Archives mensuelles : octobre 2017

Saint-Maximin
Sandrine GABBERO… De l’énergie à revendre !

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Cette Toulonnaise « émigrée » à St Maximin, a deux amour : les arts plastiques et les médecines douces. Elle est donc plasticienne mais aussi thérapeute énergéticienne, c’est à dire qu’elle vous transmet son énergie, qu’elle sait capter en vous les émotions, les problèmes au niveau de votre champ magnétique.
Et elle mène ces deux passions avec… énergie, c’est le cas de le dire car elle ne tient pas en place plus de cinq minutes, fait mille choses sans se démonter ni jamais se stresser et sait vous transmettre cette énergie qu’elle a à revendre.
Elle n’a jamais voulu choisir entre ses deux passions même si, par période, elle a laissé l’une pour mieux se consacrer à l’autre.
Aujourd’hui, c’est définitif et la voilà que, sur un coup de foudre, elle s’installe à St Maximin. Pourquoi ?
« C’est par hasard – me dit-elle – qu’en me baladant dans cette ville, j’ai découvert un petit local à louer qui ne payait pas de mine, au 22 de la rue République. En y entrant j’ai découvert un petit escalier qui menait à deux salles voûtées pleines de charme. Aussitôt je me suis dit : « C’est là que je veux m’installer ! ». Et je ne le regrette pas dans la mesure où j’ai reçu un superbe accueil de la part de la mairie et surtout des commerçants qui, dès mon installation, sont venus me souhaiter la bienvenue. En quelques jours j’ai découvert une famille ».

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D’ailleurs ils étaient tous autour d’elle pour l’inauguration, boulanger, charcutier lui offrant leurs produits, fleuriste lui proposant la déco et plein d’autres venant l’aider à tout préparer, à servir… Bref, toute la famille était là, même Mme Christine Lafranchi-Dorgal, maire pour encore peu de temps, venant d’être élue sénateur.
Alors, dans ce lieu qui respire l’art et la sérénité, baptisé « Entreciel Ether », elle va développer et proposer tout ce qu’elle aime. Tout d’abord ses propres peintures, qui évoquent le cosmos, mais aussi celle d’artistes de la ville et de la région car elle aussi veut les aider à sa manière, c’est à dire à les faire connaître.
Ainsi expose-t-elle peintures, photos, sculptures, émaux, bijoux, marqueterie, vitraux, et bientôt bois et ferronnerie. Et ainsi découvre-t-on Julien Lenoir, Marie-Carmen Garcia, Fabienne Lemarie, Thierry Chatelon, Xavier Consin, Tristan Capain…
Et puis, tout au fond, en bas de la galerie, une toute petite pièce où elle reçoit, pour des « chouchoutages », comme elle aime à dire, des clients pour de l’acu-pression, c’est à dire une acupuncture sans aiguille, uniquement avec la pression des doigts, mais elle propose aussi de l’alignement énergétique et de la méditation collective.
Dès que vous passez l porte de ce lieu, vous êtes sous le charme du beau, de la sérénité et plus vous descendez, plus vous être pris par cette ambiance particulière… qui, si vous le désirez, vous mènera à la porte ultime afin de régénérer votre bien-être.
Et Sandrine, plus que tout autre, retransmet à merveille cette belle énergie qu’elle a en elle !

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Avec Mme Christine Lafranchi-Dorgal,

Jacques Brachet
Photos Monique Scaletta
06 24 5118 75 – sandrinegabbero.wixsite.com/theartist – sandrine.gabbero@gmail.com

La Rochelle 2017
Quand « les grands »… deviennent grands !

