Archives mensuelles : mai 2014

1er JUILLET – 30 AOÛT : ART & VIN… 16 ANS DEJA !

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Eh oui, déjà seize ans qu’Alain Baccino, vigneron du domaine des Peirecèdes à Cuers, également président de la Chambre d’Agriculture du Var, lançait une manifestation originale : Art & Vin.
Le principe en était simple, original et sympathique : chaque vigneron indépendant du Var recevait, durant les deux mois d’été, un artiste en son domaine, peintre, sculpteur, photographe…..
C’était en 1998 et le succès fut immédiat car chacun y trouvait son compte : le vigneron qui faisait découvrir son domaine et son vin, l’artiste qui trouvait un lieu superbe et original et un public nouveau qui lui, découvrait à la fois le lieu, le vin et l’artiste, tous les sens en éveil.
La Fédération des Vignerons Indépendants du Var, qui a trente ans et qui est aujourd’hui présidée par Mathieu de Wulf, propriétaire du domaine du Jas d’Esclans à la Motte, regroupe aujourd’hui plus de quatre cents adhérents –  « volontaires » précise-t-il – et ce n’est pas moins de quarante sept domaines et châteaux qui recevront cette année, durant les mois de juillet et août, quelque soixante artistes dont beaucoup sont de la région.
C’est en cette fin du mois de mai que nous avons été conviés à découvrir le millésime 2014 de cette manifestation, au domaine des Terres de St Hilaire à Ollières, reçus par la famille Burel, aigle à trois tête puisque nous avons Pierre, le père, Philippe, le fils, Sophie Cossetini, la fille.
C’est un domaine de sept kilomètres sur deux qu’ils ont repris voici dix ans et qui en ont fait un très beau complexe d’oenotourisme puisque, hormis le vignoble, ils y ont ajouté quinze chambres d’hôte avec une piscine, un centre équestre, une auberge-restaurant dans l’abbaye qui date du XVIIème siècle. Aujourd’hui ils sortent un million de bouteille à l’année.

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Pierre Burel est aussi un amateur d’art et cette année, il s’est décidé à jouer le jeu d’Art & Vin et pour un coup d’essai, il ne s’est pas trompé puisqu’il exposera onze sculptures monumentales d’un certain Jean-Pierre Rives, celui que Roger Couderc avait surnommé « le casque d’or du XV de France » et qui s’est depuis longtemps reconverti dans le travail du fer.
« Ses oeuvres me parlent – nous confie Pierre – et je suis donc allé le voir pour lui proposer d’exposer chez nous. En découvrant le domaine il a tout de suite accepté. J’en suis heureux et honoré ».
Quant à notre ancien rugbyman, dont le talent n’a d’égal que sa simplicité, il nous avoue :
« Lorsque j’ai découvert ce domaine, si grand, si beau, je me suis dit que ce serait un superbe écrin pour mon travail. Je pense que les sculptures que je crée correspondent bien à l’esprit de la vigne. Ces sculptures en fer oxydé rouillent mais ce n’est pas une fin en soi, c’est une transformation, une transmission. Ce sont les rubans de la mémoire et c’est un peu notre ADN. Il y a donc un certain parallèle avec la vigne et le vin éternellement recommencés ».
Domaine des Terres de St Hilaire – Ollières
04 98 05 40 10 – www.terresdesainthilaire.com

LES FEMMES A LA CONQUÊTE DU VIN
Aujourd’hui, nous découvrons de plus en plus de vigneronnes. C’est enfin entré dans les mœurs, même si ce ne fut pas toujours facile pour celles qui en furent les précurseurs (ou précurseuses ?), qui durent essuyer les sarcasmes machistes et les propos dubitatifs de ces mâles vignerons. Comme par hasard, à ce point presse, il y avait plus de vigneronnes que de vignerons… La parité n’était pas de mise et… pour une fois, c’est tant mieux !

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Françoise RIGORD… la belle dame de Peyrassol
L’une des premières fut certainement Françoise Rigord qui vint à la vigne par hasard, en épousant un homme à qui venait d’être légué un domaine familial : la commanderie de Peyrassol à Flassans, splendide domaine construit sur des vestiges romains.
En 1973 donc, elle remonte les manches, retourne à l’école suivre des études de commerce et de communication et comme elle est une femme férue d’art, très vite, elle entame une collection de sculptures monumentales, à tel point qu’aujourd’hui elle ne compte plus le nombre d’œuvres qui sont disséminées sur le domaine.
Je l’avais rencontrée à ses débuts, l’avais surnommée « la belle dame de Peyrassol », qu’elle est toujours d’ailleurs avec son regard bleu rieur et une volonté tranquille hors du commun.
Tous les étés, depuis la création d’Art & Vin, elle offre au public une visite guidée de son parc et ajoute une oeuvre à son patrimoine. Cette année c’est le Suédois Carsten Höller qui viendra ajouter une oeuvre à sa collection, un splendide et original champignon qu’il faut découvrir dans ce lieu idéal  pour la cueillette !
Commanderie de Peyrassol – Flassans-sur-Issole
04 94 69 71 02 – www.peyrassol.com

