Archives pour la catégorie Gastronomie

LES ÉTOILES DE MOUGINS
Festival International de la Gastronomie

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Autour du Maire, Richard Galy, Maire de Mougins et de Christophe Ulivieri, Directeur du Festival Les Etoiles de Mougins, quelques-uns des chefs, partenaires et journalistes présents à la conférence de presse

De nouvelles ambitions, une nouvelle stratégie !
En 2019, les Étoiles de Mougins, en lieu et place de deux jours de festivités, vivront tout au long de l’année ! Une occasion d’en profiter davantage à Mougins, dans la Région, en France et plus loin encore…
PERSPECTIVES 2019 – 2020
Février 2019 : Création de la Brigade des Étoiles de Mougins

Elle sera composée d’une vingtaine de chefs ambassadeurs de la région, de France et de l’étranger, fidèles au Festival et investis… Cette brigade interviendra tout au long de l’année dans nos déplacements (évènements régionaux, nationaux internationaux, salons, manifestations, festivals).
Objectif : Fédérer les chefs autour des Etoiles de Mougins, promouvoir Mougins et la Région Côte d’Azur sur tout le territoire et à l’étranger par le biais de ce prestigieux vecteur qu’est la gastronomie française.
7 et 8 SEPTEMBRE 2019
Participation au Festival de la Gastronomie de Pietrasante en Toscane (Italie)
Très sollicitées à l’étranger depuis plusieurs années, Les Etoiles de Mougins, ses chefs et ses partenaires s’exportent en 2019 pour partager leur savoir-faire. Après Casablanca (Maroc) en 2010, Funchal (Madère) en 2012 et Tiradentes (Brésil) en 2016, Les Etoiles de Mougins reprennent la route pour répondre à l’invitation de PIETRASANTA, ville de 25 000 habitants, (province de Lucques en Toscane).
Objectifs :
– Accompagner la Cité Italienne dans l’organisation d’un Festival similaire aux Etoiles de Mougins. Cette ville est reconnue internationalement pour sa culture, ses artistes internationaux, ses 5 fonderies, sa clientèle haut de gamme et sa gastronomie. C’est un vrai partenariat gastronomique et culturel que nous allons mettre en place avec une ville qui nous ressemble.
– Développer la promotion de Mougins et sa région vers l’Italie. L’Italie est un pays frontalier et les déplacements dans les deux sens sont aisés.
6 ET 7 JUIN 2020
Les Etoiles de Mougins rejouent à domicile pour mettre en valeur les meilleurs ouvriers de France !
Invité d’honneur : Jacques MAXIMIN, vice-président MOF France
En 2020, Les Étoiles de Mougins ont décidé de rendre hommage aux Meilleurs Ouvriers de France et à ce pionnier, cette icône, ce maître de la cuisine française qu’est Jacques MAXIMIN.
Véritable légende, passionné et indomptable, Jacques Maximin, MOF, chef étoilé depuis plus de 40 ans est reconnu comme un génie vivant par ses pairs.
Objectifs
A suivre …

 

 

Restauration
Le Syndicat Action CHR rejoint le GNI
et devient le GNI PACA

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Le syndicat Action CHR (Café – Hôtel – Restaurant) est né le 12 mars dernier.
Présidé par Jean-Charles Ruggia et par Christiane Thibault, ce syndicat est né d’une forte demande des professionnels, dans le but de défendre les intérêts de la profession, de la promouvoir, de la représenter à tous les niveaux, avec pour objectif d’être une force de proximité, en ayant avec tous les protagonistes un contact au quotidien.
Suite à plusieurs rencontres avec le syndicat historique des débitants de boissons, le Synhorca GNI, second syndicat national, un rapprochement s’était opéré ces dernières semaines.
Action-CHR à donc naturellement rejoint le GNI (Groupement National des Indépendants – Hôtellerie et Restauration), présidé par Didier Chenet .
Une convention entre les deux organisations a été signée lançant la nouvelle structure du GNI PACA.
« Nous gérons la région PACA, ce qui est un gros travail car nous fédérons les hôtels, les restaurants, les bars, les cafés et brasseries, les snacks, les discothèques et traiteurs. Et il faut savoir que simplement sur le Var, il y a quelque 6.500 restaurants et 650 hôtels.
Nous sommes tous des gens motivés, compétents et – soulignons-le – bénévoles.
Nous reconnaissant dans les valeurs et les compétences du GNI et dans les dossiers qu’il porte, il était donc normal que nous nous regroupions »
Quelles sont donc, justement, ces compétences ?
Le droit social, juridique et fiscal, la réglementation des débits de boissons, l’hygiène alimentaire, les commissions de sécurité, les rapports aux Prud’hommes, l’aide à la mise en place d’un établissement… Les sujets sont nombreux et variés.
Proposerez-vous des rencontres, des stages ?
Oui, là aussi divers et variés, les thèmes allant du permis d’exploitation à l’hygiène alimentaire (HACCP), les diverses réglementations… En fait, tout ce qui tourne autour de la restauration et de l’hôtellerie..Nous aidons également les futurs créateurs dans l’élaboration de leurs projets.
Avez-vous des partenaires ?
Oui : l’APAVE, Métro, les cafés Segafredo, la société 4D, la société JDC, Intec Media pour la Technologie & Média, le cabinet d’avocats Clémence… Nous pouvons avec eux proposer des formations, des conseils, du matériel afin de donner les clefs pour travailler dans tous nos métiers.

