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Porquerolles… Des meurtres au soleil

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Porquerolles pendant les vacances de la Toussaint.
Il fait un temps radieux et l’on se croirait en plein été : Soleil à gogo, mer d’huile… et une longue file d’estivants pour prendre le bateau. Entre les embouteillages pour entrer dans les parkings et la file discontinue sur des dizaines de mètres pour embarquer malgré le nombre de navette qui a triplé il faut une patience extrême et une réelle envie de mettre les pieds sur l’île. Arrivés sur l’île c’est la fiesta : les rues encombrées de gens, les vélos qui vous frôlent de tous les côtés, les effluves de frites, de gaufres, de churros, les bars pris d’assaut, les files d’attente au marchand de glace… Ce n’est pas ce que l’on pourrait imaginer comme vacances idylliques.
Alors, pourquoi me direz-vous, deux toulonnais y viennent précisément à cette époque de vacances ?
Tout simplement parce qu’il y a eu des meurtres !
Rassurez-vous «c’est pour de faux», c’est tout simplement parce que dans sa série «Meurtres à…», une équipe de France 3  s’est installé depuis le 4 octobre pour le tournage d’un tout nouvel épisode judicieusement intitulé «Meurtres à Porqueroles»
Une fois de plus, c’est la réalisatrice Delphine Lemoine, qui a déjà réalisé «Meurtres à Albi, à Mulhouse et à Sarlat». C’est dire si elle s’y connait en tournages de polars.
Une superbe distribution devant son objectif : le beau et charismatique François Vincentelli qu’on ne présente plus tant il passe du théâtre à la télévision avec arrêts au cinéma avec un réel bonheur, la toute jolie Charlie Bruneau, vue dans le Palmashow, dans les séries «En famille», «R.I.S», «Philharmonia».  Tous deux forment le nouveau duo de choc de cet épisode. Ils sont entourés de la belle Nicole Calfan, de l’énigmatique Didier Flamand et de Chrystelle Labaude, héroïne de «Sections de recherches» et en ce moment de «Un si grand soleil».
Une belle équipe donc, qu’on retrouve dans une villa, loin de la foule déchaînée et où entre deux scènes tournées dans une pièce exigüe, ils viennent nous retrouver sur la terrasse au soleil.

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Reçus par le grand sourire de la directrice de production Erika Wicke que j’avais rencontrée sur le tournage à Marseille de «Meurtres sur les îles du Frioul» avec l’ami Francis Huster, nous avons très vite été adoptés par l’équipe, dans une ambiance souriante, tous heureux d’être loin des brumes parisiennes, chacun étant tout disposé à passer devant l’objectif d’Alain, mon photographe.
Pour les interviewes, ce sera plus difficile, chacun ayant des obligations de tournage ou familiales comme Charlie Bruneau qui doit s’occuper de son fils malade. Quant à François Vincentelli, malgré des problèmes d’hébergement, car il est si bien à Porquerolles avec son épouse qui attend un heureux événement (Déjà 7 mois !), il prendra le temps de déjeuner avec nous au soleil, devant la mer, rejoint par la réalisatrice Delphine Lemoine, avec qui nous aurons le temps de discuter devant un délicieux repas.
Si le tournage de la matinée s’est passé au calme de la villa, l’après-midi toute l’équipe se retrouvait sur la place de l’île, devant le commissariat, la place ayant été envahie en quelques minutes et l’assistant ayant un mal fou à leur faire garder le silence durant les prises.
Mais en fait, tout se passe dans la sérénité, le sourire, la gentillesse, la patience… Bref, un tournage idyllique !
Vous êtes curieux de connaître l’histoire ?
Le corps sans vie d’une femme de 60 ans est découvert sur la plage de l’Alycastre à Porquerolles. Elisabeth Carlson était une artiste peintre et une figure admirée de l’île. Son corps gisant au pied de la falaise évoque la Lycastre, le fameux dragon de la légende qui a donné son nom à la baie.
Arnaud Taillard (François Vincentelli), le très sérieux substitut du procureur, lui-même enfant du pays, va devoir mener l’enquête avec Charlie Landowski (Charlie Bruneau), une fantasque commandante de police fraîchement mutée de Seine Saint-Denis.
Voilà, vous n’en saurez pas plus, sinon qu’on assistera à un événement : Diane (Nicole Calfan) est emmenée prisonnière sur le continent… Pourquoi ? à suivre !
Un regret, ne pas avoir rencontré Chrystelle Labaude, déjà repartie, avec qui j’ai de jolis souvenirs de tournages sue la série «Section de recherches» et une tournée théâtrale avec un autre ami : Francis Perrin.

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Retournons donc au déjeuner où nous nous retrouvons à table avec Delphine Lemoine et François Vincentelli à qui je rappelle notre rencontre au festival télé de la Rochelle.
«Delphine, vous voici donc l’auteur d’un quatrième meurtre !
(Elle rit)  C’est vrai et j’en suis heureuse car à chaque fois je découvre un lieu, une région et je tourne à chaque fois avec un binôme qui apporte sa personnalité car le but de cette série est à chaque fois de former un duo,( et non un couple), différent. Et je trouve ça très chouette.
Vous avez commencé comme assistante de réalisateurs et non les moindres : Léos Carax, Cédric Klapish, Nicole Garcia…
Oui, c’est loin tout ça ! Après avoir fait la FEMIS, j’ai fait dix ans d’assistanat, j’ai réalisé entretemps des documentaires, des courts métrages…
Et pourtant vous êtes devenue réalisatrice à la télévision !
Oui parce que c’est là que j’ai reçu des propositions intéressantes, j’ai réalisé des épisodes de «Plus belle la vie», de la série «Tandem», «Crimes parfaits» et cette série de «Meurtres à…» et ça me convient bien.
Il y a encore une cloison entre le cinéma et la télévision ?
Ca à l’air d’un peu changer mais c’est vrai que nous mettre dans des tiroirs, c’est typiquement français. Moi, ça ne me gêne pas car je cherche surtout des sujets de qualité et ce qu’on me propose à là télé est ce que je cherche. Bon, c’est vrai qu’avec la série des meurtres, on m’a encore un peu mise dans le tiroir de «la réalisatrice qui est douée pour tourner des polars», ou encore des unitaires de 90’. Mais ça ne me gêne pas, ça me permets de faire des choses que j’aime.