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Marie-Pierre CAILLE, la résurrection d’un domaine
A Saint-Antonin du Var, c’est Marie-Pierre Caille qui préside aux destinées du Château Mentone, qu’elle a récupéré à l’abandon voici dix ans, créant, comme beaucoup d’autres, des tables d’hôtes avec une vingtaine de chambres. Elle y a ajouté un jardin où se cultivent fruits et légumes dont elle fait profiter ses hôtes.
Cette Lyonnaise a vécu au milieu des galeries d’art et des antiquaires. Elle a toujours aimé ces métiers du quotidien et de l’imagination et c’est tout naturellement qu’elle a été attirée par Art & Vin avec l’évident plaisir de recevoir des artistes en son domaine.
Cette année, elle reçoit Alfredo Lopez, un sculpteur bolivien qui fut d’abord peintre, publiciste, décorateur de magasins, ce dernier métier lui donnant l’idée de créer des sculptures à partir des mannequins de vitrines. Il a toujours été attiré par la femme, par sa grâce et sa fragilité et les a toujours peintes, habillées et sculptées.
Pour Art et Vin, il crée une pièce spécifique dont on ne saura rien, en l’absence de l’artiste. A découvrir donc; à partir du 3 juillet !
Domaine Château Mentone – Saint-Antonin du Var
04 94 04 42 00 – www.chateaumentone.com

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Aurélie BERTIN, demoiselle en son château
Autre personnalité dans le monde de la vigne et du vin : Aurélie Bertin qui dirige le Château des Demoiselles à la Motte et le Château Ste Roseline aux Arcs. A la Motte, elle a repris le domaine qui appartenait à son père, que celui-ci avait vendu et qu’elle a racheté. Il revint donc dans la famille en 2005 et elle dut tout reconstruire, du vignoble de soixante-dix hectares sur un domaine qui en compte trois cents, au bâtiment qui était vétuste.
Elle a été l’une des premières à comprendre que le savoir faire n’était rien sans le faire savoir et pour communiquer, rien de tel que d’organiser des manifestations diverses pour attirer le public et les médias et faire connaître en même temps l’un des plus beaux vins de la région.
Rencontres, expositions, manifestations divers (vieilles dentelles, voitures de collection…) concerts de musique classique ou de jazz et évidemment cette superbe maison d’hôtes où l’on trouve calme et sérénité.
Ses expositions ont longtemps été consacrées au femmes, mais, dit-elle, les talents se font rares et du coup, elle a décidé d’exposer un homme… dont l’exposition qu’il propose est dédiée aux femmes !
Il se nomme Jean Lérin et propose des techniques mixtes : acrylique, fusain, tissus, papier.
« J’ai choisi ces différents moyens pour le hasard et l’imprévu car j’aime que ceux-ci soit à la base d’une oeuvre. C’est souvent plus intéressant que lorsque l’œuvre est pensée à l’avance ».
Château des Demoiselles  – La Motte
04 94 99 50 30 – www.chateaudesdemoiselles.com

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Suzel de LANVERSIN, sur la voie romaine
Partons vers Saint Maximin pour découvrir Suzel de Lanversin propriétaire du Domaine du Deffends situé sur une colline où l’on domine, sur 180° les Monts Auréliens et la fameuse via Aurelia, antique voie romaine.
Elle n’était pas destinée à être vigneronne et pourtant, amoureuse de cette terre et de ces cailloux dormant à quatre cents mètres de hauteur, elle a un jour eu envie, avec son mari,  d’y faire naître un vignoble au milieu des oliviers. Ainsi est né ce domaine.
Cette année, Suzel a choisi une plasticienne aixoise : Ysabeau Tay-Botner qui nous offre des toiles représentant des intérieurs feutrés, des décors intimistes, un peu mystérieux mais aussi plein de lumières, de couleurs, respirant à la fois la joie et la sérénité.
« Après avoir bifurqué sur le droit et le journalisme et avoir parcouru le monde, je suis revenue à mes premières amour : la peinture. Voici dix ans, je faisais ma première exposition au Domaine du Deffends et y vendais ma première toile. C’est en quelque sorte très symbolique et aussi très émouvant d’y revenir dix ans après… et de mêler le spirituel aux spiritueux ! »
Domaine du Deffends – Saint-Maximin-la Sainte Baume
04 94 78 03 91 – www.deffends.com

www.art-et-vin.net www.vigneron-independant-var.com www.visitvar.fr

Jacques Brachet
Photos.
1.Philippe Burel, Alain Baccino, Nathalie Coquelle, vice-présidente du Syndicat des Vignerons du Var
2. Mathieu de Wulf, président
3. La famille Burel et Jean-Pierre Rives devant une de ses œuvres
4. Françoise Rigord
5. Marie-Pierre Caille
6.Aurélie Bertin et Jean Lérin
7.Suzel de Lanversin et Ysabeau Tay-Botner
Photos Monique Brachet

 

MARSEILLE – CHU LA TIMONE
Michèle TORR & Romain VIDAL pour le sclérose en plaques

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Romain Vidal, fils de Michèle Torr est, on le sait, atteint de sclérose en plaques. Mais avec courage et optimisme, il n’a jamais baissé les bras. Il a même voulu venir en aide à ses compagnons d’infortune en créant une association : SEP (Sclérose en plaques) en Pays d’Aix, ville où il vit, tout comme sa mère.
Sa mère qui, évidemment, l’a suivi dans cette belle cause et en est d’ailleurs la marraine.
L’an dernier, elle est allée à la rencontre de Roger Pellenc, maire de Pertuis, village dont elle est native, pour lui demander de l’aider à organiser un spectacle dont les bénéfices iraient à cette association. Ce que le maire lui accorda spontanément.
A ses côtés, des amis artistes venus la soutenir bénévolement : Guy Mattéoni, pianiste et chef d’orchestre, entre autres de la tournée Age Tendre, sa fille chanteuse, Stella, ainsi qu’Hervé Vilard, Danyel Gérard et Michel Leeb. Ce fut un énorme succès. A tel point qu’a eu lieu, en cette fin du mois de mai, une sympathique et émouvante réunion dans le service neurologique du professeur Pelletier au CHU de la Timone à Marseille à qui Romain et Michèle, entourés des enfants de celui-ci, ont remis un chèque de 22.000 euros.
Accompagné d’Audrey Rico, neurologue du réseau PACA SEP et de quelques collaboratrices, le professeur Pelletier dit sa joie et son émotion de les recevoir, soulignant au passage le courage, la détermination et l’énergie de Romain et la force de caractère de Michèle.