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Jean-Charles Ruggia & Christianr Thibault

Pourquoi, selon vous, ce succès si rapide ?
Tout d’abord parce que nous intervenons auprès de toutes les branches de l’hôtellerie et de la restauration, et puis, parce que, depuis des années, nous avons toujours été à leurs côtés sans exercer de mandat syndical, ce qui fait qu’aujourd’hui ils nous font confiance.
Ils ont souvent regretté l’isolement dans lequel ils étaient, le manque de soutien, de conseils.
C’est ce qui nous a poussé à créer ce syndicat.
Nous voulons assurer une démarche de qualité à travers certains nombres de critères, pouvoir aider, conseiller, informer, accompagner et défendre.
Quelques exemples ?
L’attribution de terrasses, les demandes de fermeture tardive, les droits et obligations inhérents au fonctionnement d’un établissement, les bonnes relations avec les administrations, l’emploi et la formation.
Il va vous falloir fournir un gros travail de communication…
Oui – nous précise Christiane Thibault, vice-présidente du syndicat – et pour cela nous avons rencontré les collectivités locales, les maires, les offices de tourisme, Chambres de Commerce, les sénateurs, les députés même, tous les décideurs locaux et régionaux, afin de nous faire connaître ainsi que d’échanger sur les difficultés de cette profession et la nécessité de fournir un travail de qualité dans cette région qui, si elle est la première au niveau touristique, n’est que treizième au niveau économique.
Il faut que tous ces décideurs soient conscients des problèmes rencontrés par les entreprises et nous souhaitons devenir une force de proposition dans une démarche de qualité.
Comme on le voit, le projet est énorme, ambitieux mais aussi exaltant pour cette dynamique équipe qui n’agit que pour que la région redore son blason, brille par sa qualité de vie et retrouve une meilleure place d’accueil et de gastronomie qu’elle semble avoir un peu perdu.

Jacques Brachet
GNI PACA – 730, Bd de Lery – La Seyne-sur-Mer – contact@action-chr.fr
04 94 41 09 00 – 06 19 56 16 61 – jc.ruggia@action-chr.fr

ART & VIN… VINGT ANS!

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Il y a déjà vingt ans que, tous les étés, nous parcourons domaines et châteaux, caves et vignobles de notre région, pour découvrir à la fois des millésimes de nos viticulteurs, qui en ont fait le fer de lance de notre agriculture, mais aussi de beaux artistes, plasticiens, photographes, peintres, sculpteurs qui s’y installent pour l’été afin de mieux se faire connaître.
Ce sont de beaux moments de découvertes, de rencontres, de convivialité, culture et agriculture mêlées, mettant tous nos sens en éveil.
Il y a donc 20 ans que cet événement, baptisé « Art & Vin », a été créé par la Fédération des Vignerons Indépendants du Var sur une idée d’Alain Baccino, viticulteur, propriétaire du domaine des Perceides à Cuers, président de la Chambre d’Agriculture du Var.
L’idée était que les viticulteurs invitent des artistes à exposer tout l’été dans leurs caves ou divers lieux de son domaine (et même dans les vignes où les champs pour les sculptures monumentales). Ainsi, faisant d’une pierre deux coups, les visiteurs découvraient à la fois trois couleurs de vin qui portent haut les couleurs de notre région et des artistes talentueux qui se font ainsi connaître.

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Alain Baccino – Hélène Audibert – Christophe Durdilly

Pour les 20 ans, Toulon, qui n’a évidemment pas de domaines en ville, voulaient être de la fête et inaugurer ce millésime viticole et artistique. Hélas, s’il y eut du vin, il y eut aussi de l’eau mais la pluie n’empêcha en rien la fête de se dérouler, grâce à l’appui de la municipalité et surtout d’Hélène Audibert, adjointe au Maire, qui se donne corps et âme pour la rénovation de la ville, sa réhabilitation et son animation.
Ainsi sont nés de nombreuses galeries, des lieux d’exposition, des échoppes et nombre d’entre eux ont participé à cette fête.
Tout commença à 17 heures où le beau lieu culturel qu’est le Port des Créateurs au Centre-ville et son animateur Julien Carbone, (également directeur de l’espace Metaxu) nous recevait, non pas sur la place, faute au temps, mais à l’intérieur. L’on y retrouvait Hélène Audibert, Alain Baccino et son successeur Christophe Durdilly, ainsi que nombre d’artistes et de viticulteurs.
Julien Carbone nous expliqua que ce lieu de culture avait pour vocation d’accompagner les artistes et les associations artistiques dans le but de les faire connaître mais aussi de les aider dans diverses démarches administratives. A ce jour, 40 associations et une dizaine d’artistes y viennent en toute liberté.
Hélène Audibert nous expliqua son but qui est, – aidée de Benoît Pelletier, conseiller municipal – de rendre vivant et attractif un centre ville qui avait été déserté, qui reprend aujourd’hui vie et vigueur et pour elle, c’était un grand bonheur que de recevoir cette manifestation pour trois jours de festivités.

