Archives mensuelles : octobre 2014

Saint-Cyr sur mer
Concert des Vespérales – Franck ASPARTE
Bel Canto & mélodies napolitaines

Dimanche 9 novembre 2014 17h – Chapelle des Lecques
L’acte deux des concerts des Vespérales nous emportera vers l’Italie en célébrant le Bel Canto et les mélodies napolitaines le 9 novembre à la chapelle des Lecques.

franck portrait

Primé en janvier 1997 au Concours international de chant de San Remo, la même année, Franck Asparte remporte le premier prix à l’unanimité avec les félicitations du jury lors du Concours de Béziers. Il sera également finaliste de nombreux concours internationaux de chant en 1998 et 1999. Depuis, plusieurs scènes tant nationales qu’internationales l’ont invité à se produire dans les rôles de Don José dans Carmen de Bizet, Cavaradossi dans Tosca de Puccini, Angelo dans l’Opéra d’Aran de Gilbert Bécaud, Radamès dans Aïda de Verdi, Hoffmann dans les Contes d’Hoffmann d’Offenbach, Turridu dans Cavalleria Rusticana de Mascagni, Faust dans Faust de Gounod, Ismaël dans Nabucco de Verdi. Pour la commémoration des
50 ans de carrière de Franco Corelli, il a été invité par le Teatro Lirico Sperimentale di Spoleto pour interpréter le rôle de Don José dans Carmen de Bizet et a participé à une tournée au Japon pour camper les rôles de Rodolphe dans la Bohème de Puccini, le Duc dans Rigoletto et Manrico dans Le Trouvère de Verdi pour une série de récitals à Tokyo et Kyoto. Sa puissance vocale et sa capacité d’émouvoir font de lui un interprète idéal pour tout le répertoire vériste.
Primé en janvier 1997 au Concours international de chant de San Remo, la même année, il remporte le premier prix à l’unanimité du Concours de Béziers. Il sera également finaliste dans de nombreux concours internationaux de chant en 1998 et 1999.
Des Master classes renommées l’ont accueilli comme l’Académie de musique Chigiana de Siena avec Carlo Bergonzi et celle de Saint Céré avec Gabriel Bacquier et Michèle Command.
Il a participé à des croisières lyriques : transatlantique sur le « Clubmed 1 », Nordique pour Kuoni.
Il a été successivement « Don José » dans Carmen de Bizet avec le Royal Opera Canada à Toronto et Mississauga pour neuf représentations, à Calais, Troyes, Aix en Provence, au Teatro Lirico Sperimentale di Spoleto, Tirana en Albanie et New Delhi en Inde, « Turridu » dans Cavalleria Rusticana de Mascagni à Paris, « Hoffmann » dans Les Contes d’Hoffmann d’Offenbach au festival lyrique de Gattières , « Angelo » dans l’Opéra d’Aran de Gilbert Bécaud à Calais, « Mario Cavaradossi » dans Tosca de Puccini à Lyon, et « Alfredo » dans Traviata de Verdi à New Delhi, Bombay et Calcutta en Inde. Il  effectua une tournée en France pour interpréter « Radames » dans Aïda de Verdi, « Alfred » dans La Chauve Souris de Strauss, « Faust » dans Faust de Gounod, « Jésus » dans Marie Madeleine de Massenet, « Jean-Pierre » dans La Route Fleurie et « Vano Balestra » dans Gipsy de Lopez, « Danilo » dans La Veuve Joyeuse de Léhar, « Paris » dans La Belle Hélène d’Offenbach, « Carlos Medina » dans La Belle de Cadix de Lopez, « Tamino » dans La Flûte enchantée de Mozart, « Ismaël » dans Nabucco de Verdi en Italie sur le Lac de Garde ; rôles dans lesquels il triompha. Il a été engagé pour une série de cinq Requiem de Verdi pour une tournée en France et en Suisse et a participé à une tournée au Japon pour interpréter les rôles de « Rodolphe » dans La Bohème de Puccini, « le Duc » dans Rigoletto et « Manrico » dans Le Trouvère de Verdi pour une série de récitals à Tokyo et Kyoto. Remarqué, il a été invité à l’Opéra de Monte-Carlo pour Le Rossignol de Stravinsky, et Les Contes d’Hoffmann d’Offenbach.
Nice l’a également engagé pour de nombreux récitals où il a interprété les airs les plus prestigieux du répertoire lyrique comme ceux de « Don José » dans Carmen de Bizet, de « Turiddu » dans Cavalleria Rusticana de Mascagni, de « Max » dans Der Freischütz de Weber, « Macduff » dans Macbeth de Verdi, de « Rodolphe » dans Bohème et « Mario Cavaradossi » dans Tosca de Puccini, de « Lohengrin » dans Lohengrin et du « Steuermann » dans Le Vaisseau Fantôme  de Wagner ou encore « Werther » dans Werther de Massenet.