« Il faut savoir – nous a-t-il dit – que le budget national annuel pour la recherche et d’un million d’€, ce qui semble important mais encore trop peu hélas. Nous sommes donc toujours reconnaissants aux personnes qui nous aident par des legs, des dons, l’organisation de manifestations et d’actions ponctuelles.
De plus, la sclérose en plaques fait encore partie des maladies « presque » orphelines, même si elle a été découverte en 1860 par Charcot et existe évidemment depuis bien plus longtemps.
C’est hélas une maladie encore trop cachée, trop à part, mal connue et c’est formidable que des gens comme vous la mettent en lumière.
Cet argent contribuera à payer en partie une machine de haute technologie IRM qui vient d’arriver au CHU et coûte huit millions d’€ pour un projet qui en coûte quatorze. Vous voyez donc à quel point chaque don compte car cette machine va pouvoir nous aider à mener nos recherches encore plus en profondeur, pour aller plus loin, nous donner une nouvelle vision, de nouvelles donnes, trouver des solutions nouvelles et bien sûr trouver enfin un médicament. J’espère pouvoir vous donner très vite de bonnes nouvelles »

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Romain, quant à lui, nous explique pourquoi il a fait cette démarche :
« Je pense que lorsqu’on est atteint de cette maladie, on se rapproche bien sûr des autres qui la partagent. Dans mon malheur, j’ai la chance d’avoir les moyens d’adapter ma maison, d’avoir un fauteuil roulant perfectionné. J’ai donc voulu aider ceux qui n’en ont pas les moyens et j’ai aussi la chance que ma mère soit très connue et grâce à elle, de pouvoir mieux nous faire entendre.
Au départ, je voulais aider les malades de la région aixoise mais je me suis trouvé devant un dilemme : qui aider ? pourquoi aider quelqu’un plus qu’un autre ? J’ai alors pensé qu’il serait plus judicieux de donner directement cet agent à un service qui oeuvre pour tous les malades. »

Michèle, dont on connaît l’humanité, qui a souvent oeuvré pour des association caritatives, a bien sûr tout de suite adhéré au projet de son fils :
« J’ai toujours été à ses côtés, quelle mère ne l’aurait pas été ? Et il m’a semblé naturel d’être partie prenante de cette association et de la faire connaître, tout comme cette maladie mal connue. Et je le fais volontiers en faisant ce que je sais faire : chanter, faire des concerts au profit de l’association. D’ailleurs, lorsque j’en ai parlé à mes amis artistes, beaucoup ont spontanément voulu m’aider et j’ai eu l’idée d’organiser des concerts avec eux dans mon village natal où j’ai eu tout de suite l’écoute du maire et de son premier adjoint Henri Lafon qui est aujourd’hui avec nous.
Le succès a été tel que nous recommençons cet été avec, à mes côtés, Stone, François Valéry, Claude Barzotti et et toujours les fidèles Guy et Stella Mattéoni.
Le concert aura donc lieu à Pertuis le dimanche soir 8 juin ».

Henri Lafon ajoute avec un grand sourire :
« Nous avons déjà plus de mille locations et l’an prochain, si nous recommençons, ce que nous souhaitons tous car nous voudrions que cela devienne un rendez-vous annuel, nous devrons ajouter des gradins ! »
Ce à quoi rétorque le professeur Pelletier : « Et dans quelques années il nous faudra le vélodrome ! »
En attendant ce vœu pieux, Pertuis sera encore cette année, en ce 8 juin, le centre d’une fête où le talent, l’amour, l’amitié seront réunis pour une belle cause.

Jacques Brachet
Photos :
Michèle, Romain, le professeur Pelletier et Audrey Rico
Avec ses petits-enfants et Henri Lafon
Photos Christian Servandier

 

MARSEILLE
LES SEA GIRLS fêtent la fin du monde au Gymnase

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Les Sea Girls viennent fêter la fin du monde sur la scène du Gymnase. Quatre filles complices depuis la plus tendre enfance, les plus folles, les plus drôles, les plus colorées de Paris ressuscitent la tradition du cabaret et du music-hall !
Complètement déjantées, les quatre filles des Sea Girls n’ont pas changé la recette de leur succès : du déraisonnable et beaucoup de rire.
À l’occasion de ce nouveau spectacle, elles se demandent si la fin du monde est proche  et décident ainsi d’en profiter pleinement !
Ces joyeuses meneuses de revue aux éternelles coiffes hirsutes, vêtues de plumes et de paillettes, chantent, dansent et nous surprennent avec leurs tours de magie.
Tout dans l’esprit music-hall,  un zeste Copacabana, elles s’épluchent, s’échangent ou rétrécissent.
Accompagnées d’un guitariste et d’un percussionniste, les quatre chanteuses interprètent avec brio des tubes inédits et ressuscitent la tradition du cabaret.
U
n spectacle conçu et interprété parJudithRémy, Prunella Rivière, Élise Roche, Delphine Simon
mise en scène Patrick Haudecoeur – guitare Dan Panama