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Et vous François, qu’en pensez-vous ?
Je pense quand même que ce fossé ciné-télé est en train de s’estomper. On voit de plus en plus d’acteurs dits «de cinéma» passer à la télé parce qu’on leur propose de belles choses.
Mais le contraire n’est pas évident, non ?  Que vous prose-t-on au cinéma ?
(Il rit) Oui, c’est vrai qu’à la télé j’ai tourné des rôles de premier plan, dans des séries et qu’au cinéma, ce sont des rôles de «guest» où je ne tourne que deux ou trois jours. Mais j’ai cette chance d’être avant tout un acteur de théâtre. Donc je joue sur plusieurs tableaux et je ne vais au cinéma que lorsque le rôle, si petit soit-il, m’intéresse. Je n’ai aucune frustration à ce sujet et je vais là où on me propose et où ça me convient. C’est une chance.
J’aime particulièrement les séries qui permettent de prolonger un rôle récurrent, de l’installer dans une histoire, chose qu’on ne peut pas faire en 90’ et même une heure et demi.
Est-ce que le Covid vous a impactés ?
Delphine : Comme tout le monde mais on a eu cette chance de pouvoir continuer à tourner en prenant toutes les précautions d’usage. Tout le monde, même aujourd’hui, porte le masque et seuls les comédiens l’enlèvent pour tourner. J’ai eu quand même une angoisse lors du premier confinement car il fallait se tester tout le temps et on avait pas mal de difficultés pour tourner des scènes de rapprochement. Mais on a pris les mesures nécessaires et on a modifié la façon de travailler.
François: J’ai eu bien sûr les mêmes difficultés que tout le monde mais ce qui a été le plus dérangeant c’est que l’homme de théâtre que je suis n’a plus pu jouer. Et ça, c’était vraiment difficile. Heureusement que le vaccin est arrivé !
Cette année a quand même été fructueuse : deux films, deux téléfilms…
Le premier « Villa Caprice» de Bernard Stora, c’est un second rôle, les stars étant Michel Bouquet, Niels Arestrup, Patrick Bruel. Quant à «Vagabondes» c’est mon pote qui me l’a proposé au dernier moment, ça a été un plaisir de tourner avec Sergi Lopez et il y a une scène d’ouverture qui est très drôle.

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Côté télé…
Il y a eu «Faites des gosses» une série de six fois 52’  avec un rôle récurrent comme je les aime  Avec entre autres Fred Testot, Jonathan Lambert… que des tristes ! On a bien rigolé.
Puis i y a eu «Liés pour la vie» avec Laeticia Milo, Christiana Réali, Antoine Dulery. Une histoire plus grave où une championne d’équitation a un grave accident qui l’empêchera de remonter à cheval. Elle se lie avec un homme dont elle ne sait pas que c’est par lui qu’est arrivé l’accident. C’est une très jolie comédie romantique.
Delphine, avec ces «Meutres à…», vous changez chaque fois de région…
Et c’est ce qui m’intéresse et je travaille beaucoup en amont.
C’est-à-dire ?
Je viens bien longtemps à l’avance découvrir le lieu, la région pour m’en imprégner mais aussi m’imprégner des gens, ce qui pour moi est essentiel. Il faut que je ressente l’ambiance. Par exemple, je suis venue cet été passer ce que j’appelle des vacances-travail à Porquerolles. Nous sommes venus avec la productrice Lola Gans, j’ai repéré tous les lieux qui pouvaient s’adapter à l’histoire mais j’ai aussi rencontré les gens qui vivent sur cette île, qui la font vivre et que j’insère dans l’histoire. Il y a par exemple Carmella, cette marchande de légumes que tout le monde connaît sur l’île, il y a Georges Paul, le seul taxi de l’île, ce sont des gens incontournables qui sont heureux de tourner et c’est pour moi un clin d’œil . Comme il y avait une peintre dans l’histoire, j’ai choisi une peintre qui vit là et j’ai fait avec elle un travail sur la peinture. Ce sont des rôles rajoutés qui donne une complicité entre eux et moi, même si le spectateur ne s’en rendra pas compte».

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Jacques Brachet
Photos Alain Lafon
Meurtres à Porquerolles

Réalisation : Delphine Lemoine – Scénario : Anne-Charlotte Kassab & Pierre Lacan
Avec Charlie Bruneau (Charlie Landowski), François Vincentelli (Arnaud Taillard), Nicole Calfan (Diane), Didier Flamand (Hubert), Chrystelle Labaude (Mireille Canovas), Damien Jouillerot (Romain), Maël Cordier (Nevil), Erza Muqoli (Alice), Nancy Tate (Lilibeth), Flora Chereau (Mélanie)

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France 2 : Lundi 15 novembre 21h05
Soirée continue autour de la fiction « L’Enfant de personne »

Nouvelle mobilisation éditoriale d’envergure en faveur des Droits de l’enfant
du 15 au 21 novembre

L'ENFANT DE PERSONNE

A l’occasion de la Journée internationale des Droits de l’enfant du 20 novembre et dans le cadre de son engagement permanent sur cette question de société essentielle, France Télévisions mobilise l’ensemble de ses antennes, linéaires et numériques.
Dans la ligne de l’impact de ses précédentes mobilisations, qui ont fait bouger les lignes, sensibilisé le public, libéré les paroles et mis en lumière des sujets et des souffrances encore souvent tabous, France Télévisions propose cette année plusieurs programmes événements.
Parmi eux, deux grandes soirées inédites s’articulant respectivement autour de la fiction L’enfant de personne, film choc sur les enfants placés récemment couronné par trois prix prestigieux, et du nouveau magazine de Faustine Bollaert Les temps changent, consacré à « L’enfance abîmée ».
Plusieurs temps forts se succéderont durant cette semaine spéciale.
Nos documentaires, magazines, éditions, plateformes, réseaux sociaux, participeront à cette programmation événementielle, avec des approches éditoriales multiples et innovantes.