 

13ème Festival « Portraits de femmes »

Et revoici ce festival éclaté que Loutcha Dassa et son association « Les chantiers du Cinéma » nous propose depuis treize ans : Portraits de Femmes ».
Ce sont des films que, durant toute l’année, Loutcha va glaner de festivals en rencontres cinématographiques un peu partout en France.
C’est la femme dans tous ses éléments, qu’elle soit réalisatrice ou simplement comédienne, elle est le pivot des films présentés où tous les sujets la concernant sont abordés.
Cette année, le thème choisi est l’absence : absence de repères, de travail, d’identité, de maternité, de famille, de souvenirs… Vaste sujet que Loutcha nous propose dans toutes les langues puisque, de la France au Japon, ces films nous arrivent de Turquie, de Pologne, du Maroc, d’Angleterre, d’Italie, d’Irlande, d’Israël, de Roumanie, du Canada, de Chine, d’Australie, des Etats-Unis.
Festival éclaté car il fait escale à Toulon (Théâtre Liberté, Espace Comédia, Cinéma le Royal) à la Seyne où il est né (Théâtre Apollinaire, Centre Nelson Mandella), à Ollioules (Châteauvallon), à Six-Fours (Six n’étoiles).
Il démarrera le samedi 8 novembre à 19h au Théâtre Liberté, avec la présentation du programme suivi du film turc de Yesim Ustaoglu « En attendant les nuages », suivi lui-même d’un thé à la menthe et de pâtisseries orientales.

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Il se terminera le samedi 6 décembre au Théâtre Apollinaire avec le film de Ken Loach « Jimmy’s Hall ». Deux théâtre donc pour l’ouverture et la clôture d’un festival dédié au cinéma. Mais qu’importe le lieu pourvu qu’on ait les films !
Cette année, plus de films français que d’habitude avec de beaux réalisateurs : Mélanie Laurent, Aube Breton, fille d’André Breton, Julie Bertuccelli, Bruno Dumont, Eric Omond, Fabienne Godet, Solveig Anspach, André Téchiné…
Et puis un point d’interrogation : Le Théâtre Apollinaire devant fermer ses portes, où va, l’an prochain, s’installer le festival qui se passe en grande partie dans la ville où il est né : la Seyne.
Un an de réflexion et il faudra trouver une solution car ce superbe festival ne doit pas déserter sa ville natale.
A suivre, donc…
Et à suivre surtout cette treizième mouture riche en grand moments cinématographiques, où la femme est le personnage central.
A noter, durant tout le festival, une très belle exposition de Sumie (peinture à l’encre japonaise) de Michel Marchando, du 21 novembre au 7 décembre.
Pour avoir le programme et vous inscrire : 04 94 09 05 31 – 04 94 91 69 66 – 06 14 82 24 18

Jacques Brachet

Fantaisies productions présente…

Marco Paolo – Vendredi 31 octobre 20h30, Maison des Arts, le Beausset
Suite au succés de sa tournée en première partie de Gad Elmaleh, et après son carton au festival Grand Rire de Quebec, au Festival de Montreux et au Fantaisies Toulonnaises
Marco Paolo est de retour en spectacle Salle Paul Eluard à la Ciotat, le vendredi 14 novembre 20h30
Il est méditerranéen, l’humour est pour lui une seconde nature… Drôle, touchant, généreux, Elevé à l’école de la vie, il s’amuse de toutes ces petites choses du quotidien !
Son sujet de prédilection : la vie de tous les jours…
Tout ce qui nous énerve…mais avec lui, on en rit ! Vous allez l’adorer !

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Le Bouffon du President – Samedi 08 Novembre – 20h30
Palais Neptune – Toulon
Un politicien se venge d’un comique qui le ridiculise à outrance.
Jerry Guillos, l’humoriste français numéro un, réputé pour ses provocations corrosives a été engagé pour une soirée privée par Roseline Favel, organisatrice d’événements. Notre star du rire découvre avec effarement l’endroit du gala: la cave d’une auberge désaffectée en pleine nature hostile. Et pour couronner le tout, il doit jouer pour un seul spectateur, le « client » qui l’a acheté. Mû d’un mauvais pressentiment, Jerry tente d’annuler sa prestation. En vain. L’arrivée d’une jeune et ravissante Sophie, en remplacement de son régisseur mystérieusement volatilisé, finit par convaincre ce séducteur patenté d’honorer ce contrat très bien payé. Le piège va se refermer. Jerry, aveuglé par les projecteurs, attaque son show face à ce spectateur invisible. Et comme à son habitude, il descend en flammes sa tête de turc favorite, François Nicoly, le précédent président de la république. Son spectateur ne riant à aucune de ses vannes, il arrête son show pour se retrouver avec stupeur face à… François NICOLY. Qui n’a jamais digéré d’être sans cesse ridiculisé, voire diffamé, par Jerry.
Il le tient même en partie responsable de sa défaite aux dernières présidentielles. Le politicien n’a qu’un but : faire souffrir Guillos autant en une nuit que lui même a souffert pendant des années. D’où un duel cinglant entre les deux hommes, une vengeance diabolique… à laquelle est mêlé Pierre, un fantôme du passé.
Un limier » version comique. Est-il raisonnable de voir la paille dans l’oeil du voisin alors qu’on a une charpente dans le sien ?
Un comique peut-il tout se permettre ? Un politicien peut-il clouer le bec définitivement un amuseur qui se fout de sa gueule ? Qui rira le dernier ? Suspense !
Un sujet moderne et jamais vu au théâtre.
Dialogues étincelants, situations cocasses et toutes similitudes avec des faits ayant réellement existé sont purement volontaires. Votez pour ces cinq personnages hauts en couleur qui tiendront leurs promesses : vous faire rire.
Avec Franck Delapersonne, Cécile de Ménibus et Michel Guidoni.