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Julien Carbone – Le trio Djangologie

Christophe Durdilly devait d’abord rendre hommage à Alain Baccino et aux autres présidents qui suivirent, précisant qu’aujourd’hui, l’association des Vignerons Indépendants, qui a, elle, deux fois vingt ans, regroupe 83 vignobles du Var, des Alpes de Haute Provence, des Bouches du Rhône et des Alpes Maritimes. Forte de ses 415 adhérents, elle a un credo :
– Cultiver sa vigne en respectant son terroir,
– Faire soi-même son vin dans sa cave, un vin artisanal et unique,
– Vendre directement son vin chez soi, à ses clients, selon le circuit de distribution qu’il a choisi, en partageant sa passion.
Alain Baccino devait clore ces discours en avouant qu’il y a vingt ans, la mise au point de l’événement fut laborieuse et n’alla pas sans difficulté mais aujourd’hui, l’excellence des vignobles, sur le Var entre autres, qui pour lui, est « le plus beau département de France » et des artistes qui s’y sont associés a fait de cette animation, l’un des plus beaux événements de l’été, mettant en communication vignerons, artistes et public pour de belles découvertes.
L’événement « Art & Vin » regroupera donc cette année 70 domaines sur lesquels se répartiront une centaine d’artistes, « le blanc » étant le thème de cette année.
Le blanc, que l’on put aussitôt apprécier avec ses frères rouges et rosés, pendant que le trio de jazz Manouche Djangologie nous offrait un mini-concert.

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Une œuvre de Martin Lewden à la galerie l’Axolotl et une animation vigneronne
A l’espace Metaxu, Benoît Bottex reçoit des artistes vietnamiens sur le thème « Les villes invisibles » et l’atelier Terres d’Arum a invité la céramiste Ann Durault
La galerie Les Frangines reçoit Bernard Duschene, Lisa Fardelli et une performance de Pozde

Puis ce fut le départ de notre déambulation à travers le cœur de Toulon et de ses ruelles, à la découverte de 9 galeries où nous étions accueillis par leurs propriétaires, les artistes exposants et… les représentants de domaines afin d’admirer des œuvres, de découvrir de beaux artistes… et de goûter à différents millésimes… avec modération, car il fallait remonter jusqu’à l’Opéra où, Claude-Henri Bonnet, directeur de ce haut lieu nous avait offert le Foyer Campra (faute de pouvoir aller sur le toit du théâtre comme prévu, toujours à cause de la pluie) pour un cocktail, où l’on était accueilli par une aubade, celle des Voix Animées, dirigées par Luc Couadou, et où tous se retrouvaient autour de nos deux présidents, de Bénédicte Martin, présidente de la commission agriculture du Conseil Régional et de Philippe Vitel, vice-président du Conseil Régional PACA qui se dit heureux de cette belle alchimie entre la vigne et l’art, fier qu’elle se pérennise depuis vingt ans et qui renouvela son engagement à cette manifestation.

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Bénédicte Martin, Philippe Vitel, Christophe Durdilly et Alain Baccino – Les Voix Animées

Bénédicte Martin de également confirmé son partenariat en précisant que la région s’engagerait dès l’an prochain de manière plus conséquente et, que, grâce à Philipe Vitel, qui est également président de la Société du Canal de Provence… les vignerons et donc, leur vin… ne manqueraient pas d’eau, même si, en ce moment, le manque d’eau n’était pas d’actualité !

Jacques Brachet
programme des expositions : www.art-et-vin.net

 

L’AOC Coteaux Varois en Provence a fêté ses 25 ans

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Pour fêter un tel événement, il ne fallait pas moins de trois présidents.
Ils étaient là, réunis dans ce splendide lieu qu’est le Château St Julien de la Celle : Daniel di Placido, qui fut président durant 24 ans, suivi de Pascal Cortez qui le fut durant six ans et l’actuel président, Eric Lambert qui, avec son bel accent chantant la Provence, ouvrit cette rencontre pour fêter les 25 ans de l’AOC Coteaux Varois en Provence, en présence de nombreux élus, maires et députés, de tous les vignerons, vigneronnes et oenologues, des présidents des syndicats, sous le parrainage du maire de la Celle, Jacques Paul, et reçus par la famille Garracin, propriétaire du lieu qui accueillait la manifestation depuis 1991.
Un domaine de 430 hectares – nous expliquait Mme Garracin – dont le vignoble a été entièrement replanté en 1995, où sont venus s’ajouter des oliviers et bientôt des amandiers et qui, depuis 2010 a développé un projet d’oenotourisme avec cinq chambres d’hôtes depuis juillet 2017 et une salle de réception pouvant accueillir 450 personnes. Sans compter les merveilleux jardins qui entourent la bâtisse, tout cela en faisant aujourd’hui une référence oenotouristique en Provence verte.