L'ENFANT DE PERSONNE L'ENFANT DE PERSONNE

L’enfant de personne
Un film de Akim Isker (90’)
D’après l’ouvrage de Lyes Louffok, avec la collaboration de Sophie Blandinières, «Dans l’enfer des foyers» (Flammarion)
Disponible également en livre de poche, aux éditions J’ai Lu
Scénario : Dominique Garnier et Zoé Galeron
Avec : Isabelle Carré (Agathe), Nawell Madani (Myriam), Andréa Bescond (Jeanne), Yassine Chorfa (Lyes 6 ans), Abdelmadjid Guemri (Lyes 11 ans), Moncef Farfar (Lyes 16 ans), Marie Berto (Frédérique), Arthur Rosas (André), Bruce Dombolo (Djibril), Lila Makhlouf (Leïla), Ilanah Cami-Goursolas (Lisa), Déborah Kuamambu (Naomie) …Certains comédiens et figurants sont des enfants placés, castés dans différents foyers.
Lyes est brutalement arraché à Émilie, la mère d’accueil qui l’a recueilli bébé, et qui désirerait l’adopter. L’enfant se retrouve ainsi confronté à la violence des foyers de l’ASE, qui refuse de couper le lien avec la mère biologique, pourtant incapable de s’occuper de lui. Agathe, la sœur d’Émilie, n’a jamais abandonné l’enfant. Elle va se battre contre le système pour tenter de maintenir un lien avec lui, décidée à le recueillir chez elle pour l’aider à se reconstruire.
La fiction  est adaptée du livre Dans l’enfer des foyers, écrit par Lyes Louffok, ouvrage dans lequel il revient sur son douloureux parcours d’enfant placé à l’Aide Sociale à l’Enfance
Lyes Louffok milite depuis 8 ans pour une meilleure protection des enfants placés et le respect de leurs droits.
En 2016, il est nommé au Conseil National de la Protection de l’Enfance.

L'ENFANT DE PERSONNE L'ENFANT DE PERSONNE

Une fiction événement multirécompensée :
– Prix du meilleur film unitaire
au Festival de la Fiction de La Rochelle 2021
– Prix du Jeune espoir masculin ADAMI
pour Moncef Farfar / Yassine Chorfa / Abdelmadjid Guemri
au Festival de la Fiction de La Rochelle 2021
– Prix Europa 2021 de la meilleure fiction européenne de l’année

A 22.45 : Débat en plateau présenté par Julian Bugier (60 mn)
Enfants placés, enfants abandonnés ?
Invités de l’émission :
Lyes Louffok
Marie Vaton, journaliste. Elle a enquêté pendant 2 ans auprès des travailleurs sociaux de la protection de l’enfance, des familles dysfonctionnelles et des enfants en danger. Enquête qu’elle relate dans son livre Enfants placés. Il était une fois un naufrage, chez Flammarion.
Anne-Laure Maduraud, ancienne Juge des enfants
Annick Moine, ancienne enfant placée, Assistante familiale, Présidente de la FNAF (Fédération Nationale des Assistants Familiaux)

L'ENFANT DE PERSONNE

Après le débat – A 23.40 : Infrarouge – Mes premiers pas d’éducateur (58’)
Hannah, Laure, Halima et Adrien veulent devenir éducateur. Dans une société de plus en plus fracturée, Ils veulent venir en aide aux exclus, à ceux qui souffrent ou dont personne ne veut s’occuper. On ne se lance pas dans ce métier peu reconnu et peu rémunéré par hasard et si leur parcours personnel a construit leur vocation, ils s‘apprêtent à se lancer dans le grand bain. Étudiants à l’Institut Régional du Travail Social de Paris, ils alternent stage et cours. Cette formation les pousse à établir sans cesse des ponts entre la théorie et la pratique, à confronter leurs idéaux, leurs rêves à la réalité du terrain. Car bien accompagner « celui qui en a besoin » est un processus long et à l’issue incertaine et qui passe nécessairement par la découverte de soi.
Présenté par Marie Drucker – Un film de Ketty Rios Palma – Produit par Mélissa Theuriau



France 3 – Mardi 9 novembre à 21
Sophie Cross Série inédite – 3 x 90 min

SOPHIE CROSS

Écriture : Paul Piedfort
Adaptation et dialogues : Marie-Anne Le Pezennec
Réalisation : Franck Van Mechelen
Avec Alexia Barlier (Sophie Cross), Thomas Jouannet (Thomas Leclercq), Cyril Lecomte (Gabriel Deville), Mariama Gueye (Amina Dequesne), Oussama  Kheddam (Fred Fontaine), Wanja Mues (Alexander Brandt), Aurélien Recoing (Olivier Breton), Fred Bianconi (Maxime Lecomte), Olivier Soler (Olivier Marchand), Frédéric Van Den Driessche (Paul Renaud), Naïma Rodric (Estelle Renaud), Frédérique Tirmont (Edith Mueller)…

Sophie Cross, brillante avocate, et son fils de six ans Arthur profitent d’une belle journée dans les dunes de la mer du Nord qui bordent leur maison. Quelques secondes d’absence de Sophie suffisent pour que son fils disparaisse. Le cauchemar commence alors pour elle et son mari Thomas, pourtant commissaire de police, mais impuissant face à ce drame et anéanti de ne pouvoir retrouver leur fils.
Trois ans plus tard, Sophie et Thomas restent dévastés. Alors qu’il est convaincu qu’ils ne reverront jamais Arthur, elle se refuse de perdre espoir et, après une formation, se prépare à intégrer la police afin de retrouver la trace de son fils.
C’est dans l’unité criminelle dirigé par son mari Thomas que Sophie va devoir se faire une place parmi les membres de l’équipe plus ou moins heureux d’accueillir cette nouvelle recrue.

