « Habib » (parce que j’adore le santour) me titillent l’oreille.

Serge Baudot

 

Thibault de MONTALEMBERT, acteur anglo-saxon ?

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On connait le comédien qui a explosé dans la série « 10 pour cent » mais qui poursuit une magnifique carrière au théâtre, au cinéma, à la télévision.
On l’a notamment vu dans « L’absente » avec Clotilde Courau, dans « Les aventures du jeune Voltaire » avec Thomas Solivéres et il nous a offert un rôle irrésistible de travesti dans « Miss ».
Mais depuis quelques temps, est de plus en plus appelé par le cinéma anglo-saxon.
Et du coup, depuis quelques mois, il enchaîne des films anglais et américain, pour la plupart du temps en France mais sa carrière est en train de devenir internationale.
Le rencontrer est toujours un moment amical et là, son actualité étant tous azimuts que je ne pouvais pas la passer sous silence !

« Ça va pour toi, Thibault, en ce moment !
(Il rit) Je n’ai pas à me plaindre puisque j’ai été sur quatre films ou séries à la suite… Et en plus, sans souvent quitter Paris puisque aujourd’hui, les américains viennent de plus en plus tourner chez nous et en Angleterre, grâce à un plan fiscal qui les fait venir ici. Du coup je joue chez moi la plupart du temps.
Alors, on commence par quoi ?
Eh bien « Benjamin Franklin » qui est une grosse série d’Apple, réalisée par Timothy van Patten, où les acteurs sont américains et français. Franklin est joué par Michaël Douglas mais on retrouve Jeanne Balibar, Ludivine Sanier, Robin Renucci…
J’ai eu la chance d’être choisi le premier sans passer par un casting.

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Dans « Voltaire » (Le duc d’Orléans) – Dans « Miss »

Quelle en est l’histoire ?
Le scénario est tiré du livre de Stacy Shift « La grande improvisation ».
Je suis le ministre des affaires étrangères de Louis XVI, Charles Gravier de Vergennes. Il fut diplomate durant 13 ans chez le sultan de Turquie et est nommé à Versailles pour succéder à Maurepas. Ça se passe sur dix ans, entre 1770 et 17779, et dix ans avant la Révolution. Il y a Beaumarchais qui est un espion et un trafiquant d’armes pour les américains et Benjamin Franklin, connu internationalement pour ses inventions, mais pas non reconnu en politique, vient demander à la France un soutien en argent et en armes pour aider les anglais.
On connaît peu ce de Vergennes
C’est vrai qu’il n’est pas connu du grand public et je pense que c’est un oubli fâcheux de l’Histoire car s’il n’est pas un courtisan, c’est un homme très cultivé et très bosseur. On peut dire qu’il a inventé la diplomatie moderne.

L'ABSENTE 5
Dans « L’absente »

Oublions donc l’Histoire et les perruques… Tu te retrouves dans « My mother’s wedding ».
Et ça, c’est la cerise sur le gâteau car c’est Kristin Scott Thomas qui m’a proposé ce rôle dans le premier film qu’elle réalise et dans lequel elle joue une femme qui a trois filles et qui va se marier pour la troisième fois. Ses filles sont jouées par Scarlet Johanson, Emily Beecham (qui a eu le prix d’interprétation au festival de Cannes) et Sienna Miller. C’est, je crois, l’histoire romancée de Kristin.
Et toi dans tout ça ?
Je joue un caméo (genre guest star !), un milliardaire qui est amoureux fou de Sienna Miller et qui arrive à l’improviste au mariage… en hélicoptère. Ça a été un film très joyeux à faire avec quatre actrices magnifiques.
Et nous voilà au troisième film : « Heart stopper »
C’est une série adaptée d’une BD qui a eu un énorme succès en Angleterre, la série a fait un carton et du coup d’autres épisodes sont tournés. Je ne connaissais pas du tout la série, j’ai dû donc toute la regarder ! J’ai aimé et surtout, on me proposait de tourner avec Olivia Colman (The Crown)… Et ça, ça ne se refuse pas car elle est une actrice admirable et une femme exceptionnelle.
Alors, heureux ?
Evidemment, d’autant qu’aujourd’hui je reçois plus de propositions anglo-saxonnes que françaises.

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Tu as quand même tourné « A l’Ouest rien de nouveau » !
Oui, c’est vrai et j’y joue le Maréchal Foch. Je suis tellement grimé qu’on a du mal à me reconnaître ! Mais j’ai de très belles scènes. C’est un film de l’allemand Edward Berger, un film de guerre où j’incarne le général Ferdinand Roch.
Mais j’ai aussi tourné pour Netflix « A.K.A» de Morgan Dalibert. Je suis un mec des services secrets français, une sorte de barbouze et j’ai été heureux de tourner avec Alban Lenoir, comédien mais aussi réalisateur de « Balles perdues » 1 et 2.
Avec tout ça, plus de théâtre, je pense !
Eh bien non puisque je reprends, du 10 février à fin avril au Théâtre libre, la pièce tirée du livre d’entretiens de Gérard Davet et Fabrice Lhomme, journalistes du Monde, avec François Hollande « Un Président ne devrait pas dire ça ». J’y joue avec Hélène Babu, mon épouse, Scali Delpeyrat et la chroniqueuse Lison Daniel.
Il y a d’autres projets mais pour le moment je ne peux pas t’en parler ! »

On attendra donc des nouvelles du plus anglo-saxon de notre comédien français !

Jacques Brachet