BANDOL
Olivier Leroy-Michèle Torr….Un moment de grâce

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On vous avait déjà parlé de ce projet de spectacle organisé par l’association « Toile de Fond ».
En effet, Romain Vidal, fils de Michèle Torr, est atteint de sclérose en place et il lutte avec courage et énergie contre cette maladie. Et pour cela, il a créé une association « SPC (Sclérose en Plaque) en Pays d’Aix » dont la marraine est bien évidemment sa mère.
Tous deux, accompagnés du professeur Pelletier, qui s’est spécialisé dans cette dégénérescence à l’Hôpital de la Timone à Marseille, font beaucoup de choses pour l’aider à la vaincre.
Et, comme dit Michèle, « chanter c’est prier », c’est aussi donner du bonheur aux gens et aider ceux qui traversent de durs moments. Et elle chante donc pour aider Romain, pour soutenir le professeur Pelletier, entouré d’amis comme Stone, François Valery, Hervé Vilard, Danyel Gérard, Michel Leeb, chacun leur tour participant chaque année à un concert à Pertuis, sa ville natale dont le bénéfice va au service du professeur Pelletier via l’association.
Bandol était donc une nouvelle étape et, sur l’invitation de Denis Durand, qui anime l’association « Toile de fond », Olivier Leroy a répondu présent et a offert, dimanche dernier, un concert à l’Espace Jules Verne, avec son chœur Gospel Var, dont les bénéfices sont allés à l’association.

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Evidemment, Michèle s’était déplacée avec Romain et comme chanter c’est aussi sa passion, elle a proposé de chanter avec son chœur (et avec son cœur !), un gospel qu’elle a enregistré sur son dernier disque, pour la première fois chanté en français : « Amazing Grâce », devenu « Quand vint la grâce ».
La grâce, elle plana durant tout ce concert grâce à Olivier Leroy, son pianiste Stéphane Bernard et ces magnifiques choristes aux voix d’anges qui, durant une heure, nous ont offert de superbes gospels, avec en prime, la voix d’Olivier et un intermède à la trompette.
Et vint ce nouveau moment de grâce où Michèle est arrivée pour chanter sa chanson, accompagnée du chœur, grand moment d’émotion devant un public frissonnant qui l’acclama ainsi que ces beaux artistes.

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Jean-Paul Joseph, Maire de Bandol (photo 2), avait tenu à saluer Michèle qui, dit-il, est une des plus belles voix de la chanson française et l’une de ses chanteuses préférées. Etant lui-même dans le milieu médical (il est cardiologue), il ne peut qu’être heureux d’encourager de telles initiatives qui aident à faire avancer la médecine et ne pouvait qu’être honoré de la venue à Bandol pour celle belle cause, de Michèle, Romain, Olivier et tous ceux qui ont fait de cette journée un grand moment de musique et de cœur… dans tous les sens du terme !
Bien évidemment, Hugues Corbière, directeur des animations de la ville de Bandol et du Théâtre Jules Verne, fut remercié comme il se doit pour avoir ouvert son théâtre et l’avoir gracieusement prêté pour cet événement.

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Après le spectacle, durant plus d’une heure, Michèle dédicaça avec patience et sourire, livres, disques et programmes, se laissa prendre en photo avec pour chacun un petit mot gentil.
Ce fut un bel après-midi de communion autour de la musique qui rassemble toujours.

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Jacques Brachet
Photo 1 : Hugues Corbière, Michèle Torr, Olivier Leroy, Denis Durand, Bénedicte Dutoit, entourant Romain Vidal
Photos Christian Servandier

AIX-en-Provence
Cocktail de lancement de la marque NAMAKA

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Jeudi 16 octobre, au restaurant St Esteve à Aix-en-Provence, La société HAUMEA a présenté en avant-première à un public de connaisseurs avertis, à la fois son concept innovant et ses créations olfactives artistiques originales sous la marque NAMAKA, alliant arts visuels décoratifs, fragrances naturelles rares et aromacologie. Namaka propose sous sa griffe une gamme totalement personnalisable d’objets d’intérieur décoratifs raffinés « French Riviera Lifestyle » dans l’esprit Belle Epoque – une déclinaison de six parfums d’ambiance s’adaptant aux envies et humeurs de chacun, une collection unique d’œuvres d’arts parfumées signées par cinq artistes talentueux, des modèles brevetés en série limitée et sur mesure au design exclusif signé Namaka..
Début 2013, Maguy, Charlotte et Jean-Marc Delrieux, convaincus par les bienfaits des produits biologiques et naturels, décident d’allier les vertus thérapeutiques des huiles essentielles naturelles à l’aromacologie ou science des odeurs pour concevoir une gamme de fragrances uniques aux effets relaxants pour l’esprit et le corps.
C’est le début d’une belle aventure familiale. Le trio aux compétences complémentaires fait appel pour mener à bien son projet à deux spécialistes de ces deux disciplines :
– Une parfumeuse reconnue de Grasse : Delphine Thierry
– Une spécialiste en phytothérapie et aromacologie : Lydie Mairot
Leur objectif ? Composer des parfums d’ambiances conçus comme de véritables rencontres intimistes entre l’environnement et soi-même. Une invitation au voyage intérieur pour vivre une expérience sensorielle unique, un instant de rêve et d’émotion exceptionnels à partager !
En 2013 , alors que l’ensemble des professionnels utilisent dans la composition de leurs parfums haut de gamme deux grandes familles de produits : naturels et synthétiques, l’équipe décide de se lancer dans la création de parfums d’ambiance uniquement à base de matières premières naturelles et en particulier d’huiles essentielles. Reconnues pour leurs vertus millénaires et utilisées pour leurs propriétés thérapeutiques, les huiles essentielles révèlent les trésors de la nature, cachés au cœur des plantes. Calmantes, stimulantes, énergisantes, relaxantes, équilibrantes… La richesse de leurs principes actifs apporte tous leurs bienfaits à
l’organisme. En ambiance, les parfums subtils et variés procurent une réelle sensation de bien-être.