SOPHIE CROSS S01
Alexia Barnier & Thomas Jouannet

Episode 1
A la suite de la disparition d’Arthur, son fils de six ans, Sophie Cross brillante avocate, n’arrive plus à exercer son métier qui la conduit à devoir parfois défendre des criminels. Trois ans plus tard et après avoir passé son équivalence d’officier de police avec succès, Sophie intègre l’unité criminelle dirigée par son mari Thomas. Alors qu’il est convaincu qu’ils ne reverront jamais Arthur, elle refuse de perdre espoir et passe ses nuits à chercher la vérité.
Dès son arrivée au commissariat Sophie doit trouver sa place dans une équipe qui apprécie peu son statut de femme du patron. Sous les ordres du Capitaine Gabriel Deville et avec ses coéquipiers Amina et Fred, Sophie va se trouver rapidement projetée dans une enquête où les meurtres se succèdent étrangement.
Episode 2
Sophie a reçu par mail une photo d’Arthur qui prouverait qu’il est vivant. Méfiante, suite à de nombreuses désillusions, elle enquête en secret sur l’origine du mail sans en parler à Thomas qui pense que cette obsession est destructrice.
Le corps sans vie d’un professeur est découvert sur le parking d’un lycée par sa toute jeune compagne. L’enquête progresse difficilement : entre jalousies, mensonges et secrets de famille, l’équipe tourne en rond, ce qui provoque la colère de Deville. Sophie, à qui on reproche d’avoir joué solo, se heurte à l’autorité.
L’équipe va-t-elle pouvoir se ressouder pour trouver le coupable ? Et la piste d’Arthur va-t-elle confirmer qu’il est encore en vie ?

SOPHIE CROSS S01 SOPHIE CROSS S01
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Mariama Gueye – Cyril Lecomte – Mark Grosy – Wanja Mues

Episode 3
Désespérée par la perte de la seule piste réelle qu’elle possédait dans la recherche de son fils, Sophie se confie enfin à Thomas qui décide de l’épauler.
L’équipe est chargée d’enquêter sur la mort d’un détective privé. Aucun élément concret ne permet d’avancer jusqu’à ce que le légiste, en livrant son analyse, fasse repartir l’enquête cinq ans en arrière. Mystères, secrets, fausses pistes et IGPN ralentissent l’équipe.
Sophie et Thomas ont trouvé des informations importantes concernant un trafic d’enfants. Arriveront-ils à retrouver leur fils Arthur ?

SOPHIE CROSS S01

France 3 – Samedi 16 octobre 21h05 : Magellan revient !

Inédit – Commissaire Magellan « Mortel refrain »

COMMISSAIRE MAGELLAN

Mathieu Deschamps est un chanteur qui a connu son heure de gloire avant d’interrompre brutalement sa carrière. Si certains de ses refrains sont encore sur toutes les lèvres, il a été un peu oublié. Après des années d’absence, il préparait enfin son grand retour grâce à un nouvel album et une tournée dans toute la France. Mais ce soir-là, alors qu’il finit d’enregistrer son dernier morceau, il est assassiné dans son studio de musique.
Qui en voulait assez à cet homme pour l’empêcher de revenir au-devant de la scène ? Le Commissaire Magellan et le Lieutenant Berraya vont devoir rivaliser de perspicacité pour répondre à cette question et découvrir l’assassin…

COMMISSAIRE MAGELLAN COMMISSAIRE MAGELLAN COMMISSAIRE MAGELLAN
COMMISSAIRE MAGELLAN COMMISSAIRE MAGELLAN COMMISSAIRE MAGELLAN

Réalisation : Stéphane Kopecky – Scénario : Thomas Luntz

Avec Jacques Spiesser (Simon Magellan), Selma Kouchy (Selma Berrayah), Nathalie Besançon (Florence Higel), Franz Lang (Ludovic), Marie de Stefano (Cordélia)…
Guests Anne Caillon (Elsa Deschamps), Eric Boucher (Mathieu Deschamps), Avy Marciano (Stéphane Larrieux), Jean-Pierre Michaël (Gordon), Jade Pradin (Manon Deschamps), Agnès Soral (Barbara), Bernard Alane (Paul Gavrillac)…
Guests Anne Caillon (Elsa Deschamps), Eric Boucher (Mathieu Deschamps), Avy Marciano (Stéphane Larrieux), Jean-Pierre Michaël (Gordon), Jade Pradin (Manon Deschamps), Agnès Soral (Barbara), Bernard Alane (Paul Gavrillac)…

COMMISSAIRE MAGELLAN COMMISSAIRE MAGELLAN COMMISSAIRE MAGELLAN


France 3 – Inédit – Alex Hugo revient

Dès mardi 21 septembre à 21.05 « La voie de l’esprit »
Une collection qui continue de fidéliser un très grand nombre de téléspectateurs.
Après plus de 6 millions de téléspectateurs rassemblés par la collection la saison passée, France 3 propose deux nouveaux inédits dès le 21 septembre.

ALEX HUGO 19

Épisode 19 : La voie de l’esprit 
Au retour d’une course en montagne, Alex sauve Élise d’une tentative de suicide. Cherchant à comprendre les causes de son geste, il découvre que la jeune femme a été victime d’un viol. Le crime remonte à une semaine, mais Élise n’en a aucun souvenir car elle a été droguée et son agresseur a frappé lors d’une soirée en boîte de nuit où tout le monde portait des masques. Alex la convainc de porter plainte et met la rurale et la criminelle sur le coup. Alors qu’Angelo confie la jeune femme aux soins de Thérèse, une vieille amie qui aide les victimes d’agressions sexuelles à surmonter leur traumatisme, Alex mène son enquête et découvre qu’une jeune femme, Ariane Brazac, également présente lors de la soirée, a un comportement étrangement destructeur, signe qu’elle aurait elle aussi été agressée. De leur côté, Dorval et Renart réalisent que l’homme qui a agressé Élise est le violeur en série qu’ils traquent depuis des mois…
Auteur : Julien Guérif – Réalisatrice : Muriel Aubin – Musique originale : David Salkin
Avec  Samuel Le Bihan (Alex Hugo), Lionnel Astier (Angelo), Mikaël Fitoussi (Renart), Marilyne Canto (commissaire Dorval), Fabien Baïardi (Tony Leblanc), Élise Diamant (Marie), Pauline Serieys (Élise), Annick Blancheteau (Thérèse) Florence Muller (Hélèna), Alice Daubelcour (Ariane), Bastien Bernini (Max).