Pour ce dernier rendez-vous de l’année, bienvenue au Sea Girls Show !!!
Un véritable feu d’artifice à voir du mardi 3 au samedi 7 juin au
Théâtre du Gymnase, 4 rue du Théâtre Français, Marseille.
08 20 13 20 13 – www.lestheatres.net


EASYVOYAGE TERRES DE VOYAGES
une évasion quotidienne vers les 1000 plus beaux sites du monde

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Voir ce que la Terre possède de plus grandiose est, pour beaucoup de voyageurs, le fantasme absolu, l’accomplissement d’une vie à sillonner les routes qu’elles soient du rhum, du thé, de la soie, du jade ou des épices… Pour permettre à chaque internaute de découvrir les lieux qui feront peut-être l’objet de leurs prochains périples, Easyvoyage.com lance une newsletter quotidienne (web et mobile) intitulée « Terres de voyages !». Chaque jour, la rédaction d’Easyvoyage.com présente un lieu remarquable et le soumet aux votes de la communauté Easyvoyage. L’objectif : classer, durant 3 ans les 1000 plus beaux sites que compte la planète, comme autant d’invitations au voyage…
Lancée le 28 mars dernier, en partenariat avec Vacances Air Transat, « Terres de voyages ! » est une incitation quotidienne à l’évasion et au partage : le partage d’expériences, de goûts et de cultures des grands voyageurs de la communauté Easyvoyage. En effet, à travers leurs votes, les internautes ont la possibilité de participer au classement de ce qu’ils jugent être les plus beaux endroits du monde, qu’ils les aient visités ou qu’ils en possèdent le désir.
Ainsi, pour chacune des newsletters ou en se rendant sur la page dédiée d’Easyvoyage.com, chaque internaute déjà membre du Club peut attribuer une note sur 10 à chaque lieu présenté, et l’ajouter à sa « wishlist » de destinations à visiter.
Les lieux présentés par la rédaction d’Easyvoyage sont à la fois des œuvres de la nature, et des constructions issues de la main et de la culture de l’homme : de la Baie d’Along au Vietnam aux derviches tourneurs de Turquie, en passant par le Désert de Gobi ou la Cathédrale de Cordoue… Easyvoyage ambitionne ainsi, en 3 ans, de fédérer autour de ce projet une communauté de près d’1 million d’amoureux du voyage !
Chacun de ces lieux mythiques sera, chaque jour, présenté à travers :
– une description succinte,
– une photo panoramique mettant en avant la beauté du site,
– mais également un dessin, issu du travail de 3 illustratrices, Catherine Adam, Emilie Géant et Sabine Hautefeuille, illustrant les us et coutumes locaux, le tout, sur un ton volontairement enlevé, destiné à vanter, avec onirisme, les infinies richesses du monde et ses innombrables possibilités de fugues…

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Une aventure au parfum exotique… et éthique !
Au terme des 3 ans de collaboration, Easyvoyage.com et Vacances Air Transat, organiseront une soirée spéciale au cours de laquelle les dessins originaux ayant illustré chacune des 1000 terres de voyages, seront mis aux enchères. Une partie des bénéfices tirés de la vente des croquis sera alors versée au profit d’associations humanitaires dont l’action est dédiée au développement du tourisme éthique et écologique, à travers le monde. 
« ‘Terres de voyages’ a vocation à fédérer une communauté de passionnés du voyage autour de contenus de grande qualité, présentant dans un esprit de carnet de voyage, les plus beaux sites du monde. En notant ces sites, Easyvoyage permet, non seulement de réaliser un classement des 1 000 plus beaux lieux au monde, mais également de créer la wishlist absolue de chaque membre de la communauté. L’opération connaît un bon démarrage, avec plus de 1 200 votes par jour », explique Jean-Pierre Nadir, Président fondateur d’Easyvoyage.com.

 

SANARY : LA COMMUNAUTE DES PECHEURS A L’HONNEUR

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Cette année, la communauté de nos pêcheurs est à l’honneur !
Pratiquée de longue date en Méditerranée, la pêche aux « petits métiers » est une pratique de pêche durable à différents égards.
Et c’est afin de vous faire découvrir quelles sont les spécificités de ces pratiques et plus encore, quels en sont les atouts pour le milieu littoral et les petits fonds si riches et diversifiés de nos côtes méditerranéennes, qu’ils ont plaisir de nous inviter au vernissage de l’exposition « Portraits d’équipages » de Robert Le Gall ce mercredi 28 mai à 18h à la Prud’homie des pêcheurs, dans le cadre de « Photo-pêche » du Festival “off” de la 4ème édition Photo ‘Med

 

 Elisabeth Tempier – l’Encre de Mer
269 Montée Soeur Vincent – Sanary
06 77 50 09 21 – etempier@free.fr
Sophie H-Marty – 06 74 04 00 69 – sophie.h.marty@wanadoo.fr
l’Encre de Mer http://www.l-encre-de-mer.fr

 

 