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Arrivée à la Rochelle d’une vraie colonie de vacances : Vianney Lebasque, le réalisateur de la série d’OSC « Les grands », entouré de toute son équipe avec cinq des comédiens de cette série à succès qui a reçu l’an dernier à la Rochelle trois prix dont les deux prix d’interprétation jeunes espoirs : la belle Adèle Wismes et le toujours hirsute Grégoire Montana. Avec eux, Pauline Seyriès, Sami Outalbali, Théophile Baquet.
Joyeuse bande que celle-ci, dont les cinq comédiens qui passent cette année du collège au lycée. Et du coup, les grands deviennent les petits mais restent potaches, pleins de vie et d’espoir même si, grandir, devenir ado n’est pas toujours un long fleuve tranquille.
On les retrouve donc avec plaisir dans de nouvelles aventures estudiantines et il sortiront même de leur huis clos pour une petite escapade à Amsterdam… lieu de tous les interdits.
En tout cas à la Rochelle, ils étaient bien dissipés même si, le soir de la remise des prix, Vianney, seul sur scène, était très ému de recevoir ce quatrième prix : le prix du meilleur réalisateur !
Nous les avions tous rencontrés dans l’après-midi et s’ils étaient tous heureux de se retrouver, déjà le réalisateur était un peu inquiet :
« C’est d’abord émouvant de se retrouver cette année à la Rochelle. Ayant raflé trois prix l’an dernier nous ne pensions pas être sélectionnés pour la compétition.
Avec cette seconde saison, nous nous remettons en danger car nos ados franchissent une nouvelle étape, nos ados se retrouvent au lycée et l’on aborde donc des sujets plus graves, plus adultes. Ils ont grandi ».
Les scénaristes et auteurs nous disent la joie que OSC leur ait totalement fait confiance pour une seconde saison alors même qu’ils ne savaient pas encore si la série aurait du succès ou non. Du coup, ils sont d’autant plus heureux qu’ils ont déjà signé pour une troisième saison !

Grégoire Montna Vianney Lebasque Pauline Seyriès
Grégoire Montana – Vianney Lebasque – Pauline Seyries 
Grégoire Baquet – Adèle Wismes – Sami Outalbali

 Grégoire Baquet Adèle Wismes Sami Outalbali

Vous êtes trois scénaristes : Joris Morio, Victor Rodenbach, et vous, Vianney.
Comment travaillez-vous ?
Nous faisons des ateliers à trois, chacun explique comment il voit évoluer les personnages, leur trajectoire, les histoires qui peuvent se créer entre eux. Nous avons, cette année, essayé d’aller plus loin, les sujets ayant changé, les préoccupations des ados n’étant plus les mêmes. On écrit, on se raconte ce qu’on écrit, on le propose aux producteurs, on repart, on revient sur des événements, on confronte nos idées et peu à peu les histoires s’imbriquent, le scénario voit le jour.
Cette année, le sujets semblent plus sombres…
Sombres… c’est peut-être exagéré mais nous avons voulu monter les enjeux. Disons que c’est plus dramatique car ils commencent à avoir des problématiques d’adultes. On aborde des sujets plus interdits, plus dangereux. Des sujets qui se confrontent à la réalité.
Et puis, l’on connaît mieux nos comédiens, l’on s’en nourrit mutuellement, on voit jusqu’où on peut les amener.
Les comédiens sont-ils restés les mêmes ?
Les personnages récurrents sont restés, certains sont partis, d’autres ont pris la place. Du coup d’autres personnages ont vu le jour et l’on va voir si l’on peut en faire évoluer certains. Ca donne un peu de sang neuf. »

Grégoire Montana2

J’avais eu l’occasion de rencontrer Grégoire Montana l’an dernier et nous nous retrouvons avec plaisir. A l’époque, il ne savait pas s’il y aurait une suite. Il y était un ado un peu immature, un peu poète, lunaire et timide, ayant des difficultés à aborder les filles.
Grégoire, as-tu pris du plaisir à retrouver ton personnage ?
Plaisir et stress mêlés. Plaisir parce que j’aime cette série, j’aime mon personnage qui, tout en étant le même, a évolué avec le temps, il a vécu plein de choses au collège, il a mûri. Il a évolué dans la vie et la question était de savoir si j’avais ou j’allais bien évoluer !

Vianney, combien de temps a duré le tournage ?
Vingt-cinq jours… pour mettre en boîte dix épisodes de 26′ ! Nous avons tourné à Tours et à Amsterdam. Et même si nous avions moins de moyens qu’une grande chaîne, grâce à OCS nous avons travaillé en toute liberté, dans une confiance totale ».
Et Adèle Wismes d’ajouter : « Nous avons été heureux de tous nous retrouver car aujourd’hui nous formons une grande famille. Il y a entre nous une telle fusion que, même hors tournage, nous continuons à nous réunir ! »

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Propos recueillis par Jacques Brachet.