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Un quart de siècle, ça n’est pas rien surtout lorsqu’on voit la progression qu’a fait cette appellation qui couvre aujourd’hui 28 communes.
« Quel chemin parcouru – devait dire Eric Lambert – car certaines portes furent dures à enfoncer, cette accession n’étant pas au goût de tout le monde et même de certains vignerons. Nous nous sommes battus pour en arriver là, nous avons fait des investissements colossaux pour faire ce que nos vins sont aujourd’hui et affirmer la notoriété de notre savoir-faire. Entre temps, l’appellation « Coteaux Varois » est devenue « Coteaux Varois « en Provence » et l’ouverture de la Maison des Vins en 94 a fait beaucoup pour nous faire connaître ».
Daniel di Placido devait confirmer : « La tâche était importante, les difficultés nombreuses pour imposer notre misérable VTQS (Vin Délimité de Qualité Supérieure) !. Il a fallu nous battre, travailler, agir, convaincre, persuader que nous avions une originalité. Il nous a fallu beaucoup d’opiniâtreté et de volonté pour enfin arriver, le 25 mars 1993, à valider notre AOC Coteaux Varois. Cela, nous le devons à l’aide de plusieurs personnes : Jack Lang qui a fait en sorte que notre dossier soit au-dessus d’une pile d’autres dossiers. Hubert Falco, grâce à qui la Maison des Vins a vu le jour. C’est un lieu magique, propriété du Conseil Général et Hubert Falco en est le fondateur. Enfin en 2001, grâce à Alain Ducasse, propriétaire de l’Abbaye de la Celle, nous avons pu présenter, autour de mets savoureux, notre millésime. Remercions aussi notre députée Josette Pons qui a toujours été à notre écoute et à qui nous devons beaucoup.
Aujourd’hui nous avons des outils pour aller de l’avan,t pour pouvoir rayonner en région, en France et à l’international. »

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Daniel di Placido – Pascal Cortez – Eric Lambert

Pascal Cortez devait ajouter qu’il continuait à oeuvre en travaillant beaucoup sur la communication. D’ailleurs de tout nouveaux panneaux signalétiques allaient bientôt voir le jour un peu partout. Il devait encore préciser qu’en 2017, les AOC Coteaux Varois en Provence avaient donné 113000 hectolitres pour 2744 hectares de vignes, dont 91,5% de rosé, 5,5% de rouge et 3% de blanc.
En 25 ans, les volumes en rosé ont augmenté de 70%. Le chiffre d’affaires a été multiplié par 2,5 en dix ans et par 11,5 sur les marchés de l’exportation.
Aujourd’hui la filière viticole comprend 70 caves particulières, 9 caves coopératives et 2 négociants vinificateurs.
Pascal avait invité, pour cet anniversaire, les présidents des cinq autres appellations dont trois étaient présents : Cheverny, Coteaux de Die et Crémants de Die.
Nathalie Pouzalgues et Gilles Masson, du Centre du rosé sont venus nous raconter la belle aventure du rosé de la Provence dont les progrès qualitatifs sont incontestables. C’est aujourd’hui un vin rond, fruité, clair mais intense. Bref, un rosé cohérent. A tel point qu’en mélangeant 42 vins et en les proposant à un jury dans un verre noir, 7 échantillons de Provence ont obtenu les meilleurs notes.

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Les représentants des appellations – les présidents – au micro Bernard Farge.

Bernard Farge, Président de la Confédération Nationale des producteurs de vin et eaux de vie en AOC, devait conclure que ce succès était aux efforts, aux tallents de tous ces vignerons dont l’union fait la force et qu’aujourd’hui grâce à eux le rosé des AOC Coteaux Varois en Provence étaient reconnus par le monde entier, très copiés mais jamais égalés !
Après tous ces beaux discours, un merveilleux buffet sous les étoiles attendait tous les nombreux invités qui purent déguster tous ces vins aux couleurs chatoyantes.

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Parmi eux, une jolie rencontre amie : celle d’Isabelle Forêt qui a toujours eu la passion du vin, est devenue oenologue et a été baptisée « la pionnière du vin au féminin », mettant en lumière vigneronnes, œnologues et toutes les femmes gravitant autour du vin – et elles sont de plus en plus nombreuses ! – créant un livre annuel « Fémivin » présentant toutes ces femmes qui méritent autant que les hommes d’être mises à l’honneur.
Elle réunira d’ailleurs toutes ces femmes ce week-end à Mougins où se déroule l’événement gastronomique annuel « Les Etoiles de Mougins » et elle a promis d’en être notre correspondante exclusive !
A suivre, donc…

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Cedric Skrzypczak responsable presse, Isabelle Forêt et votre serviteur

Jacques Brachet
Photos Monique Scaletta

 

 

Christophe Adam
au cœur des festivités des 70 ans de Costa Croisières

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Le célèbre chef pâtissier a lancé à bord le programme des festivités prévu jusqu’à la fin de l’année !
Lors de la croisière anniversaire dédiée, programmée en ce mois de mai, le chef Christophe Adam, en guest star, a multiplié les surprises destinées aux passagers et relevé pour l’occasion de nouveaux challenges. Reportage en images !
Créateur du gâteau anniversaire, Christophe Adam, en a également assuré la préparation à bord aux côtés de la brigade des cuisines du navire – une expérience unique – pour le servir à près de 3.000 convives.
Cette création gourmande sur-mesure a été servie lors du dîner de gala, pour les moins chanceux qui n’étaient pas à bord, cette création sur-mesure* signée Christophe Adam, sera prochainement proposée à la nouvelle carte de ses boutiques de Paris et de Milan.
Autre challenge de taille réalisé autour du dessert phare du chef « de génie » : le montage à bord d’une pyramide d’éclairs de trois mètres !  Une prouesse qui a nécessité une logistique sur-mesure entre l’acheminement des fameux éclairs de Parsi et la mise en place à bord dans un timing au cordeau.
Cerise sur le gâteau pour les passagers, Christophe Adam a dispensé une master class sur la scène du théâtre du navire, un show culinaire orchestrée autour de sa nouvelle création, livrant les secrets de sa recette, étape par étape.