NOTES DE LECTURE par les Plumes d’Azur

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Anne Mariage : Chevaux d’aventure (Ed Actes Sud)
Anne Mariage a créé « Cheval d’aventure », un nouveau mode de tourisme équestre en 1972. Passionnée de cheval, d’ouverture sur le monde, Anne Mariage a commencé sa vie professionnelle en Lozère ; son esprit de découverte la mène en Colombie où elle partage le travail des vaqueros chargés de conduire d’immenses troupeaux de vaches aux changements de saison. Sa vie sera désormais en relation étroite avec les animaux, la nature et les hommes.
Son enthousiasme, sa volonté de rencontrer les gens du « cru », leurs coutumes, leurs croyances, leurs chants, leurs difficultés dans les contrées les plus reculées du monde et toujours cette joie de monter toutes les races de chevaux, tout est relaté dans ce livre très judicieusement sous-titré « rencontres  autour du monde ». L’auteur  est la merveilleuse conteuse qui nous fait partager ses soirées en Afrique, Asie, Amérique du Nord et du Sud, soirées passées autour d’un feu de bois, ou dans une yourte ou chez l’habitant, des liens indéfectibles se tissent entre les organisateurs  et les locaux qui ouvrent généreusement leur maison et leur cœur.
Anne Mariage a parcouru tous les pays où il y a des chevaux, manque donc le Vietnam, pays sans tradition équestre. La passion d’Anne Mariage ne s’arrête pas aux randonnées, elle est également une experte en lecture des constellations des hémisphères nord et sud, également largement documentée en faune et flore qu’elle décrit avec passion.
Une vie choisie, exclusivement tournée vers le cheval comprenant l’impossibilité de créer une vie de famille, mais sa famille est grande et chaleureuse, elle compte des milliers de souvenirs recueillis dans ce livre. N’oublions pas qu’Anne Mariage était professeur de français dans une première vie, son écriture est variée, légère, visuelle, pas besoin de film, tout est dit.

Michèle GRAZIER : Les Convalescentes (Ed Le Seuil)
Nous sommes à Saint Libran les Bains dans l’arrière pays languedocien et partageons le quotidien de trois héroïnes venues retrouver le goût à la vie dans un centre de soins.
Il y a Lise, professeur d’anglais, soignée pour dépression, Oriane, jeune anorexique et Daisy l’américaine clouée dans un fauteuil roulant, qui se remet d’un accident de la circulation.
Dans le huis clos de cette maison de convalescence les trois femmes vont faire connaissance. Tout d’abord distantes, elles vont peu à peu s’apprivoiser. Le hasard les a réunies et bien qu’à des âges différents, nous découvrirons leur complicité autour d’un thé quotidien dans les jardins d’un hôtel.
La parenthèse que leur offre cette convalescence est aussi l’occasion de porter un nouveau regard sur leurs vies : Lise voit sa vérité ; elle s’est trompée : ni son métier, ni son mari, ni son petit garçon ne la satisfont. Elle s’est juste projetée dans le regard des autres ! Oriane violée à douze ans, vient régulièrement dans le centre puisque ses parents « payent pour sa santé »Elle essaie de se reconstruire ; la voix des autres devrait l’aider ! Quant à Daisy, toujours accompagnée de son mari Maxime, comblée semble-t-il par la présence attentive de ce dernier, elle a épousé le mari d’une amie décédée ; un bien énigmatique personnage.
Le roman bascule en effet autour de Maxime, « l’homme en noir » et parce que son identité reste confuse, il est le sujet des désirs et répulsions des pensionnaires de Saint Libran.
Plus que l’intrigue et son dénouement, c’est l’échange, la possibilité de regarder l’autre, dans ce lieu de nulle part qui donne tout son intérêt au livre. Ici tous les rêves sont possibles et cet intermède participera vraisemblablement au rétablissement des trois femmes.
Un livre facile, à l’écriture fluide, avec de belles images champêtres, intéressant  et sociologiquement correct.

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 Solange BIED CHARRETON : Nous sommes jeunes, et fiers  (Ed Stock)
Un jeune couple de trentenaires vivant à Paris en 2010, Noémie enseignante et Yvan mannequin, ont tout pour réussir. Lui, Homme cliché pétri par son milieu dont il est le reflet, va se retrouver en fauteuil  roulant suite à un accident   et leur vie va basculer. Pétris de bonnes intentions, obéissant aux règles sociales et morales ils vont chercher autour d’eux la réponse : que sont- ils, où vont-ils ? D’étapes en étapes en cherchant toujours la nouveauté ils vont se lancer dans une sorte de road-movie qui peu à peu les éloigne de toute vie sociale et les marginalise. C’est la recherche d’un retour à la nature mais qu’en es- il de leur confort  alors qu’ils sont prisonniers de la modernité, de la consommation, des réseaux sociaux. Leur désir d’avancer est sincère mais ils vont se heurter à des problèmes insolubles .Enfants du néant ,c’est-à-dire haïssant le passé, la tradition, l’histoire ils s’avancent ,fiers de leur quête à la recherche d’autre chose, cette quête qui doit leur apporter le bonheur
Beaucoup de réflexions sur une certaine société actuelle,sur le parisianisme, la critique permanente, l’insatisfaction à tout propos et les clichés véhiculés dans la plupart des milieux nantis sans excès, sur les illusions liées à ces clichés,, Le livre est bien écrit, la construction en est correcte mais il ne déchaîne ni le rire ni la pitié ni l’enthousiasme, tout juste un haussement d’épaules devant tant de naïveté et un manque de maturité navrant