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Prochainement, l’épisode 20 : La fin des temps
Tandis que le cadavre d’un homme est recraché par les eaux d’un torrent, une jeune adolescente sans identité s’est réfugiée dans le chalet d’Alex. Muette, apeurée, elle semble découvrir le monde et la technologie pour la première fois. Est-elle parvenue à s’échapper d’une longue séquestration, ou vivait-elle à l’écart de tous, quelque part dans la montagne ? En tout cas, le danger rôde : une « ombre » semble bien décidée à la récupérer. Alex la prend sous son aile et se lance dans une double enquête. Une recherche de vérité qui va le plonger au cœur de l’univers parfois inquiétant des survivalistes.
Auteurs :  Niko Tackian / Franck Thilliez
Réalisateur Olivier Langlois  – Musique : Jérôme Lemonnier / Alexandre Delilez
Avec Samuel Le Bihan (Alex Hugo), Lionnel Astier  (Angelo), Mikaël Fitoussi (Renart), Marilyne Canto (commissaire Dorval) Fabien Baïardi  (Tony Leblanc), Natacha Krief (Iris), Emmanuelle Galabru (Mathilde Dumont), Nicolas Wanczycki (Éric Brochant)

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« The Artist » Sur France 2, Culturebox et France.TV

Samedi 11 septembre dès 20h40

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Découvrez les 22 artistes en compétition 
Samedi soir en direct, l’expérience «The Artist» démarre pour 22 auteurs-compositeurs et interprètes !
Aux manettes, Nagui, dans le Jury, Elodie Mermoz, Emmanuel Virot et Clara Luciani, marraine de l’émission et invitée de choix de cette grande première ; et depuis chez eux, les téléspectateurs, qui évalueront eux aussi les prestations des candidats via un système de votes totalement gratuit.

Samedi soir, 22 talents réaliseront une reprise de leur choix, enrichie d’une vraie prise de liberté de réécriture et/ou de recomposition, inspirée de leur univers artistique.
Deux choix s’offriront au Jury et aux téléspectateurs à l’issue de chaque passage : une étoile dorée (J’aime) ou un octogone (Je n’aime pas)
Pour décrocher une étoile du Jury, il faudra convaincre un minimum de 2 juges sur 3. Quant aux téléspectateurs, plus de 50% de votes favorables permettront d’obtenir leur soutien.
Pour la première fois en France, ces derniers pourront voter gratuitement, via Instagram et la page officielle de l’émission @theartistoff ainsi que par SMS au 3 2323 (appel non surtaxé).
Pour nos artistes, l’enjeu de ce premier passage sera de taille : aligner les deux étoiles dorées du Jury et des téléspectateurs pour assurer une place en semaine 2.
Aucune étoile n’entrainera une élimination sur le champ. En cas d’étoile unique, les artistes en ballotage auront une deuxième et dernière chance de faire l’unanimité grâce à une composition de leur répertoire personnel. Mais s’ils n’y parviennent pas ils seront eux aussi éliminés du concours.

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De gauche à droite (haut)
Esken, 22 ans, Valentin, 24 ans, Laura Crowe & Him (duo), 31 et 47 ans
Rouquine (duo), 28 et 44 ans, De grands enfants (duo), 37 et 38 ans Coline Capel, 17 ans, Fils Cara, 26 ans, Félixita, 26 ans, Nikola, 20 ans Alphée, 27 ans
De gauche à droite (bas)
Claire Hardy, 25 ans, Diese, 19 ans, Elisa Erka, 32 ans, Cynthia, 27 ans Bandit Bandit (duo), 26 et 30 ans, Petite Gueule, 34 ans, François Henri, 28 ans, Gabiel Joseph, 25 ans, Anissa al Tmayer, 32 ans, Igee, 23 ans, Mauvais oeil (duo), 28 et 30 ans, Joseph Kamel, 25 ans

Quels artistes réussiront à aligner les étoiles ?

 



France 2 : « Deux femmes »
avec Odile Vuillemin et Agathe Bonitzer

DEUX FEMMES

Lundi 6 septembre 21h05
En 1965, Colette, qui revendique sa liberté de mœurs, est accusée à tort de meurtre par des policiers misogynes.L’affaire est confiée à Anne-Marie, une jeune juge d’instruction timide et réservée. Pourra-t-elle résister au machisme de la hiérarchie judiciaire de l’époque ?
Librement inspiré d’un fait divers réel, ce film raconte le combat convergent et inattendu de deux femmes aux tempéraments opposés.

DEUX FEMMES

Librement adapté d’une affaire qui a défrayé la chronique en 1965,  «Deux femmes» est un film historique qui parle de la condition féminine dans les années 1960, période de notre histoire à la fois proche et si lointaine. On a peine à croire que c’est seulement cette année-là que les femmes ont été enfin autorisées à avoir un chéquier à leur nom L’histoire de ces deux femmes que tout oppose – Colette est une jolie femme aux mœurs libérées, Anne Marie est une juge d’instruction, timide et réservée qui habite encore chez ses parents – est émouvante, touchante et surprenante.
Deux personnages qui, l’une comme l’autre, sont victimes du sort réservé aux femmes dans ces années-là. Une histoire qui fait encore écho aujourd’hui.