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*La création anniversaire signée Christophe Adam : Biscuit huile d’olive, mousse Philadelphia, crème yuzu, confit de framboise, framboises fraîches, feuilles de shiso vert cress Koppert, nappage…
Destiné à tous les passagers de ses croisières, sur ses quatorze navires, et jusqu’à la fin de l’année, Costa a concocté une programmation spéciale :
Les équipes en charge des divertissements et de la gastronomie à bord se sont replongées dans l’histoire de Costa pour élaborer un programme original remettant au goût du jour les activités et les menus gastronomiques à succès du passé.
Les équipes animatrices à bord, revêtus de costumes marins au style rétro proposeront aux passagers un défi palpitant orchestré autour des divertissements les plus florissants sur les croisières de la compagnie des années 1960 à 1970. Courses des petits chevaux, jeu de la cuillère, jeu de la pomme, compétition de hula hoop, course en sac, leçons de hully gully ou encore de twist, shuffleboard…

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Le département culinaire s’est replongé avec délice dans les archives des menus de la compagnie pour sélectionner ses offres gastronomiques les plus appréciées en se prêtant à l’exercice de les revisiter sous un angle contemporain. Un dîner anniversaire sera servi chaque semaine dans les restaurants de la flotte, avec à la carte ces plats revisités.

Toulon – Les Pins Penchés
5ème édition de la soirée « Chic et terroir »

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Jusqu’ici le printemps n’avait pas été très présent dans notre région et le temps n’incitait pas à lancer les festivités estivales.
Heureusement, enfin le soleil nous est revenu et si la chaleur n’est pas encore tout à fait présente l’on pouvait envisager de belles soirées à l’extérieur.
Et la première à frapper les trois coups a été la 5ème édition de la remise des distinctions aux lauréats des prestigieux concours : le concours général agricole de Paris et le concours des vins de Provence.
Soirée « Chic et terroir » qui réunissait quelques 300 vignerons, agriculteurs et autres producteurs des produits de la terre et de la mer, dans le plus beau cadre qui soit à Toulon, au Mourillon : les Pins Penchés, ancien château du XVIIème dirigé par le chef Stéphane Lelièvre.
On ne pouvait imaginer plus beau cadre pour démarrer la saison, même si le fameux « chic » restait à voit, tant les gens ne font plus beaucoup d’efforts pour l’être dans ce genre de soirée prestigieuse !

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Dans ce cadre magique, Alain Baccino, propriétaire du Domaine des Perceides à Pierrefeu et président de la Chambre d’Agriculture du Var, entouré de nombreuses personnalités, du Conseil Général, de la Chambre des métiers, du Conseil Interprofessionnel des vins de Provence, de nombreux élus, de la SAFER, remettaient donc leurs distinctions à 253 lauréats.
« L’excellence agricole récompensée – devait préciser Alain Baccino – mais le savoir faire doit également être accompagné du faire savoir. Car nos produits sont de qualité exceptionnelle et ces prix récompensent notre travail.
Un travail pas toujours facile car le temps n’est pas toujours avec nous et l’on est heureux de voir aujourd’hui revenir le beau temps !
Ce soir, notre ministre de l’écologie Nicolas Hulot, est aux Arcs sur Argens et l’on aimerait qu’il s’occupe un peu plus de notre agriculture, plutôt que de se préoccuper de faire revenir des loups ou des ours ou encore sauver les sauterelles !
Ce concours est le concours le plus vieux du monde puisque né en 1970 et aujourd’hui, 70% des consommateurs disent s’intéresser à ces prix et médailles et 75% qu’elles les incitent à l’achat.
Nous récompensons nos vignerons, nos agriculteurs mais aussi cette année des apiculteurs, des oléiculteurs et même un ostréiculteur.
Et j’oserai dire que nos produits agricoles sont les meilleurs du monde ! »
Sans chauvinisme aucun, tous les invités ont applaudi ce discours !

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Alain Baccino devait aussi préciser qu’il était heureux que tant de gens aient répondu présent à cette soirée car elle est le symbole de la grande famille de l’agriculture et qu’il faut que tous soient solidaires et cherchent toujours ensemble à atteindre l’excellence.
La dégustation des vins de Provence s’est déroulée à la Bastide St Julien de la Celle. 156 dégustateurs professionnels on dû évaluer 766 échantillons et distingué, pour les médailles de bronze, d’argent et d’or, 177 vins des appellations Côtes de Provence (119), Coteaux Varois (27) et Coteaux d’Aix-en-Provence (31).
Pour le concours général agricole, le Var a obtenu 379 médailles pour le vin (or, argent et bronze), 13 médailles pour les huiles d’olive (7 or, 6 argent), 7 médailles pour les miels (4 or, 1 argent, 2 bronze) et une médaille d’argent pour les huîtres, le seul nommé étant Jean-Christophe Giol, de Tamaris, à la Seyne sur mer.
Avant de déguster tous ces vins primés… toujours avec modération et de se régaler des mets concoctés par Stéphane Lelièvre, la photo de famille réunissait pour la postérité tous les lauréats de ces prix prestigieux, heureux de brandir leurs diplômes bien mérités.

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Jacques Brachet

Sanary ou la vie en ros…é
sur le plus beau marché de France !