Hélène GAUDY  : Plein hiver (Ed Actes Sud)
Lisbon, petite ville imaginée par l’auteur à la frontière du Canada. « On y passe, sans s’arrêter, on y reste quand on y est né, quand on la quitte, on n’y retourne pas. »
Alors que revient  y faire David Horn disparu mystérieusement quatre ans plus tôt à quatorze ans, jeune meneur d’une petite bande composée d’adolescents disparates et d’une seule fille Prudence bien évidemment amoureuse de David ? Le traumatisme créé  par la disparition du jeune garçon après une sortie dangereuse sur un lac gelé a généré un silence odieux car l’enquête policière a abouti sur rien, pas d’explication, pas de corps retrouvé, jnste un plutôt confortable oubli qui masque une vérité qui n’a jamais vraiment voulu faire surface.
David revient et ouvre la boite de Pandore car la vie a repris à Lisbon, sans lui. Pour certains, la personnalité de David devenait trop pesante et après sa disparition la vie semblait plus souriante. La mère de David accueille ce retour miraculeux, la vie sera à nouveau merveilleuse, elle ne pose aucune question, mais oublie que son fils a désormais dix-huit  et que son retour a une signification. L’épreuve de vérité aura lieu, les liens exploseront, il y aura bien une explication sur le terrain.
Par touches discrètes, Hélène Gaudy revèle la vie dans une toute petite ville américaine où rien ne se passe, mais où chaque rideau cache un voyeur. Lisbon tragi-comique homonyme de la capitale du Portugal, ville où l’on vit, où l’on meurt, Lisbon qui a vécu son fait divers relaté dans le journal local mais ne veut surtout pas vivre le deuxième acte car ne rien  dire , ne rien voir semble plus facile à supporter.
L’auteur manie admirablement l’atmosphère étouffante de l’ennui, de la manifestation de l’adolescence qui pressent un avenir bouché, bloqué, dans pourtant la ville réputée grâce à la présence du plus petit fleuve des Etats-Unis, long de soixante et un mètres et pompeusement  nommé Atlantic River !
David Horn, disparu, revenu, reparti, n’a pas sa place à Lisbon. Peut-être est-il le seul à ne pas supporter le plein hiver d’Hélène Gaudy ?

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Yves BICHET : L’homme qui marche (Ed Mercure de France)
Ancien pion au Lycée agricole d’Embrun, Robert Coublevie, devenu chemineau depuis que sa femme l’a quitté, marche le long de la frontière Italie-France, frontière qu’il ne franchit jamais. Il retrouve son ami Jean, le chartreux défroqué avec lequel il a des discussions métaphysiques .Que fuit-il ? car il fuit. Il descend parfois à Briançon et se réfugie au café du Nord où il retrouve Tissot l’agrégé des douanes, qui sera la victime d’un meurtre
Ce chemineau philosophe vagabondant dans les Alpes avec sa chienne Elias, fasciné par les gentianes bleues et la nature, va se trouver mêlé à une tragédie. Ce solitaire s’est attaché à Camille, la fille du patron du café, et se sacrifiera pour la protéger et ne pas trahir ses secrets.
La liberté est le thème central de ce texte poétique, mystérieux, où l’on s’attache aux pas d’un être balloté par la vie, en marge de la société mais jamais coupé du monde des humains. Le style est clair et rend parfaitement la beauté de la montagne comme des âmes, mais aussi leur noirceur.
L’épilogue est imprévu. On est troublé par ce roman noir « plein d’énigmes et de bonté ». Notre marcheur a tout compris, la beauté de la nature, l’impureté des hommes et la possibilité d’un Dieu.

Michel-Marie ZANOTTI-SORKINE : Le passeur de Dieu (Ed Robert Laffont)
Xavier, journaliste, vient de rompre avec Sarah. Découragé, il décide d’aller faire une retraite spirituelle dans l’ermitage du père Stanislas, grand ami de sa tante Amelie
Après quelques difficultés, il parvient à trouver l’église. Surpris par l’isolement,  l’austérité et le manque de confort de l’hébergement, l’accueil chaleureux du père le reconforte. Ce dernier installe Xavier dans sa cellule puis l’abandonne à sa solitude pour la soirée et la nuit. Durant les 4 ou 5 jours suivant, il partge la vie simple des moines, découvre leur vie simple et riche, leur bon sens, leur foi exigeante et pratique, leurs travaux et leurs prières.
L’un d’eux, entré en religion après son veuvage, reçoit sa famille. Ce sera pour Xavier l’occasion d’une rencontre
Écrit par un homme d’église dans un style simple sans prétention,  les pesonnages debattent de la vie actuelle et des problèmes spirituels qu’elle peut engendrer. Bon sens et sagesse sont dans ces conversations qui sont proches du prêche.  Il y est fait un tableau partial et idyllique de la vie retirée des quatre religieux.
Beau livre facile à lire pour qui n’est pas allergique à la religion.

 

 

CARICATURISTES – FANTASSINS DE LA DÉMOCRATIE

12 caricaturistes, 12 pays, 1 idéal : la liberté d’expression
« Caricaturistes, fantassins de la démocratie », était projeté à Cannes hier en séance spéciale.
Stéphanie Valloatto et Radu Mihaileanu ainsi que les 12 caricaturistes, étaient réunis pour une montée des marches lors de laquelle chacun d’entre eux a brandi une caricature symbolisant son engagement.

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Les 12 dessinateurs portaient un bijou créé par Mauboussin, partenaire du film. Les équipes du célèbre joaillier ont en effet imaginé et conçu des broches en or en forme de crayon, symbole des outils de travail de ces éveilleurs de conscience que sont les caricaturistes.
Une grande avant-première publique aura lieu le 23 mai à 20H, en présence de l’équipe du film, sur la Place de la République.
La projection sera précédée de la remise des prix du Concours de dessins « Et voilà ce qui ne me va pas » par un jury international présidé par Plantu.
Cette soirée sera présentée par Sonia Rolland et François-Xavier Demaison.