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Delphine imagine alors des parfums singuliers capturant des émotions, des déclinaisons parfumées puissantes liant le parfum à son propriétaire. Elle explore de nouveaux territoires olfactifs et invente des fragrances originales, envoûtantes, insolites. S’ensuit dans la pure tradition des maîtres Parfumeurs, une longue quête d’essences et de fragrances naturelles de qualité aux assemblages subtils en osmose avec la personnalité Namaka et en synergie avec
Lydie Mairot qui teste ensuite les fragrances pour vérifier leurs vertus aromacologiques.
Chaque étape de la fabrication fait l’objet de toutes les attentions. De la composition du parfum en amont à sa fabrication, l’équipe Namaka maîtrise la totalité de la chaîne.
De ce laboratoire créatif germe alors une nouvelle idée : sertir les bougies parfumées comme des bijoux dans des écrins artistiques raffinés, magnifiés par une scénographie élégante.
2013 -2014: Naissance d’Haumea et de la collection d’œuvres d’art parfumées.
– Création en Juillet 2013 de la société Haumea à Monaco, co-dirigée par Charlotte, Maguy et Jean-Marc Delrieux, spécialisée dans la fabrication, l’achat, la vente et la distribution de tous produits de senteurs, cosmétiques et accessoires liés à l’activité dans le domaine du bien-être.
– Collaboration collective : choix des parfums, stratégie de distribution, élaboration des packagings…
– Rencontres avec de nombreux artistes et sélection de 5 artistes talentueux passionnés à l’univers atypique, tous experts dans leur discipline.

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A l’occasion de la soirée de lancement , Mathias Dandine, chef étoilé du Restaurant le st Estève, a créé un menu gastyronomique exclusif Namaka.en concoctant une dégustation-surprise un peu particulière pour faire découvrir aux invités présents deux menus complets qu’il a réalisés à partir de deux fragrances de caractère aux univers contrastés. Les invités ont ainsi pu dans un décor raffiné, se délecter autour d’une première table de huit couverts, éclairée en centre de table par la bougie inspirant le repas (entrée, plat, dessert) aux senteurs méditerranéennes. Un second salon privé tout aussi intimiste a accueilli d’autres convives autour d’un nouveau parfum d’ambiance afin de savourer une déclinaison repas-gourmet dans une atmosphère boisée.
Chaque repas est accompagné d’un vin en harmonie avec les fragrances choisies. Le principe de cette dégustation, d’une durée de vingt minutes chacune, repose dans l’identification des différents composants utilisés : matières premières odorantes pour le parfumage, concrètes et absolues, matières premières animales, comme le musc ou le castoréum.
Plusieurs fois étoilé Michelin, Mathias Dandine relève aujourd’hui, à tout juste 40 ans, ce nouveau défi avec une nouvelle étoile au Guide Michelin en 2014.

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Photo 1 : L’équipe Namaka
Photo 2 : Charlotte, Jean-Marc et Maguy Delrieux entourent Mathias Dandine
Photos Sophie Bourgeix

La Seyne – Salle Apollinaire
Laurent LENNE… On n’a pas tous les jours 30 ans !