DEUX FEMMES DEUX FEMMES

Avec notamment : Odile Vuillemin (Colette Chevreau, Agathe Bonitzer (Anne-Marie Leroux), Aurélien Recoing (Commissaire Faurens), Nicolas Beaucaire (Pierre Chevreau), Pierre Rochefort (Inspecteur Berthelot), Wallerrand Denormandie (Robert Ferrand), Nicolas Wanczycki (Docteur Marcellin), Stephan Wojtowicz (Pierre Selignac) Réalisation : Isabelle Doval
Scénario & dialogues : Stéphane Brisset
Adaptation : Chantal de Rudel & Stéphane Brisset



France 2 – « Les Invisibles »
A partir du mercredi 08 septembre – 6×52’

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Réalisée par Chris Briant & Axelle Laffont
Une série créée par Olivier Norek, Christian Mouchart, Patrick Tringale
Avec la collaboration de Christophe Joaquin
D’après une idée originale d’Olivier Norek
Écrite par Christian Mouchart &  Patrick Tringale
Avec : Guillaume Cramoisan (commandant Darius), Nathalie Cerda (Marijo), Déborah Krey (Duchesse), Quentin Faure (Ben),  Cécile Rebboah (Angie)…
Special guests : : Élodie Hesme, Jérémie Covillault, Benjamin Egner, Laurence Côte, Adèle Galloy, Édouard Montoute, Virginie Caliari, Bastien Bouillon, Roby Schinasi, Abraham Wapler, Élise Tilloloy, Arnaud Binard, Gaëla Le Dévéhat, Arnaud Lechien.

LES INVISIBLES LES INVISIBLES
LES INVISIBLES LES INVISIBLES

Darius, vif, passionné, un brin magouilleur est le boss des « Invisibles », une brigade à la marge qui gère des enquêtes sur les corps sans identité, sans histoire, sans passé…
Son obsession ? Leur redonner une dignité, une humanité afin que les familles puissent faire leur deuil.
Son équipe ? Marijo, gouailleuse au grand coeur, toujours à râler ; Ben, ancien champion de boxe, gros nounours aux poings sensibles ; Duchesse, petite bourgeoise de 25 ans, brillante mais peu habituée au terrain et Angie qui reconstitue les corps avec un peps malicieux.
Leur mission ? Identifier les corps avant qu’ils ne finissent à la fosse commune.  Un corps calciné, une mariée emportée par les flots, des morceaux de corps à travers la ville… Ils sont mandatés pour reconstituer une vie, une destinée et rendre la justice.

LES INVISIBLES



Carqueiranne – Auditorium Clairval
Tom LEEB : «Je vais où le vent me pousse»

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Il est beau comme un dieu, regard bleu-vert sous la casquette, sourire carnassier et en plus… Il ne se la pête pas !
Il n’y a pas plus gentil, simple et souriant.
Humoriste, chanteur, comédien, à l’instar des américains, avec qui il a partagé quelques années, Tom Leeb sait tout faire. Et tout bien faire.
Pas encore très connu comme chanteur, il crève les écrans, petits et grands car on l’y voit partout. Trois films entre 2020 et 2021, idem pour la télé. Beau parcours d’artiste dont il va me parler après plus d’une heure de répet’ pour le concert qu’il donne ce soir-là dans ce bel amphi en plein air de Carqueiranne avec des oliviers pour décor. Si nous n’avions pas été attaqués par les moustiques, c’eut été idyllique. !

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Tom & Kevin – Avec Camille Lou dans « Pourris Gâtés » –
Avec Claire Keim dans Infidèle » – Avec Alice Pol dans C’est la vie »

Tom, tu es sur tous les fronts. Par quoi tout a commencé ?
En fait, tout a commencé en même temps. J’ai commencé à suivre des cours de théâtre aux Etats-Unis, puis j’ai trouvé une guitare chez moi, j’ai commencé à jouer et à composer des chansons, puis j’ai rencontré Kevin Levy avec qui on a commencé à écrire des textes humoristiques. Et on a créé un duo. Tout est arrivé en même temps, en 2013.
C’est ton père, Michel Leeb, qui t’as mis le pied à l’étrier, puisque tu as joué à ses côtés dans «Madame Doubtfire» ?
Oh, là j’avais 12 ans mais à l’époque j’étais attiré par le tennis où je me débrouillais bien et j’aurais pu en faire une carrière si je n’avais alors pas été centré sur moi : je faisais des trucs sur le terrain uniquement pour qu’on me regarde ! Ça n’a pas duré !
Alors ?
Alors j’ai laissé tomber et en 2014 j’ai été engagé dans la seconde mouture de la série «Sous le soleil.»
Il y a eu aussi «Section de recherches»…
Non, là je n’avais pas de rôle récurrent, j’y suis venu en guest pour un épisode.
Passant d’un art à l’autre, n’as-tu pas eu peur de t’éparpiller ?
Je crois que ça c’est très français, même si aujourd’hui ça s’estompe un peu. Des comédiens chantent, des chanteurs viennent au cinéma. J’avoue que je me suis même pas posé la question. Lorsqu’on me propose quelque chose que j’ai envie de faire, je ne me vois pas refuser sous prétexte que je suis chanteur ou comédien. Je vais où le vent me pousse.
Ton duo «Kevin et Tom» a bien marché ?
Oui, avec Kevin on a traversé la France et la Belgique. Ca fait six ans que ça tourne et c’est le Covid qui a tout freiné. On était en pleine tournée. Avec lui tout est arrivé par hasard. On rigolait bien ensemble, on se renvoyait la balle et on a commencé à écrire des sketches. Ça a marché. Avec l’arrêt, chacun est parti dans une autre direction mais ça ne veut pas dire que c’est terminé. On se retrouvera !