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SYNOPSIS :
12 fous formidables, drôles et tragiques, des quatre coins du monde, des caricaturistes, défendent la démocratie en s’amusant, avec, comme seule arme, un crayon, au risque de leurs vies. Ils sont: français, tunisienne, russe, mexicain, américain, burkinabé, chinois, algériens, ivoirien, vénézuélienne, israélien et palestinien.
Avec Plantu, Nadia Khiari, Willis from Tunis, Mikhail Zlatkovsky, Michel Kichka, Baha Boukhari, Rayma Suprani, Angel Boligan, Jeff Danziger, Damien Glez, Lassane Zohore, Pi San, Slim, Baki Boukhalfa, Kurt Westergaard.

 

 

FRANCE 5
ON N’EST PAS QUE DES COBAYES…
et qu’est-ce qu’on s’amuse !

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Comme les mousquetaires, ils sont quatre dans une parité parfaite : Agathe Lecaron, Elise Chassang, David Lowe, Vincent Chatelain.
Proposer, en prime time, un magazine hebdomadaire d’expérimentations scientifiques alliant informations rigoureuses et humour : tel est le défi un peu fou que relèvent depuis trois saisons maintenant France 5 et le producteur 2P2L avec « On n’est pas que des cobayes ! ».
Défi tenu, défi gagné et nos quatre mousquetaires sont arrivés à nous faire partager de grands moments d’entertainment en nous instruisant et en nous amusant.
Pour éveiller la curiosité du plus grand nombre aux mystères de la science, « On n’est pas que des cobayes ! » s’amuse à mettre en lumière les grands principes qui régissent la physique et la chimie avec des expériences grandeur nature, aussi spectaculaires que pédagogiques.
L’aventure est devenue une belle réussite télévisuelle : le magazine fédère chaque semaine un public de plus en plus nombreux et réalise la prouesse de réunir toute la famille, des plus jeunes aux plus grands, autour du petit écran. On n’est pas que des cobayes ! se déploie aussi dans l’univers numérique. Grâce à un dispositif global, interactif et ludique unique en son genre, les télénautes peuvent se glisser dans la peau d’un « serial testeur », reproduire les expériences à une plus petite échelle et s’amuser avec la science. Ils peuvent également proposer de nouvelles expériences via les réseaux sociaux et lancer de nouveaux défis à l’équipe des Cobayes.Avec eux s’amuser à apprendre et apprendre en s’amusant est vraiment à la portée de tous !

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Prochaines émissions
VENDREDI 06 JUIN 20.40 – REDIFFUSION LE DIMANCHE 19.00
ÉMISSION SPÉCIALE PAS BÊTES LES BÊTES

Peut-on planer comme un aigle ?
Notre trio de choc s’intéresse aux aigles, ces oiseaux aux techniques de vol bien particulières. Côté théorie, David explique à Agathe comment les aigles se servent des courants d’airs  chauds et froids pour planer. Côté pratique, Vincent s’élance du haut des montagnes alpines en parapente. Notre casse-cou va observer de plus près ces rapaces exceptionnels.
Peut-on vraiment charmer un serpent ?
Avant de tester le pouvoir de la flûte face à un serpent, David va s’intéresser à l’ouïe des couleuvres ! Outre la musique, l’air soufflé par l’instrument titillerait-il le reptile ou serait-ce son mouvement ? Agathe, elle, se met à la recherche de l’espèce capable de se dresser ! Elle envoie donc David et Vincent se confronter à l’impressionnante bête. Notre casse cou arrivera-t-il à charmer un cobra ?!
Défi : retomber sur ses pattes comme un chat !
Les chats retomberaient toujours sur leurs pattes. Idée reçue ou vraie faculté de ces petits félins ? Les hommes sont-ils capables de retomber aussi sur leurs pieds, sans rien se casser ? Grâce aux techniques de décélération du GIGN et avec l’aide d’un champion de trampoline, nos sérial testeurs vont le découvrir !

VENDREDI 13 JUIN 20.40 – REDIFFUSION LE DIMANCHE 19.00
Peut-on voler grâce à l’eau ?
Pendant qu’Agathe et David testent les jets, la pression et lavitesse de l’eau, Vincent rencontre un inventeur un peu fou. Grâceà son engin tout droit sorti d’un film futuriste, le casse-cou de la bande arrivera-t-il à se propulser à la seule force de l’eau ? David, lui, tentera d’envoyer une voiture dans les airs grâce à des lances à incendie. Avec James au volant !
Mission : envoyer James dans l’espace
Nos cobayes défient les lois de l’attraction terrestre pour envoyer mini-James dans l’espace. Notre « Cobayenaute » aura besoin d’un engin à la hauteur de l’expérience. Bouteille de coca et fusée à eau vont permettre de poser les bases de la propulsion… Vincent part à la rencontre du club de l’armée de l’air qui a élaboré une véritable fusée expérimentale. Pour sa part, David optera pour un ballon sonde afin d’envoyer notre crash-testeur au-delà des nuages.
Défi : sauter du plus haut pont d’Europe !
Pour relever ce défi, Vincent va s’élancer de 182 mètres au-dessus des Gorges du Verdon. David et Elise testent différents équipements sur mini-James afin de vérifier que ce saut exceptionnel soit réellement sans danger. Une fois les conditions optimales réunies, Vincent arrivera-t-il à surmonter sa peur ?