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Après-midi à la fois sympathique, joyeuse et émouvante, salle Gauillaume Apollinaire puisque Andrée Bonifay, cousine du grand Fernand, auteur de tant de succès, qui a créé l’association qui porte le nom de son illustre parent, organisait un après-midi musical dans ce lieu que va peut-être perdre la mairie.
En effet, la propriétaire étant décédée, on ne sait encore ce qu’en feront les héritiers puisque, jusque là, cette salle était louée à la mairie.
Par ailleurs, fatiguée par des années de lutte pour se faire entendre de la ville natale de Fernand Bonifay, Andrée a décidé de prendre une année sabbatique… Tiendra-t-elle un an avant de revenir, elle qui est si dynamique, si passionnée et qui, depuis des années défend à la fois son cousin que la ville semble ignorer, la chanson française et tous les jeunes chanteurs de la région à qui elle offre des scènes pour se faire connaître. Jeunes chanteurs que l’on retrouve sur un CD qu’elle a produit où tous chantent « du Bonifay » .
Nous espérons que non et nous le lui avons tous dit lors de ce spectacle où elle recevait Laurent Lenne, chanteur, auteur, compositeur… et prêtre anglican à ses heures !
Vous l’avez certainement vu dans l’émission « Secret Story » où justement son secret était ce double métier qu’à notre connaissance il est le seul à pratiquer.
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Mais hormis cette originalité, ce Toulonnais fête cette années ses trente ans de carrière.
On ne le dirait pas à le voir sur scène mais le fait est là puisque je l’ai vu naître à la chanson alors qu’il était tout jeune.
Bon an mal an, il  a toujours vécu de sa passion, a écrit pour d’autres chanteurs et son admiration avouée pour Francis Lalanne dans « Secret Story » l’a fait le rencontrer, ce dernier produisant son disque « Chanterai pour toi »
Il a également écrit deux livres : « Une parole et des hommes » et « Un pasteur pour la France » lorsqu’il a émis l’idée quelque peu saugrenue de se présenter à la présidence de la République… C’eut été le comble qu’après avoir eu une première dame chanteuse, d’avoir un président chanteur !
Cheminement original, donc pour celui qu’on surnomme « Padre Lorenzo » !
Et chanteur original aussi car, pour ce tour de chant fêtant ses trente ans de carrière, en dehors du fait qu’il chante ses propres chansons, il nous offre du Lalanne (of course !) du Mike Brant, montant aussi haut que lui et puis il s’égare avec… Bourvil et Fernandel car, si l’on est un chanteur de charme sans cheveu mais au regard qui tue, si l’on est pasteur en soutane les jours de messe, on n’en n’est pas moins un diable de chanteur prêt aussi bien à charmer qu’à faire rire en chantant et en étant au plus près du public en racontant des anecdotes.

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Le charme a agi, le public a ri aussi et puis, Andrée a eu une petite larme lorsque Laurent l’a remerciée pour tout ce qu’elle faisait en espérant qu’elle reviendrait très vite.
Nous avons passé un beau moment de musique, de chaleur et d’amitié.

Jacques Brachet

TOULON – Hôtel des Arts
Enki BILAL, le magnifique

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Dessinateur, peintre, auteur de BD, créateur d’affiches, décorateur, réalisateur…
Ce Yougoslave nommé Enki Bilal est un artiste dans tous les sens du terme.
Artiste original s’il en est car son monde est tellement particulier qu’il en est devenu inclassable… Ce qui n’est pas un mal, bien au contraire.
Son univers est fait de violence et de poésie, d’amour et d’humour, plutôt noirs tous les deux, de fiction et de science-fiction et son travail est souvent visionnaire.

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Cet artiste complet, Riccardo Vasquez directeur des Affaires Culturelles de la Ville de Toulon et directeur de l’Hôtel des Arts, a voulu lui rendre hommage avec cette rétrospective inattendue puisque c’est la première fois qu’un créateur de bande dessinée entre en ce lieu dédié à l’art contemporain. Et il y a tout à fait sa place, comme il nous l’explique :
« C’est non seulement un dessinateur de BD mais aussi un artiste complet qui fait partie intégrante du monde de l’Art. De plus, son œuvre est méditerranéenne. Homme de mémoire, dont la réflexion politique est reconnue et c’est tout ce que nous défendons ici. »

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Cette exposition, précisons-le, est en grande partie due à Pascal Orsini, auteur de BD et créateur du Festival de BD de Solliès-Ville. Commissaire de l’exposition, il a été la passerelle entre Enki Bilal et l’Hôtel des Arts.

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Sur trois étages, nous découvrons donc son oeuvre, non exhaustive tant elle est riche, et son monde éclectique puisque, de salle en salle nous pouvons admirer des planches de ses bandes dessinées, ses peintures, ses dessins, ses encres de Chine, ses pastels, des affiches de spectacles, des clips qu’il a réalisés pour Birigitte Fontaine (« Crazy Horse », extrait de son album « J’ai l’honneur d’être ») ou Tcheky Karyo (« Crédo », dont les décors sont ceux utilisés dans sa BD « Animal’z »), un auto-reportage dans son atelier, un condensé des trois films qu’il a réalisés. : « Bunker Palace Hôtel », « Thyko Moon » et « Immortel »…

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Une impressionnante et superbe exposition que nous avons eu le privilège de découvrir en privé, en présence de l’artiste qui nous l’a commentée.
En dehors du fait qu’il est un grand plasticien, l’on a également découvert un homme d’une grande intelligence, d’une belle acuité, exigeant, réfléchi, engagé et cohérent dans tout ce qu’il entreprend. Un intellectuel à dimension humaine !
C’est un marginal de génie, totalement inspiré, sa source d’inspiration, nous avoue-t-il, étant l’Humain et ses stigmates du temps, avec ses souffrances, ses douleurs, ses incertitudes mais aussi sa sensualité et toujours avec l’espoir au bout du chemin.
« En fait -dit-il en riant – je ressasse toujours les mêmes thématiques. J’essaie de régler des problèmes sans jamais savoir vraiment lesquels ! »
Son oeuvre est violente et noire mais il dit encore avoir « l’amour et l’humour noir avec malgré tout, toujours, la confiance et l’espoir en l’humain ».