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Si Toulouse avait vu ces jours-ci Sanay, elle aurait pâli tant la ville avait revêtu ses habits roses annuels de la manifestation « Just Rosé » !
Entre pluie et soleil, le rose a donc dominé pour la sixième fois, le vin a coulé sans modération, les domaines et châteaux ont pu faire apprécier leurs millésimes sur un port où il était difficile de faire un pas. Quant aux voitures, n’en parlons pas, tous les parkings affichaient « complet » et si l’on ne venait pas à l’aube, entre les bouchons (qui n’étaient pas millésimés, eux !) et le manque de place, on mettait des heures pour se garer quelquefois fort loin.
La rançon de la gloire !
L’an dernier, près de 60.000 personnes ont investi la ville, cette année sûrement, le record aura été battu tant le succès de cette manifestation a dépassé la commune, le Var, les départements limitrophes, sans compter les réseaux sociaux qui ont été inondés de photos roses !

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L’an dernier, nous avions eu une ville toute décorée de ballons roses, de parapluies roses. Cette année, plus sagement, elle fut décorée de rubans, toujours roses évidemment mais peut-être de moins bel effet.
120 bénévoles repérés par leur tee-shirt « Just rosé » se sont démenés comme de beau diables roses, toujours avec le sourire, pour répondre au questions, aider les gens et leur distribuer ce verre aujourd’hui devenu collector. Et 70 exposant ont prouvé que notre terroir sait donner de beaux produits, nos vins en l’occurrence.

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Emilie PARRA, pour voir la vie en rosé.
Mais à la boutique, l’on pouvait découvrir, outre les verres, des mugs, des tee-shirts, des tabliers, des stylos, des tire-bouchon, des bouchons avec le logo « Just Rosé » mais aussi avec une très sympathique affiche signée Emilie Parra.
Elle est illustratrice free lance, vit à Six-Fours et, toute souriante, cette jolie maman est heureuse et fière de voir sa belle affiche illustrer cet événement.
Comment a-t-elle été choisie ?
« Tout simplement – m’explique-t-elle – en ayant été contactée par le syndicat des commerçants qui avait vu mon travail sur mon blog.
Comment vous est venu ce talent et cette envie de faire ce métier d’illustratrice ?
J’ai toujours aimé dessiner et en 2014, j’ai créé un blog pour montrer ce que je faisais. Dès la première semaine, j’ai commencé à avoir des commandes. Aujourd’hui, je travaille pour des magasins de modes, pour de grandes marques comme Minelli, Beauty Success, Réminiscences car je reste dans un univers très féminin, très « girly ».
Et vous travaillez chez vous à Six-Fours ?
Oui, je suis restée 5 ans à Paris en finalement me rendant compte que je pouvais très bien travailler de chez moi, d’autant qu’entre temps j’ai eu deux enfants. Et avec les réseaux sociaux, ça marche très fort.
En dehors de ces marques citées, quelle est votre clientèle ?
Elle est très diverse. Ce peut être un particulier qui veut un portrait de famille. Auquel cas je demande des photos, je me renseigne sur leur taille, leurs goûts, leurs habitudes vestimentaires. Je travaille aussi pour de nombreuses petites marques mais encore pour des cartes d’anniversaires, d’événements divers comme les enterrement de jeunes fille. Je m’adapte à ce que les gens désirent…
Et tout ça sans rencontrer les gens ?
Oui, c’est ça la force des réseaux sociaux et du coup, je travaille sur la France entière, la Suisse, la Belgique… Quelquefois plus loin. En fait, c’est avec ma région que je travaille le moins ! Ma clientèle se compose de 30% de particuliers et de 70% de pub.
Alors, pour cette affiche, comment ça s’est passé ?
Nous avons fait un briefing car il fallait que je sache ce que je devais faire. Le sujet était donc « La vie en rose » et il fallait que sur l’affiche on voit une famille, un pointu et le clocher de l’église. Ceci mis à plat, j’ai donné libre cours à mon imagination. Je n’ai d’ailleurs réalisé qu’une maquette qui a été acceptée !
Donc vous êtes une artiste heureuse ?
(Grand sourire) Bien sûr, c’est très valorisant de voir son travail décliné sur plein de supports et de voir son affiche un peu partout.
Des projets ?
oui, j’ai toujours quelques projets à développer et j’espère que mon affiche aura plu et que je serai encore là l’an prochain ! »

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La ville en fête
Durant quatre jours, malgré la pluie qui a par moments gâché la fête, cette ruée familiale venue de tous bords a trouvé de quoi passer de belles journées car si le rosé était le phare de cette manifestation, toute la famille pouvait y trouver son compte. Et si les grands sirotaient, les petits n’étaient pas en reste puisqu’on pouvait trouver au fil des stands un rosé… sans vin !
Un rosé sans alcool ? Une aberration ? Une blague ? Eh non, aujourd’hui on peut donc boire du rosé sans se saouler !!!
Mis à part cette nouveauté, les enfants trouvaient des tas de jeux à pratiquer, l’on eut droit à l’aubade brésilienne avec Alex Rosa et son équipe, des tas d’artistes et sportifs venus se produire sur le podium, des magiciens et artistes en tous genres dont des street-artistes nous offrant des oeuvres sur place, à emporter aussitôt faites…
Bref, Sanary a vécu durant quatre jours la vie en ros et le maire, Ferdinand Bernhard peut se targuer d’avoir une ville qui bouge en tous sens puisque, durant cette manifestation, une autre avait lieu : « L’homme et l’espace » avec la venue de scientifiques et de cosmonautes russes et français. Dommage d’ailleurs que ces deux manifestations se chevauchent car elles avaient toutes deux un très grand intérêt et que par moments, il fallait choisir.
A revoir si l’an prochain les deux manifestations ont à nouveau lieu.