 

LA GARDE – Fête du jeu : une journée de bonheurs à partager

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Cette année, c’est l’eau qui est au cœur de la 6ème édition de la Fête du Jeu et de la
Famille au Jardin. Samedi 7 juin, parents, enfants, grands-parents, venez vous
amuser au centre Henri Wallon transformé spécialement pour vous en parc à
thème géant…
L’an dernier, 3500 visiteurs se sont pressés à la Fête du Jeu. Cette année, il y a encore
plus de jeux et d’activités pour les petits et les grands. Quarante-deux stands vous
attendent : accrobranche, rocher des pirates, circuit en poney, structures gonflables sur
l’eau, ateliers ludiques et créatifs… vous aurez de quoi passer toute une journée au
centre de loisirs Henri Wallon sans vous ennuyer une minute ! Sur place, tout est prévu
pour une pause déjeuner avec un bar à salades, une buvette et des coins ombragés pour
pique-niquer.
Mme Rinaldi, adjointe déléguée à la Solidarité, à la Santé et à la Famille : « Ce rendez-vous
est celui de la famille, nous mettons tout en œuvre pour que toutes les générations se
divertissent. Tous les jeux sont à faire accompagnés, parents et enfants partagent ainsi des
moments de complicité en dehors de la maison. Tous les services municipaux se sont
mobilisés pour vous offrir un cadre de rêves dans lequel le jeu est partout et revêt toutes les
formes. »
Tous à l’eau !
Paré de votre maillot et bonnet de bain, plongez dans la piscine ! Des jeux d’eau
attendent les plus petits, les grands se défieront le long du parcours aquatique. Vous
pourrez ensuite vous détendre sur l’herbe et repartir pour de nouvelles aventures.
42 stands de jeux
Parmi la quarantaine d’activités proposées, voici trois nouveautés qui attiseront votre
curiosité.
Le mandala de fleurs
Anne-Marie Carlin, présidente de l’association Tendance : « C’est notre première
participation à la Fête du Jeu. Nous allons proposer une animation autour des mandalas de
fleurs. Ce parterre fleuri et coloré aura la forme d’un cercle d’un mètre cinquante de
diamètre recouvert de pétales. L’activité est à faire en famille, chacun participera à la
création de ce cercle de fleurs à même le sol. Cette oeuvre collective, éphémère et poétique
ravira petits et grands. »
La nature au microscope
L’association Planète Sciences Méditerranée vous invite à observer les feuilles au
microscope. Ainsi vous admirerez toute la complexité et la beauté de la nature. Les
animateurs partageront leur savoir et leurs connaissances avec vous.
Mon ami le cheval
Vous aimez les chevaux ? Ne manquez pas l’atelier soin des chevaux animé par les
écuries de la Cibonne : brossage, soins des sabots, nattage de la crinière et de la queue,
vous ferez tout comme un véritable écuyer.

INFOS PRATIQUES
6ème Fête du Jeu et de la Famille au Jardin – Samedi 7 juin de 10h à 18h – entrée libre et gratuite
Centre de loisirs Henri Wallon – piscine municipale – Rue du Capitaine Perraud
Renseignements au 04 94 00 81 76, programme complet des activités disponible dans les points d’accueil municipaux et sur www.ville-lagarde.fr

 

SANARY : Journées nationales de l’Archéologie

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Les Journées nationales de l’archéologie sont organisées depuis 2012 par l’Institut National de Recherches Archéologiques et Préventives (INRAP).
C’est une occasion pour la ville de Sanary de rappeler son patrimoine très riche en ce domaine. Cette manifestation va donner l’occasion, aux associations sanaryennes Jason Archéo Sub, Foyer Pierre-Singal et Musée Frédéric-Dumas, de faire découvrir au plus grand nombre l’archéologie, ses enjeux, ses disciplines, ses méthodes.
Le musée archéologique  de la Tour Romane, et le musée d’histoire de la plongée Frédéric-Dumas présentent, les samedi 7 juin et dimanche 8 juin, les travaux réalisés dans le domaine subaquatique par Charly Hourcau  ainsi  que des expositions, visites guidées mais aussi des ateliers d’initiation…

Lieux : Médiathèque – Salle Marie Mauron & Auditorium Ernest Blanc, Tour de Sanary, Musée Frédéric Dumas.,
Inauguration – Samedi 7 juin 2014

Médiathèque – salle Marie Mauron – à partir de 11h
– Présentation des associations partenaires par Mr Charles Hourcau à 11h

– Présentation par Monsieur le Maire des journées et expositions -11h30
– Verre de l’amitié autour d’une dégustation de produits romains à partir de 12h
Programme :
Samedi 7 et dimanche 8 juin, Médiathèque – Salle Marie Mauron, exposition : « L’épave du Rouveau » par Monsieur Hourcau.
Atelier : Initiation à la poterie antique animé par Emmanuel Aguillon ,potier à la Roquebrussane

Samedi 7 juin de 14h à 17h :
Atelier tous publics – ouvert aux enfants dés 8 ans minimum Maximum 20 personnes – Durée de l’atelier 1 heure
Samedi 7 et Dimanche 8 juin :
Visite guidée de la Tour de Sanary  :
Thème «A la découverte des amphores de Sanary et du matériel archéologique»   Une visite le matin à la suite du Musée Frédéric Dumas –  Une visite l’après midi à la suite du Musée Frédéric Dumas Réalisée par L’association Jason Sub Archéo, (Monsieur Hourcau)
Inscription préalable – service des archives et patrimoine (04.94.32.97.84) à l’accueil des musées sur les jours d’ouverture.
-Maximum 15 personnes à la Tour de Sanary – Tous publics – Durée 1h

Service patrimoine : 04 94 32 97 04 – www.sanarysurmer.com