7 EUROVISION 2020 - SOIRÉE À LA Tour Eiffel

Et puis il y a eu le concours Eurovision… qui n’a pas eu lieu en 2020.Comment l’as-tu vécu ?
Pas si mal que ça. D’abord parce que j’étais surpris qu’on fasse appel à moi pour un tel concours alors qu’il y a tant de chanteurs qui ont envie de le faire et que ça ne faisait vraiment pas partie de mes objectifs. Et puis parce que ça a été annoncé en janvier et qu’en mars tout était annulé. Je n’ai donc pas eu grand-chose à faire sinon à présenter la chanson, «Mon alliée», ce qui m’a un peu exposé. Donc ça ne m’a pas vraiment contrarié. D’ailleurs, on m’a proposé de me représenter en 2021 et j’ai refusé. Je suis très fataliste, je me suis dit que si ça n’avait pas marché la première fois c’est que je ne devais pas le faire.
A propos du Covid, comment l’as-tu vécu ?
Du mieux possible. Je n’ai pas voulu broyer du noir et durant le confinement, j’ai eu une période très créative. J’ai écrit pas mal de chansons que je trouvais de moins en moins mauvaises et j’ai eu la chance que le label Roy Music me tende la main. J’ai enregistré, je suis sur des plateformes et je fais des concerts. J’aime la solitude donc tout s’est bien passé.
Tu chantes en anglais. Pourquoi ?
On me pose souvent la question. Ca me vient naturellement et ça fonctionne comme ça pour moi.
Et puis, en dehors de la musique,   j’ai eu la chance que, hors confinement, les tournages aient pu continuer.
A ce propos, depuis «Edmond», tu n’as pas arrêté, au cinéma comme à la télévision !
J’ai eu cette chance puisque, au cinéma, j’ai tourné «C’est la vie» de Julien Rombaldi et «Pourris gâtés» de Nicolas Cuche, avec Gérard Jugnot et Camille Lou qui sortira à la rentrée.
Et que j’ai eu la joie de voir !
Oh la chance ! Tu sais que je ne l’ai pas encore vu ! Alors qu’en as-tu pensé ? Excuse-moi, c’est moi qui fais l’interview !
J’ai beaucoup ri et ton rôle de Colombien avec l’accent est irrésistible. Tu crèves l’écran !
Merci, ça me fait très plaisir. Nous avons tourné un peu à Monaco, beaucoup à Marseille, on s’est beaucoup marrés, Jugnot est sympa et Camille Lou, en plus d’être belle, est d’une gentillesse  extrême.
Par ailleurs, e viens de tourner dans le film de et avec Dany Boon «8, rue de l’Humanité» pour Netflix, avec Laurence Arné, Yvan Attal, François Daemiens, Alison Wheeler.
A la télé, il y a eu deux séries.
Oui l’an dernier : «Infidèle» avec Claire Keim, Jonathan Zaccaï et Chloé Jouannet  et «Plan B» avec Julie de Bona pour TF1. Et là j’enchaîne en parallèle avec «L’amour (presque) parfait», une comédie romantique avec Maud Baeker, Antoine Dulery, Isabelle Vitalli, François Vincentelli, Evelyne Bouix pour France 2, et pour TF1-Netflix je tourne «Les combattantes», une épopée historique tournée dans les Vosges et en baie de Somme avec une belle distribution*
Comment arrives-tu à tout faire ?
(Il rit), il faut beaucoup d’organisation, j’ai un planning très serré et… Je m’en sors !»

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Le soir-même, tenue décontractée, casquette vissée sur la tête, savates aux pieds, en compagnie de son acolyte guitariste Romain, dit «Poc», tout aussi décontracté, en short, il nous offrit une concert tout en anglais de sa belle voix un peu rocailleuse, mi-jazzy, mi-bluesy, mi-country avec des riffs de guitare de folie, en totale complicité tant avec son excellent guitariste qu’avec le public, discutant avec l’un, avec les autres (C’est l’humoriste qui ressort !). On sent, et il l’avoue, l’influence de John Mayal ou de Chris Isaak qui sont ses idoles et dont il reprend une de leurs chansons entre deux de ses compositions.
C’est un concert intimiste qui s’accorde avec ce lieu magique et avant de partir, il revient seul avec un piano voix qui a fait se lever le public.
Inutile de préciser qu’après le concert, nombre de jeunes filles… et quelques mamans, ont voulu un selfie avec lui qui s’est prêté au jeu avec ce sourire qui en a fait se pâmer plus d’une !

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« Plan B ». (Photo François Lefebvre)

Jacques Brachet
Photos Carqueiranne Patrick Carpentier
* «Les combattantes» avec Audray Fleurot, Julie de Bona, Camille Lou (les trois héroïnes du «Bazar de la charité», Sofia Essaïdi, Sandrine Bonnaire, Laurent Gerra, Tcheky Kario, Tom Leeb…..


Cécile BOIS : Le retour de Candice Renoir sur France 2

Saison 9 inédite – A partir du vendredi 27 août à 21.05

CANDICE RENOIR EPISODE 6

Candice Renoir, que l’on avait laissé dans la tourmente, revient plus combative que jamais dans une nouvelle saison.
Elle devra ainsi composer avec une nouvelle collègue : Pénélope Valier, interprétée par Maëlle Mietton, chef du groupe stups à la BSU (Brigade de sûreté urbaine) de Sète. Ambitieuse et compétente, elle pourrait convoiter son poste. Mais Candice n’a qu’une devise : « Jamais vaincue ! ».
Candice, qui a couvert les frasques d’Antoine a reçu une double sanction : administrative – un blâme – et judiciaire – elle s’est vue retirer son habilitation d’OPJ par la procureure. Elle conserve son grade de commandant sans avoir le droit d’enquêter ni de rédiger d’actes. La voilà détrônée à la tête de son groupe par une enquêtrice hors pair, Pénélope Valier. Candice feint l’indifférence et cultive son jardin, mais combien de temps tiendra-t-elle ?
Sa mise au placard est aussi un cataclysme qui oblige Candice à repenser sa vie personnelle, à commencer par sa relation avec Antoine. Partant du constat qu’ils sont toxiques l’un pour l’autre, Candice décide d’instaurer une distanciation amicale entre eux. Oui, mais… peut-on vraiment être amis quand on s’aime d’un si grand amour ?
Pendant ce temps, la BSU de Sète se retrouve, au propre comme au figuré, au cœur d’une tempête…