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Sanary élu plus beau marché de Farnce !
Enfin, cerise (ou plutôt… raisin !) sur le gâteau, voilà que dans la course au plus beau marché de France, organisée par TF1, Sanary est arrivée en tête et remporte le concours. Mardi on y pensait un peu en voyant TF1 débarquer dans le ville mais c’est ce mercredi, comme par hasard jour du marché, qu’à 13 heures est apparu à l’écran Jean-Pierre Pernault dans le kiosque à musique emblématique de la commune et quelques minutes plus tard, l’on voyait le maire brandir le trophée, ému, heureux et fier, offrant à sa commune une vision nationale qui va certainement amener un afflux de curieux et de vacanciers.
Pour rappel, l’opération « Votre plus beau Marché », une initiative totalement inédite de Jean-Pierre Pernault et de son équipe, a été lancée le 15 janvier dernier dans le JT de 13 heures, en partenariat avec la presse régionale.
Cette toute première élection a déclenché une mobilisation exceptionnelle dans les villes et régions concernées, avec à la clé 3,8 millions de votes sur le site TF11Vous, à la clôture du concours, vendredi 4 mai.
Avec tout ça, pourvu que les prix n’y flambent pas !!!

O N

 Jacques Brachet

SANARY – Just’Rosé… 6ème !

Impression

SAVE THE DATE – Le Festival Just’Rosé revient pour sa 6ème édition à Sanary-sur-Mer (83) du 5 au 8 mai

Pour la sixième année consécutive, la vieille ville de Sanary-sur-Mer (83) s’habillera de rose pour fêter le vin rosé à l’occasion du pont du 8 mai. 70 exposants viendront présenter leurs cuvées aux amateurs de vins rosés venus des quatre coins du monde. Un rendez-vous unique en Provence autour du vin préféré des français, qui mêle dégustations, découverte de la ville et animations pour petits et grands.
Un rendez-vous incontournable
Just’Rosé a accueilli pas moins de 65 000 visiteurs sur trois jours en 2017. Avec une croissance moyenne de 65% par an, le festival du vin rosé de Sanary s’est rapidement imposé comme un événement majeur de l’agenda des vignerons français.
Son concept unique en plein air mêlant parcours dégustations dans la ville et animations attire à la fois jeunes, familles et seniors, une clientèle hétéroclite qui fait la force de l’événement. Un événement sous le signe de la fête, de l’art de vivre et de l’art tout simplement avec son riche programme d’animations : ateliers et expositions d’art, découverte du patrimoine, balades en pointus, danse, jeux.

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Une édition qui prend de l’ampleur
Cinq exposants supplémentaires
feront partie de cette édition, « Nous sommes obligés chaque année de refuser de nombreuses candidatures de vignerons car nous voulons conserver l’esprit familial de cet événement, toujours géré par une équipe de bénévoles ». Précise Cécile Didat, Présidente de l’association des commerçants de Sanary, Just’Sanary, organisatrice de l’événement.
70 exposants feront donc partie de l’aventure (dont 11 nouveaux), contre 40 la première édition en 2013.
Un quatrième jour a également été ajouté cette année pour faire face à l’afflux de visiteurs, toujours plus nombreux chaque année « Nous avons ajouté une date supplémentaire afin d’étaler la fréquentation et faciliter l’accueil des visiteurs sur site par nos équipes mais aussi pour les vignerons ».
Les chiffres clés 2017 :
110 bénévoles – 17 000 kit dégustation vendus – 65 000 visiteurs estimés, soit 45% d’augmentation par rapport à 2016 – 35 000 bouteilles vendues
Informations pratiques :
Horaires billetterie : 9h – 16h (fermeture à 14h le mardi 8 mai)
Horaires dégustation : 10h – 18h (fermeture à 16h le mardi 8 mai)
Tarifs : prévente kit dégustation à 8€ (verre et porte verre) – Sur place : 10€
Ouverture de la billetterie en ligne le 1er avril : just-rose.com

 

« Il était une fois au Château de Saint Martin : … Noël ! »

Ch+óteau de Saint-Martin en habit de lumi+¿res

Samedi 9 décembre 2017 – Taradeau (Var) :
15ème édition du Gros Souper Provençal de Noël

Attachée à rythmer les saisons d’événements festifs au Château, Adeline de Barry, à la tête de ce Cru Classé de Provence, clôture l’année avec le traditionnel «  Gros Souper Provençal », le samedi 9 décembre 2017. Depuis 15 ans, elle propose aux amateurs de découvrir ou redécouvrir la tradition du Gros Souper de Noël avec ses 7 plats « maigres » et ses 13 desserts.
Le Château de Saint Martin, riche de son histoire depuis 2200 ans, renoue ainsi avec ses racines et fait revivre à chacun cette période, que l’on soit provençal de souche, de cœur ou d’adoption.
Dans ce cadre original datant du XVIIIème siècle, les convives s’initient, dans une ambiance joyeuse et festive, aux traditions provençales culinaires de Noël, pour perpétuer les traditions provençales, et en particulier celles de l’avent et de Noël, si souvent méconnues ou oubliées.
Pour faire découvrir le traditionnel gros souper de Noël avec ses 7 plats et ses 13 desserts
Pour passer un moment unique de convivialité autour des vins et de la fête !