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L’on découvre ainsi des portraits saisissants de Georges Perec, de Montaigne, des illustrations de nombre de ses livres (« Bleu sang », « Le sommeil du monstre », « La femme piège », « Animal’z »)…) de superbes acryliques-pastels créés pour l’affiche du ballet d’Angelin Preljocaj « Roméo et Juliette », une série de toiles de femmes à travers  les décennies pour le livre « Un siècle d’amour », en immense format, la couverture de son dernier album « La couleur de l’air » et puis des toiles totalement inspirées par le Musée du Louvre dans lequel il a eu l’autorisation de se faire enfermer une nuit. Le musée vide de monde mais peuplé de fantômes, il a réalisé une série de photographies qu’il a retravaillées en mettant en situation des peintures, des personnages et des portraits, mêlant photo et acrylique pour une série d’œuvres surréalistes. « Les fantômes u Louvre » se sont matérialisés dans ses toiles.

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On le voit, son génie, son imagination sont infinis et ses projets nombreux et variés :
« Après un projet de film ambitieux, mais certainement trop ambitieux pour être réalisé, je vais certainement réaliser un film d’après « Animal »z » et j’ai un autre projet de docu-fiction, qui devient d’ailleurs de plus en plus « fiction-docu » autour d’un essai d’un journaliste américain Alan Weisman, écrit en 2007 qui s’intitule « Homo disparitus ». Il essaie d’imaginer la terre dans deux mille ans alors que l’homme a disparu… Que reste-t-il des vestiges humains, de la faune, de la flore ?
Immense question, sujet passionnant car il y a tout à créer dans la mesure où nous ne pouvons pas savoir ce qui restera de nous dans un temps si lointain.
Plus près de nous, je suis invité à Tokyo en 2016 pour deux expositions : l’une de tableaux inédits et en parallèle, une grande rétrospective dans l’un des plus grands musées de Tokyo ».

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Cet homme qui respire la sagesse et la sérénité n’a pas fini de nous surprendre et de nous séduire.

Jacques Brachet

Enki Bilal « Oxymore & more », jusqu’au 4 janvier – Hotel des Arts
236, Bd Ml Leclerc – Toulon – www.hdatoulon.fr – 04 83 95 18 40

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Photos :
1. Enki Bilal devant un calque à la mine de plomb et pastel pour le livre « Bleu sang »
2.Ricardo Vasquez et Pascal Orsini
3. Ricardo Vasquez et Enki Bilal
4 & 5 : Planche de BD première manière du livre « Partie de chasse »
6. « Un siècle d’amour »
7. Affiches des trois films qu’il a réalisés
8 & 9 : Images des deux clips qu’il a réalisés : « Crédo » avec Tcheky Karyo et « Crazy Horse avec Brigitte Fontaine
10 : Enki Bilal devant une image de « Animal’z », crayon gras et pastel
11 : Calques pour « Bleu sang »
12 : Peinture mixte photo et pastel
13 : « Chessboxer » & « Fin de partie », acrylique sur toile

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TOULON
Chez Michel Estades… Les beaux et les bêtes !

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Profitant d’une exposition de sculptures, Michel Estades a eu la sympathique idée de décorer les murs de sa galerie d’œuvres des peintres de sa galerie.
Certains hélas ont disparu mais restent dans nos cœur par leur talent comme notre amie toulonnaise Marie Astoin ou Bernard Buffet. D’autres sont bien vivants et si j’écris qu’ils sont beaux… c’est qu’ils me l’ont soufflé ! Ils ne sont pas Toulonnais pour rien !
Alors, pourquoi les contredire dans la mesure où c’est la vérité ?
Du moins pour les deux présents ce soir-là, compagnons de route, complices et talentueux. J’ai nommé Jean Sardi et Jean-Pierre Maltèse, des habitués dont nous avons déjà dit tout le bien que nous pensions de leurs œuvres très différentes mais ayant deux points communs : la lumière et la couleur, Sardi dans la tradition provençale, tout en ayant sa façon très particulière de la ressentir et de nous la proposer et qu’on aime parce qu’on y retrouve le jaillissement, la joie de vivre méditerranéenne.

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Maltèse quant à lui, nous propose des paysages intimes, avec des aplats de nuances infinies, délicates, paysages empreints de sérénité. On se coule dans ses paysages appaisants.
Beau travail pour ces deux artistes bien entourés d’un autre Toulonnais, Loulé, de Weisbuch, de Calvé et quelques autres…
Et puis, Gambino, l’artiste omniprésent par ses oeuvres mais… absent au vernissage, ce qui est paraît-il coutumier du fait car il déteste tout ce qui est mondanités, même lorsque c’est, comme chez Michel, intime, décontracté, familial.
On espère le voir avant que l’exposition, qui dure jusqu’au 22 novembre, ne se termine. Peut-être que nous pourrons parler de son oeuvre à la fois puissante et tendre, forte et douce dans ce bestiaire de bronze qu’il travaille comme de la dentelle, nous offrant des animaux  fiers, altiers, pleins de force comme ce guépard ou alors, miniaturisés, fragiles et attendrissants comme ce couple de pigeons…

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C’est un travail unique, original qui coupe le souffle par sa force et, même si c’est fondu dans du bronze, il s’en dégage légèreté et pureté, révélant pour chacun des animaux, sa personnalité et ses caractéristiques
Nos deux peintres, s’ils n’ont pas eu l’audace de se comparer à ces splendides animaux, n’en ont pas moins été eux aussi, conquis par ce magnifique travail !
Chez Michel Estades, l’on a toujours des découverts magnifiques, des retrouvailles sympathiques, des surprises agréables tant il sait d’instinct que l’artiste qu’il choisit d’exposer a du talent, de la personnalité, de l’originalité… et de l’avenir !
Et les animaux de Gambino sont magnifiquement entourés !