CANDICE RENOIR CANDICE RENOIR

On retrouve Candice depuis maintenant dix ans avec toujours le même plaisir. Son beau regard et son sourire irrésistible font… qu’on n’y résiste pas !
J’avais envie de la retrouver pour parler de ces nouveaux épisodes qui nous seront proposés dès la fin du mois.
Cécile, comment avez-vous retrouvé Candice ?
Je sortais trois jours avant de mon tournage de «Gloria» qui avait été dur et éprouvant. Retrouver ma famille et mon personnage a été un grand plaisir même si la Covid est passée par là, qui nous a beaucoup impactée, d’autant que l’ai eue et là, on a conscience de la réalité de la maladie. Ce n’est pas un leurre, c’est loin d’être anodin. On bascule dans une tout autre vie… Sans compter qu’au départ il n’y avait pas de précédent, on ne savait pas où on aller. Nous avons tourné de septembre à la mi-mai avec deux arrêts.
Le tournage n’a-t-il pas été un peu compliqué ?
Evidemment que ça n’a pas facilité les choses puisqu’on a dû être souvent testés, il fallait avoir les masques sauf lorsqu’on tournait. Nous avons eu deux cas dans l’équipe. Mais en prenant toutes les précautions, nous y sommes arrivés.
Alors, que va-t-on découvrir cette saison ?
Tout d’abord, c’est une saison qui sera plus tournée vers la comédie. La saison dernière était plus dramatique, il a été décidé que celle-ci serait plus légère, même si l’on aborde des sujets sérieux, des sujets de société, réalistes, comme l’homosexualité, la chirurgie esthétique…Donc plus de scènes drôles, afin de lutter, de résister contre cette sinistrose qui pèse sur nos épaules.
Dans cette série, j’ai aussi rendez-vous avec mon fils, Jules (Etienne Martinelli)

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Avez-vous votre mot à dire sur le scénarios, les situations ?
Pas forcément… Mais je le fais ! Pas par fronde mais simplement pour améliorer la scène ou mon personnages. On m’écoute quand même car depuis dix ans, je commence à le connaître, mon personnage ! Mais on en parle tous, réalisateurs et comédiens et jusqu’à la chaîne
Depuis deux, trois ans, on peut intervenir car avec le temps les histoires sont plus difficile à trouver. Ceci dit, je découvre le scénario cinq à dix jours avant.
Candice arrive-t-elle encore à vous surprendre ?
Pas vraiment et ça ne me gêne pas. C’est moi qui la réveille dans mes intentions, ma façon de l’interpréter et de m’en émanciper.
La série a de loin dépassé la France et passe dans de nombreux pays. Vous êtes-vous entendue doublée dans d’autres langues ?
Pas beaucoup mais en Italien le débit est beaucoup plus rapide, en Allemagne c’est très drôle ! Bien sûr ça surprend de se voir parler dans d’autres langues mais ça me va !
Par contre, il y a une version polonaise, je crois, qui a été tournée avec des comédiens du pays. C’est très drôle aussi et en même temps, c’est très gratifiant de savoir que ce personnage est apprécié dans d’autres pays.

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Lorsque nous nous étions rencontrés à la Rochelle, nous avions ri d’un sujet : votre poids : les producteurs ne voulaient pas que vous maigrissiez ! C’est toujours le cas ?!
Non, ça s’est amélioré ! En fait, l’équipe s’en moque un peu et surtout tous m’ont dit qu’ils me trouvaient très jolie, ce qui est très valorisant. Alors quelques kilos de plus ou de moins, ça ne change pas grand-chose.
Vous avez tourné à Sète où se tourne également «Demain nous appartient». Vous rencontrez-vous ?
Pas beaucoup car le tournage est intense, d’un côté comme de l’autre. On n’a pas beaucoup de temps pour faire du tourisme et se rencontrer. Comme c’est la même production, un jour elle a organisé un repas où tout le monde s’est rencontré et c’est bien de tous se connaître. J’avais deux amis sur le tournage : Alexandre Brasseur que je vois souvent et Samira Lachhab qui n’est plus dans la série.
Sinon, c’est vrai, nous nous croisons de temps en temps mais on n’a pas le temps de se voir vraiment.

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Ce n’était pas à Sète mais au festival TV de la Rochelle !

Raphaël Lenglet est aujourd’hui comédien et réalisateur de la série. Comment cela se passe-t-il ?
Très bien, il est très bienveillant. Nous nous entendons bien comme avec tous d’ailleurs. Pour moi, c’est une seconde famille».

Jacques Brachet

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Saison 9
Episode 1
: Petite négligence accouche d’un grand mal
Réduite à effectuer des tâches administratives, Candice sanctionnée pour avoir couvert Antoine, doit faire l’inventaire des scellés. Elle essaie de faire bonne figure devant les membres de l’équipe qui tour à tour viennent lui rendre visite.
C’est alors qu’une jeune femme se présente à l’accueil : Professeur d’acrobatie, cordiste intérimaire, elle se dit victime de harcèlement. Le temps que Candice plante son inventaire pour la rattraper, la jeune femme a disparu… Elle est retrouvée morte au pied du phare de Sète.
Candice ne croit pas aux coïncidences, il s’agit très certainement d’un meurtre. Mais comment va-t-elle enquêter en ayant perdu son habilitation d’OPJ ?
Episode 2 : Rien ne sert de courir
Tandis que Candice est toujours confinée dans le petit bureau au niveau de l’accueil, Antoine envoie Val sur les lieux d’un accident de la route dont le conducteur a été tué sur le coup… A priori un banal accident. Mais, en examinant l’intérieur de la voiture, Val remarque qu’une cache, vide, s’est ouverte sous l’effet du choc, typiquement du genre qui sert à dissimuler de la drogue. Pourtant, la victime a tout d’un inoffensif
papy de 75 ans… Pénélope, la patronne du groupe stups qui assure l’intérim de Candice, débarque avec une équipe cynophile qui détecte bien des traces de drogue. Une double question se pose : s’agit-il vraiment d’un accident ? Et où est passée la drogue ?

CANDICE RENOIR SAISON 6

Réalisation : Pascal Lahmani – Christelle Raynal – Raphaël Lenglet
Direction de collection : Fabienne Facco
D’après un concept de Robin Barataud – Jean Reynard – Brigitte Peskine
Avec : Cécile Bois (Candice Renoir), Raphaël Lenglet (Antoine Dumas), Ali Marhyar (Mehdi Badou), Yeelem Jappain (Valentine Atger), Olivier Cabassut (Armand Marquez), Marie Vincent (Nathalie Delpech), Clara Antoon s(Emma Renoir), Christophe Ntakabanyura (Ismaël Ndongo), Maëlle Mietton (Pénélope Valier)