Deux Chefs se mettent aux fourneaux pour ce 15ème Gros Souper de Noël :
Gui Gedda,
Le Pape de la cuisine provençale et son « poulain » Anthony Lopez, Chef du restaurant bistronomique « Planches et Gamelles » au Lavandou !
Gui Gedda est issu d’une famille de cuisiniers, il est reconnu par la France entière comme le spécialiste de la cuisine provençale. Contemporain de Roger Vergé (figure de la gastronomie française), il a fait découvrir sa cuisine pendant plus de 30 ans au restaurant « Le jardin de Perlefleurs » à Bormes-les-Mimosas, avant de se consacrer désormais à l’écriture et aux rencontres avec son public. Il a publié 15 livres de cuisine, qu’il dédicacera lors du Gros Souper de Noël.

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Anthony Lopez, au parcours brillant, a travaillé dans des établissements étoilés au Michelin tels que Ghislaine Arabian à Paris ou Le Maurin des Maures au Rayol Canadel sur Mer, avant de créer son propre restaurant gastronomique La Farigoulette en 2012 et aujourd’hui “Planches et Gamelles”, à la tête de son deuxième restaurant bistronomique. Sa philosophie: « Ici le luxe, c’est la simplicité » se dévoile dans ses recettes : « de bons produits (locaux de préférence et de saisons), une cuisson juste, un assaisonnement simple, pas de fioritures inutiles, et le tour est joué! ».
Les 7 plats maigres seront accompagnés par les vins du Château de Saint Martin, soigneusement accordés aux saveurs des mets, et les 13 desserts par le Vin Cuit de Noël du Château.
Une Fête sans musique n’est pas une Fête !
Cette année la soirée prend des airs d’opérette célèbres magnifiquement joués par un trio de femmes : Maria Baran, Céline Barcaroli et Ekaterina Alferova. Le bal s’ouvrira sur des airs de Carmen, Offenbach ou bien encore Francis Lopez…

Ch+óteau de Saint-Martin - Salle des Cal+¿ches (XVIIIe si+¿cle)

Programme & Informations Pratiques
A partir de 19 H : cocktail dégustation des Crus Classés du Château de Saint-Martin.
20 H : Gros Souper de Noël dans la Salle des Calèches du XVIIIème siècle (La Calade)
Sur réservation au 04 94 99 76 76 ou alexandra@chateaudesaintmartin.com
90 euros par personne, 170€ par couple
800 euros la table de 10 personnes avec un magnum offert
Château de Saint Martin – cru classé – Route des Arcs – 83460 – Taradeau

 

TARADEAU
Le Château de Saint-Martin dévoile son Histoire

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Pour la 34ème édition des Journées européennes du patrimoine*, Adeline de Barry ouvre les portes du Château de Saint-Martin les samedi 16 et dimanche 17 Septembre, lieu chargé d’histoire qui fait partie du patrimoine provençal.
Ce patrimoine chargé d’histoire se découvrira au fil des :
Visites de la cave souterraine et des fouilles romaines en présence du Centre Archéologique du Var. Du 1ER au XIIème siècle après J-C, une civilisation gallo-romaine occupe Saint-Martin durant 8 siècles. Du Xème au XVIIIème siècle, Saint-Martin devient un prieuré des Moines de Lérins. Ces derniers bâtirent une chapelle d’un style très pur et une cave souterraine datée du XIIème siècle. (Différents horaires – se renseigner 04 94 99 76 76)
Vinoscénies : où l’histoire du Château de Saint-Martin est contée au cœur de la cave souterraine du XIIème siècle. Un voyage magique entre le monde du vin, la Romanité et le Moyen-Âge. (Différents horaires – se renseigner au 04 94 99 76 76)
La Provence et son patrimoine artisanal seront également présents :
Signatures de livres écrits par différents auteurs régionaux sur le thème de la Provence. Avec la présence exclusive du Pape de la cuisine Provençale, le chef Gui Gedda*.
Ateliers poterie et balades à dos d’âne : en mémoire des périples de Saint Martin à dos d’âne, l’histoire prêtant la taille de la vigne à son âne ayant grignoté les sarments de vignes d’un prieuré.
(5€/personne)
Marché artisanal : bougies, bijoux, savons, produits du terroir…
Déjeuner sur place
Dégustations de vins du domaine et du vin cuit traditionnel
Assiettes de charcuterie et fromages sur place (entre 12 et 15 euros)
Dégustation de la « socca » niçoise (crêpe à base de farine de pois chiche, délayée avec de l’eau et de l’huile d’olive à déguster bien poivrée et bien chaud. Elle est particulièrement appréciée à l’heure de l’apéro avec un verre de rosé !
Sur réservation, le Château organise un déjeuner autour du cochon de lait à la broche.
(20€/personne, verre de vin et dessert inclus.)
Renseignements et réservations : Château de Saint-Martin – route des Arcs – 83460 Taradeau
Tel. 04 94 99 76 76 – mailto:alexandra@chateaudesaintmartin.com

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