Jacques Brachet

Galerie Michel Estades – 18, Rue Henri Seillon – Toulon
galerie.toulon@estades.com www.estades.com

CANNES : Belle saison en perspective !

Sortir-a-Cannes-Saison-afficheAlors que l’été se termine doucement voilà la saison culturelle cannoise qui se profile. Musique, théâtre, concerts, magie, opéra, danse, comédie musicale… plus de 40 spectacles se succèderont d’octobre 2014 à avril 2015.
Le rideau se lèvera sur la saison théâtrale le 3 octobre, avec une comédie tendre et scientifique, Les Palmes de Monsieur Schutz. Suivront  des pièces adaptées de chefs-d’oeuvre du cinéma : Une Journée Particulière d’Ettore Scola avec Corinne Touzet et Jérôme Anger, et Sonate d’Automne d’Ingmar Bergman avec Françoise Fabian et Rachida Brakni.  Des classiques Le Misanthrope avec Julie Depardieu et Michel Fau et L’Avare avec Jacques Weber dans le rôle d’Harpagon.
– Des comédies « romantiques », Je préfère qu’on reste amis, de Laurent Ruquier, avec Michèle Bernier et Frédéric Diefenthal et Nina, volcanique personnage interprété par Mathilde Seigner confrontée à son mari, François Berléand, et à son amant !  Zelda & Scott hommage aux Fitzgerald. Ensemble et Séparément, une pièce écrite sur mesure par Françoise Dorin pour Jean Piat et Marthe Villalonga. Mensonges d’Etats, 1944, sept hommes et une femme préparent le plus grand bluff de l’histoire : l’opération Fortitude. L’Affrontement, pièce interprétée par deux remarquables comédiens, Francis Huster et Davy Sardou.
A la Folie Feydeau ! présente trois pièces en une, pour mieux découvrir l’univers de Feydeau.
Côté concerts Julien Doré, Etienne Daho, Les Stentors, Arthur H, Nolwenn Leroy.
Les amateurs d’opéra pourront apprécier : La Flûte Enchantée, l’opéra mythique mettant à profit tout le génie de Mozart Porgy and Bess par le New York Harlem Theatre
Le Palais des Festivals et des Congrès accueillera également L’Orchestre Symphonique des 100 Violons Tziganes de Budapest et de grands guitaristes, Juan Carmona, Michel Haumont, Michael Jones, Jean-Felix Lalanne et Jean-Claude Rapin pour une concert unique, une Nuit de la Guitare dans un hommage à Paco de Lucia.
Côté danse rendez-vous avec de  grands noms de la danse et découvertes. Du  Flamenco avec Rocio Molina, icône charismatique du flamenco contemporain, elle viendra présenter sa dernière création.
De la danse  contemporaine, hip-hop, acrobatique, aérien avec la compagnie Sébastien Ramirez
Autre univers avec Bollywood Express qui offrira au public un show indien très coloré et dansant intégrant aux danses traditionnelles des éléments plus modernes.
Le Eifman Ballet Saint-Petersbourg l’un des plus grands ballets russes présentera « Rodin et son éternelle idole ». L’interprétation dans un style néoclassique des 36 danseurs est magistrale et l’osmose entre danse et narration est parfaite.
Alonzo King Lines Ballet, un des plus grands chorégraphes américains qui développe une danse inventive, sensuelle et vibrante avec des danseurs à la technique prodigieuse.
La quintessence du ballet classique sera représentée pour les fêtes de fin d’année par le Yacobson Ballet à travers Giselle et Casse-Noisette.
Le CCN de Créteil et du Val-de-Marne, Compagnie KAFIG présentera Pixel, la dernière chorégraphie de Mourad Merzouki, précurseur de la danse hip-hop. Pour cette création il s’est associé à des spécialistes des arts numériques.
Dans la continuité du hip-hop, Break The Floor, compétition internationale, revient avec des danseurs toujours aux frontières de figures impossibles. Enfin, Le Brésil sera à l’honneur avec la compagnie phare de danse contemporaine : Grupo Corpo. Une compagnie mêlant bases classiques, danse contemporaine et racines multiculturelles.
On découvrira l’univers poétique du  spectacle Princes et Princesses. La Magie sera également à l’honneur à travers Cannes Magic Festival réunissant un parterre d’artistes aux facéties les plus surprenantes. Parallèlement les éclats de rires seront sans retenue lors des spectacles de l’énergique Claudia Tagbo, du survolté Patrick Timsit et du nonchalant Chris Equerre à l’humour totalement décalé.
Du 27 Février au 1er mars rejoignez le Festival International des Jeux, le plus grand événement ludique francophone et ses 150 000 visiteurs et découvrez tous les univers et acteurs du jeu.
Une belle affiche à découvrir tout au long de l’année !
L’Orchestre Symphonique des 100 Violons Tziganes de Budapest et nous retrouverons nos fidèles guitaristes, Juan Carmona, Michel Haumont, Michael Jones, Jean-Felix Lalanne et Jean-Claude Rapin pour un concert unique, une Nuit de la Guitare dans un hommage à Paco de Lucia.
L’univers de la danse sera dignement représenté : du  Flamenco avec Rocio Molina, icône charismatique du flamenco contemporain, elle viendra présenter sa dernière création.
Contemporain, hip-hop, acrobatique, aérien avec la compagnie Sébastien Ramirez
Bollywood Express offrira au public un show indien très coloré et dansant intégrant aux danses traditionnelles des éléments plus modernes. Le Eifman Ballet Saint-Petersbourg l’un des plus grands ballets russes présentera « Rodin et son éternelle idole ». L’interprétation dans un style néoclassique des 36 danseurs est magistrale et l’osmose entre danse et narration est parfaite.
Alonzo King Lines Ballet, un des plus grands chorégraphes américains qui développe une danse inventive, sensuelle et vibrante avec des danseurs à la technique prodigieuse. La quintessence du ballet classique sera représentée pour les fêtes de fin d’année par le Yacobson Ballet à travers Giselle et Casse-Noisette. Le CCN de Créteil et du Val-de-Marne, Compagnie KAFIG présentera Pixel, la dernière chorégraphie de Mourad Merzouki, précurseur de la danse hip-hop. Pour cette création il s’est associé à des spécialistes des arts numériques, Dans la continuité du hip-hop, Break The Floor, compétition internationale, revient avec des danseurs toujours aux frontières de figures impossibles.
– Le Brésil sera à l’honneur avec la compagnie phare de danse contemporaine : Grupo Corpo. Une compagnie mêlant bases classiques, danse contemporaine et racines multiculturelles.
Le spectacle Princes et Princesses entraînera petits et grands dans un univers magique et poétique, d’ombres et de lumières. La Magie sera également à l’honneur à travers Cannes Magic Festival réunissant un parterre d’artistes aux facéties les plus surprenantes. Parallèlement les spectacles de l’énergique Claudia Tagbo, du survolté Patrick Timsit et du nonchalant Chris Equerre à l’humour totalement décalé.
Du 27 Février au 1er mars  le Festival International des Jeux un grand rendez-vous ludique et passionnant. De beaux rendez-vous en perspective !

04 92 99 33 83 – www.palaisdesfestivals.com

 

Cannes : Moments Musicaux « Allegro Amabile »

Altin Tafilaj, Elsa Cassac

Cette jeune association créée en 2013  a pour objectif de promouvoir la musique classique et la culture. Altin Tafilaj, alto solo de l’orchestre Cannes Provence Côte d’Azur en est le président et Elsa Cassac pianiste concertiste la vice-présidente  et la directrice artistique. Grâce à eux,  le public aura l’occasion de découvrir trois beaux concerts avec de grands interprètes. Samedi 18 octobre à 20h30 en l’église Notre Dame des Pins le quatuor à cordes Copenhagen String Quartet est l’émanation la plus représentative de l’Orchestre Philharmonique de Copenhague. Composé de membres les plus éminents des pupitres de cordes. Ce quatuor s’est rendu célèbre par la qualité de sa musicalité et ses interprétations toujours remarquables. Au programme : Barber, Beethoven, Nielsen.

Vendredi 7 novembre à 20 H 30 en l’église St Georges un concert Haendel Bach Schubert et en seconde partie l’ensemble de violoncelles de la master class sous la direction de Niels Ullner qui jouera des musiques de films célèbres que l’on a toujours plaisir à entendre. Christina Astrand premier violon solo de l’orchestre national du Danemark se joindra à Niels et à Altin Tafilaj bien connu de tous à Cannes.

Enfin  lundi 8 décembre toujours 20h30 en l’église Notre Dame des Pins concert de gala avec une affiche prestigieuse « Quatre soliste, un quatuor ». Gautier Capuçon et Sarah Nemtanu. Gautier Capuçon « étoile au firmament du violoncelle » et Sarah super solo de l’orchestre national de France, violoniste du film « Le Concert » !  En marge des Moments Musicaux, une Masters-Class est organisée avec comme invitée le Violoncelliste danois Niels Ullner, violoncelliste solo dans l’orchestre de Malmö et professeur à L’Académie de Musique et D’art Dramatique du Danemark du sud (Odense). La Master class accueillera dix musiciens danois de haut niveau auxquels pourront se joindre des musiciens cannois et de la région. Cette rencontre de jeunes musiciens locaux avec des jeunes musiciens danois sera fructueuse et certainement stimulée par la participation de tous les jeunes musiciens à la seconde partie du concert du 7 novembre sous la direction de Niels Ullner. Une programmation indispensable !

Marleyne Mati